Charlotte se tourne enfin vers moi et, à son expression étonnée, je devine que ma tête fait peur.
– Oui, c’est ça, ajoute-t-elle en me tapotant la main, tu es vraiment pâle. Je pense que tu couves quelque chose ma chérie. Rentre chez toi, je te raconterai.
À grand regret et après avoir laissé échapper un éternuement venu des profondeurs de mon nez, je demande au portier de m’appeler un taxi. Je me sens trop faible pour rentrer en métro. Il n’a qu’à lever la main pour qu’une voiture s’avance aussitôt.