Je pense que je n'ai pas su lire tout la profondeurs du roman, ni entre ces lignes.
Toute la première partie j'étais plongé avec le journaliste sur le chemin du Yémen, je voyageais en marchant sur ces pas et j'étais épaté par les paysages alentour.
Puis je ne saurais dire pourquoi, j'ai perdu l'intérêt, les paysages ont perdus leurs couleurs et les personnages leurs profondeurs. Mes pas semblait de plus en plus lourd sur un désert de plus en plus chaud, chaque nouveau pas plus lents que celui d'avant.
Enfin bref l'ennui quoi, pas envie de découvrir davantage cet auteur pour le moment.
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[...] et je comprends qu'en aimant seulement ces choses impérissables le coeur ne soit jamais décu.
HENRY DE MONFREID / VIVRE LIBRE / LA P'TITE LIBRAIRIE