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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Ce livre est comme une brise d'été en fin de journée qui vous caresse la joue, c'est agréable, on passe un bon moment de détente.
J'ai découvert cette auteure par un film Last Days of Summer (Kate Winslet , formidable comme d'habitude) adapté d'un de ses livres Long Week-end (non lu pour l'instant mais ce n'est que partie remise). de plus, quelques personnes m'en avaient parlé comme un coup de coeur.
Sans parler d'un coup de coeur, je sais que je ne fais que commencer à lire cette auteure, sa plume est tellement fluide, intéressante dans la description de la relation de ces deux soeurs dont l'une est au début de l'adolescence.
L'adolescence est représentée comme une transition incontournable, attendue, espérée redoutée , unique et difficile : ni femme ni enfant, bourrée d'hormones, des réactions disproportionnées vis à vis de son environnement et des événements qui se produisent. Ici, en l'occurrence, la présence d'un serial killer qui sévit dans les montagnes derriere chez elles où elles passent leur temps à s'y balader. Il tue des jeunes filles, leur père sera chargé de l'enquête, enquête difficile car pendant plus d'un an, il tuera de nombreuses jeunes filles.
Je recommande car c'est un bon roman et une agréable découverte.
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Nous sommes en 1979, en Caroline du Nord, plus précisément dans le Parc national de Golden Gate, dans une résidence superbement nommée "Cité de la splendeur matinale (!). Rachel a treize ans et sa soeur Patty en a onze. Leur père est le flamboyant inspecteur Torricelli, divorcé pour cause d'être aussi un flamboyant coureur de jupons. Néanmoins, il adore ses filles, qui, livrée à elles-mêmes (pour cause de mère dépressive), ont comme activités favorites les balades dans la montagne et regarder leurs séries TV préférées installées sur une couverture dans le jardin de leur voisin (tant pis si elles n'ont pas le son, l'image leur suffit, elles font elles-mêmes les dialogues !). C'est bien calme le Golden Gate National Park, un peu trop quand on a treize ans et onze ans. Mais voici qu'une série de meurtres va venir pimenter leur existence et leur réserver bien des surprises.

Ce roman s'est retrouvé de façon totalement inattendu dans ma Pile à lire suite à mes pérégrinations à Festival America. C'est parce que j'ai entendu Joyce Maynard en parler dans un débat et qu'elle a su susciter ma curiosité quand elle a parlé de ce roman en disant que ses héroïnes sont des personnages forts. Et que c'était l'une des choses qui lui importaient le plus. Et puis, il y avait l'issue de l'intrigue (non révélée, évidemment) qui avait l'air d'être un peu hors du commun.
Eh bien je dois dire que je ne m'y suis pas trompée : moi qui ne lit pas si souvent que ça des romans américains, je n'ai pas lâché celui-ci. Et c'est le premier que je lis de Joyce Maynard...

C'est tout d'abord, pour nous, lecteurs français, une sacrée plongée dans l'Ouest américain, un vrai dépaysement, dans cette bourgade à l'ombre du mont Tamalpais - où rodent, en plus des coyotes, ce serial killer qui va terrifier la population pendant des mois et des mois.

C'est aussi une plongée dans les années 70-80, avec en écho la série Drôles de Dames (Farrah est d'ailleurs le surnom que donne l'inspecteur Torricelli à sa fille Rachel). Drôles de dames, c'est en effet ce que sont ces gamines qui jouent les enquêtrices pour aider leur père à trouver le coupable. Parce que, au fil du temps, l'inspecteur Torricelli va perdre de sa superbe face aux médias et à la population car il ne parvient pas à arrêter le meurtrier. Seulement, à 13 et 11 ans, on est inconscients du danger. Les deux gamines vont échafauder un plan, qui évidemment ne se passera pas du tout comme prévu. Mais l'une d'elle aura une idée aussi géniale que burlesque pour les sauver d'un face-à-face qui prend une allure inattendue (ne vous apprêtez pas à pleurer mais plutôt à rire et à trouver, qu'effectivement, ces deux gamines sont de drôles de dames !).
D'ailleurs, Patty faire remarquer à sa soeur qu'"on est tous des drôles de zèbres. Chez certaines personnes, on ne remarque pas leur bizarrerie, mais on en a tous une".

Ensuite, c'est l'âge de 13 ans qu'explore sous toutes ses formes Joyce Maynard. Je ne me rappelle pas de comment j'étais à cet âge-là exactement mais j'ai trouvé que le personnage de Rachel était à la fois très gamine et très mature pour son âge. du moins, elle évolue au fil des pages dans sa vie d'ado, n'hésitant pas à larguer manu militari son premier boyfriend qui la prend pour un objet. On s'attache rapidement aux deux gamines au caractère bien trempé, dont on sent que dans la vie, elles ne se laisseront jamais marcher sur les pieds. C'est un trait de caractère qui m'a beaucoup plu, notamment dans sa dimension féministe.

Parce que c'est aussi ce qu'est ce roman aux multiples facettes : un polar qui tient en haleine et un roman d'apprentissage féminin et féministe.

Enfin, la fin n'est pas convenue. Si ce n'est pas tout à fait une happy end (il y aura des morts), c'est toutefois une fin comme je les aime :habile, inattendue, émouvante, mais sans pathos larmoyant. Autrement dit : la vie reprend ses droits.

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Joyce Maynard conte à merveille la période magique et infernale du passage de l'enfance à l'âge adulte, la folie furieuse qui s'empare des esprits et des corps de Rachel (treize ans) et de sa soeur Patty (onze ans), par ailleurs confrontées à une série de meurtres commis par celui qu'on appelle "L'Etrangleur du Crépuscule", pourchassé par leur père, l'Inspecteur Toricelli.

La montagne est le terrain de jeux de Rachel et Patty qui vagabondent joyeusement, sous la surveillance on ne peut plus relâchée de leur mère, vivant enfermée dans sa chambre en lisant depuis que son mari est parti, mais c'est aussi le territoire de chasse de L'Etrangleur, qui accumule les crimes.

La construction de ce roman est très particulière : inspiré de faits réels (point sur lequel l'auteure revient en fin d'ouvrage), c'est une mise en abyme permanente puisque la trame est l'histoire d'une romancière revenant sur l'été qui a bouleversé sa vie, entremêlant délicatement l'apprentissage de Rachel et Patty, l'amour au sein de leur famille, dans un environnement idyllique (la nature sauvage de la Californie du Nord) perturbé par un assassin monstrueux.

Les portraits d'adolescrnts sont empreints d'une grande tendresse ou d'une férocité implacable, à l'image de Bascomb, petit ami de Rachel, prototype de l'adolescent stupide et sexuellement obsédé.

Ce roman est aussi l'éloge de la liberté, liberté pour Rachel et Patty de galoper dans la montagne, de grandir sans contrainte, de faire leur propre apprentissage.

Mais avant tout c'est un roman d'amour, amour que se portent Rachel et Patty, qu'elles portent à leur père et, plus silencieusement à leur mère, cet amour fou, inconditionnel, qui lie parents et enfants.

Enfin, la bande-son du livre est très présente, révélatrice d'une époque où la musique était populaire, unissait les gens, sans pour autant n'être qu'un produit.
Lien : http://occasionlivres.canalb..
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En 1979, au nord de San Francisco, l'affaire de l'Etrangleur du Crépuscule, the Sunset killer, secoue la population. Deux adolescentes en particulier sont au centre de l'agitation qui en découle puisque les faits se déroulent dans la montagne qui domine leur lotissement, et surtout parce que leur père est l'enquêteur principal sur cette affaire. Enquêteur qui sera remis en question au fur et à mesure que les morts de jeunes femmes se succèdent, sans que le police ne semble avoir aucune piste.
Joyce Maynard dessine d'abord deux solides portraits d'adolescentes, avec leurs différences et surtout leurs ressemblances dues au contexte familial bien particulier qui est le leur : une mère présente mais si peu, dans son monde à elle, et dans ses livres, et un père dont elle est séparée et qui travaille énormément. Rachel, l'aînée, est aussi la narratrice, c'est elle qui imagine des jeux dans la montagne ou au dépends de leurs voisins, jeux qui peuvent parfois être dangereux. Patty, sa cadette de deux ans, est plus introvertie, et sortira un peu de sa coquille grâce à sa passion pour le basket.
Commencé avec beaucoup d'empathie pour les personnages, et d'intérêt pour l'histoire, j'ai été un peu gênée par quelques facilités au milieu du roman. Je n'ai pas adhéré du tout, en particulier, aux visions de Rachel sur des évènements passés ou futurs… Ce qui, dans un roman policier, me paraîtrait carrément superflu, passe quand même mieux dans le genre de roman que nous avons là, plutôt ambitieux. Amené par une prolepse, le texte contient aussi un roman dans le roman, lorgne du côté du roman d'initiation, du thriller et du roman noir, sans compter une bonne dose de nostalgie de la fin des années 70… cela pourrait sembler partir dans trop de directions, mais l'ensemble se tient bien, et si j'ai perçu quelques longueurs en anglais, je pense que sa version traduite se laissera dévorer.
J'attends vos avis quand il sortira à la fin de l'été !
Lien : http://lettresexpres.wordpre..
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Les règles d'usage, Les filles de l'ouragan, Baby Love ou encore L'homme de la montagne... C'est tjrs un plaisir de retrouver Joyce Maynard et ses beaux portraits de l'adolescence américaine! 

Dans L'homme de la montagne, l'auteure nous emmène à la rencontre de deux jeunes soeurs, Rachel et Patty, respectivement 13 et 11 ans dont la vie sera, en cet été 1979, considérablement affectée par un tueur en série qui sévit sur le versant de la montagne où elles vivent en Californie du Nord.

Si ce roman se présente notamment comme un polar psychologique basé sur un fait divers réel, l'intrigue en relation avec "l'étrangleur du crépuscule" ne semble en réalité que servir de prétexte: ce n'est pas tant la succession des meurtres de jeunes femmes ni l'enquête policière qui en résulte qui priment dans ce roman mais bien la façon dont ces événements affectent la vie de Rachel et de Patty ainsi que leurs relations avec leur famille et leur entourage.

Sans être un coup de coeur, j'ai bcp aimé ce roman que j'ai dévoré en deux jours! Joyce Maynard nous propose encore une fois un beau roman d'apprentissage porté par des personnages touchants et des thématiques sensibles et poignantes telles que la famille, la séparation, la dépression, la maladie et la mort mais aussi l'amour inconditionnel et la résilience. Un beau moment de lecture!
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Roman d'apprentissage, ce livre raconte un été dans la vie de Rachel 13 ans et sa soeur Patty 11ans. Toutes deux sont livrées à elles-mêmes et passent leur vacances à crapahuter sur le mont Tamaltais en Californie. Leur mère dépressive, centrée sur elle-même, n'est pas trop en capacité de s'occuper d'elles. Leur père, l'inspecteur de police Torricelli est un italien pur jus, bon cuisinier, beau parleur et bien sûr tombeur de ces dames. Il se passe un premier meurtre de jeune fille , puis un second, puis beaucoup d'autres et ces meurtres vont rythmer le quotidien des filles et notamment de Patty, qui ayant des "flashs" vont tenter d'aider leur père dans la découverte du criminel. J'ai beaucoup aimé dans ce livre, la description de l'univers de 2 adolescentes, obsédées par la transformation de leur corps . L'auteur réussit ce tour de force à nous faire entrer dans leur tête, ressentir la musique (très présente dans le livre), leur quotidien. Est aussi très bien analysée la relation père/fille : le père véritable héros paré de toutes les qualités, au cours de l'enquête et à travers le regard impitoyable des habitants et des autres jeunes, deviendra le paria, celui qui n'arrive pas à protéger les autres filles.
Cela me donne bien envie de découvrir d'autres titres de cette auteur.
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C'est la critique de Marina53 sur ce roman qui m'a donné envie de découvrir Joyce Maynard, que je n'avais encore jamais lu. J'ai vraiment beaucoup aimé et c'est une auteur que je relirai avec grand plaisir.
Rachel, 13 ans et sa soeur Patty, 11 ans, sont inséparables. Livrées à elles-mêmes, leur mère passant son temps enfermée dans sa chambre ou à la bibliothèque et leur père, qu'elles idolâtrent pourtant, inspecteur de police, ne passant les voir que de temps en temps depuis sa séparation d'avec leur mère. Leur terrain de jeu favoris : la montagne derrière chez elles, où elles s'inventent tout un monde. Jusqu'à temps qu'un meurtrier en série arpente la montagne pour agresser et assassiner de jeunes filles. C'est leur père, Anthony Torricelli, qui est chargé de l'enquête. La poursuite du Tueur du crépuscule marquera à jamais la vie des deux jeunes filles.
L'homme de la montagne, c'est aussi un roman qui parle de l'adolescence. Rachel est en effet la voix de cette histoire. Elle s'attarde sur les changements qui surviennent à cette période : les changements du corps, les sentiments qui évoluent, les désirs qui s'affirment, l'envie de grandir tout en ayant peur de ce monde d'adulte vers lequel elles se dirigent.
J'ai adoré l'écriture de Joyce Maynard, juste et efficace, sans détour, qui m'a tenue en haleine jusqu'à la dernière page. Encore une belle découverte.
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Eté 1979, Californie. Rachel, treize ans, et sa soeur Patty, onze ans, vivent un peu livrées à elles-mêmes. Pas de télé. Des parents divorcés. Une mère qui passe son temps enfermée dans sa chambre à fumer des cigarettes et lire les livres qu'elle emprunte à la bibliothèque. Un père, officier de police séduisant et charismatique, l'amour de leur vie, très occupé par ses fonctions. « En attendant qu'un événement inattendu survienne, nous inventions des situations. le temps, c'était tout ce que nous possédions. » Alors elles inventent : des jeux, des histoires, les vies de leurs voisins ; liées par une affection profonde, animées par une imagination fertile. Lorsqu'un tueur en série se met à sévir dans la montagne derrière chez elles (leur terrain de jeu), et que c'est leur père qui est chargé de la traque, fiction et réalité se télescopent. Dans le bouillonnement de ces vies adolescentes qui s'éveillent, les sensibilités s'exacerbent, les imaginations s'enflamment.

Un très beau roman, touchant, onirique, avec un je ne sais quoi d'envoûtant, cruel récit d'adolescence doublé d'un thriller prenant. Dans la veine du très chouette Un long weekend, à ranger quelque part aux côtés de Carson McCullers et de Harper Lee (Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur.
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J'ai découvert Joyce Maynard en toute fin d'année dernière avec « Où vivaient les gens heureux ». J'avais été très touchée par ce pouvoir qu'elle a d'écrire avec des mots simples une histoire universelle tout en touchant ses lecteurs au plus profond d'eux-mêmes.
 
Cette fois, nous sommes à la croisée d'un roman de formation et d'un roman policier. Rachel, la narratrice, est écrivaine. Elle raconte son enfance en faisant un arrêt particulier sur l'adolescence, non parce que les hormones de cette jeune fille sont en ébullition (ce qui est aussi le cas), mais surtout parce qu'un tueur en série rôde dans les montagnes du Marin County, à quelques encablures de San Francisco. 
 
Ce roman c'est celui de deux soeurs livrées à elles-mêmes après la séparation de leurs parents. Rachel et Patty grandissent sans entraves, l'imagination débordante, palliant ainsi le manque de télévision et d'attention de cette mère dépressive (on imagine ces scènes où, allongées dans les jardins de voisins possédant une télévision, elles ré inventent les dialogues des séries dont elles ne voient que les images au loin). Elles vouent une admiration sans borne pour leur père, Tony, inspecteur de police, le meilleur, reconnu pour ses talents à mener les interrogatoires les plus difficiles. C'est lui qui sera chargé de l'enquête pour retrouver ce psychopathe.
 
J'ai aimé le regard de ce père, de cet homme amoureux de toutes les femmes, qui déjà en 1979, date des faits, a un discours profondément féministe (et protecteur). 
J'ai aimé le lien puissant entre ces soeurs, parfois mis à rude épreuve mais toujours présent même dans les moments les plus difficiles.
J'ai aimé ces chapitres qui commencent par « cet automne-là ; c'était la nuit ; ce jour-là … » où on soupçonne qu'il va se passer quelque chose d'important, qui tarde à venir sans qu'on en veuille à l'autrice de faire durer le suspense.
J'ai aimé cette écriture parfois drôle et légère, le plus souvent nostalgique qui fait de roman une véritable ode à l'adolescence féminine : les émois d'une jeune fille, son corps qui tarde à changer, les émotions qui l'assaillent (ou la laissent de marbre).

Une seconde fois Joyce Maynard m'aura émue avec sa plume sensible et délicate qui raconte la vie de tous les jours « tout simplement ».

Et je rassure celles et ceux qui ne courent pas après le côté policier, que ce livre ne vous effraie pas, ce tueur en série n'est finalement qu'un prétexte.
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Rachel, 13 ans et Patty, 11 ans, vivent avec leur mère dans un lotissement adossé à un flanc de montagne. Leur père, inspecteur de police, grand amoureux des femmes, de LA femme, a quitté leur mère, qui les laisse libre d'occuper leur temps comme elles le veulent.
Les filles déploient des trésors d'inventivité pour s'occuper, jouer au basket, observer les voisins, faire les folles dans la montagne, qu'elles connaissent mieux que tout le monde. Elles vivent entre elles, isolées des autres par leur milieu social et la liberté d'esprit de leurs parents.
Jusqu'à ce qu'un fait divers secoue la communauté. Une jeune femme a été tuée et laissée dans une mise en scène macabre, scène qui se répétera de multiples fois. L'inspecteur chargé de l'enquête est le père des deux filles, mais le meurtrier en série ne laisse pas d'indices et met la police en échec.
Rachel devient tout-à-coup intéressante pour ses camarades d'école qui se mettent à l'inviter, et lui permettent d'avoir une vie sociale de son âge, au détriment de sa fidèle petite soeur.

Bien que la thématique soit riche, l'affection profonde entre les deux soeurs, l'exploration de la pré-adolescence fertile en émotions et questionnements, la fracture de la famille, ajoutez à cela un air de polar, un criminel sans affects rôdant dans les parages, ce roman devrait être addictif et pourtant, il laisse une impression de manque.

Il manque peut-être la grâce que j'avais trouvée dans "Long week-end", un vrai coup de coeur!
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