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sur 271 notes
"La Sonate oubliée" de Christiana Moreau est un roman édité aux éditions Préludes qui nous plonge avec allégresse dans le monde de la musique classique tout en alliant deux époques : le XXIème siècle et le XVIIIème siècle. L'auteure débute son récit par l'histoire de industrialisation de la ville de Seraing, en Belgique, qui marque le changement d'une époque. Une jeune violoncelliste de 17 ans, Lionnela, y vit avec sa famille, comptant des musiciens depuis des générations. Adolescente atypique, elle s'est depuis sa tendre enfance liée d'amitié avec Kévin, passionné de vieux objets et qui voue une admiration sans faille pour Lionnela. Alors que cette dernière se trouve en panne d'inspiration pour le concours Arpèges, un prestigieux concours de musique classique, Kevin déniche au marché aux puces une boîte en métal contenant des partitions et un vieux médaillon. Pensant que cela pourrait servir à son amie, il achète la relique et l'offre à Lionnela. Démarre dès lors un saut trois cents ans dans le temps, où on découvre la vie d'Ada, cette jeune orpheline recueillie dans une ospedali italienne, un institut pour jeune filles abandonnées qui avait pour vocation des les entraîner à une musique de haut niveau. Cette narration qui prendra la forme d'un journal intime va mener le lecteur à la découverte de la vie du 18ème siècle et va lui faire partager les états-d'âmes d'Ada. La question de l'origine de la sonnate découverte par Kevin dans une brocante va dès lors devenir le point d'orgue du roman.

"La sonate oubliée" nous embarque avec plaisir au coeur de la musique classique notamment celle de Vivaldi et nous plonge dans le Venise de l'époque. On découvre avec curiosité et envie la recette d'une partition intense : les rires, les larmes, l'amour, la peine, bref tout les sentiments qui peuvent traverser une vie. La musique classique est bâtie sur les sentiments de celui qui la compose, elle emporte son public dans les tréfonds de son âme et le berce par le biais de ses effets sonores. Nul besoin d'être un virtuose pour saisir sa portée, nul besoin d'avoir pratiqué le solfège ou d'avoir une oreille musical pour ressentir toute l'émotion inclue dans ce roman.

L'écriture de l'auteur est très fluide et très aérée, on a la sensation d'être sur un nuage musical lorsqu'on parcourt ses chapitres. J'ai vraiment été saisie par la qualité de la narration, peut-être davantage touchée par l'histoire d'Ada que par celle de Lionnela, probablement du fait que celle-ci reste davantage spectatrice de l'histoire. J'aurai en revanche apprécié avoir quelques précisions supplémentaires, peut-être une sorte de glossaire, sur les termes un peu plus techniques liés à la musique. Tout du moins, on saisit l'essence des instruments, leur puissance et leur capacité à transporter ceux qui savent l'écouter et l'interpréter. Un violon n'est pas seulement deux bouts de bois assemblés, c'est un ensemble harmonieux composé de bois, de respect et d'amour de celui qui l'utilise.

Les personnages en eux-mêmes sont attachants. Lionnela et Kévin sont deux adolescents qui vivent avec leur temps, et tente de s'y faire une place. Ils sont tous deux un peu hors du temps, mais non moins en accord avec leur âge. Ada, quant à elle, est innocente, passionnée et rêve sa vie. Elle est l'image même des talents d'antan, des talents ayant côtoyés les plus grands avec humilité et respect.

En conclusion, j'ai passé un très agréable moment de lecture grâce à Christiana Moreau, qui a su me faire découvrir l'univers de la musique classique.
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Je suis blasée car je suis passée complétement à côté de cette jolie lecture.
Christiana Moreau nous plonge dans la musique classique et ses codes. Grace à une jolie découverte elle nous envoie deux siècles avant quand Vivaldi se faisait connaitre tout doucement.
Alors j'ai préféré largement la partie roman historique avec l'histoire émouvante d'Ada et son amour pour la musique. Cela m'a permis de connaitre un peu mieux le virtuose Vivaldi et son attachement à l'hospice la Pietà. D'ailleurs je vais me chercher quelques romans qui traitent de cette maison pour orphelines.
En ce qui concerne l'autre héroïne Lionella je suis passée complétement à côté de son histoire. Je ne l'ai pas trouvé abouti et j'ai eu du mal à comprendre où voulait en venir l'auteur. Je tiens quand même à préciser que l'auteur à une très belle plume musicale et je me suis fait un kiffe de lire avec en musique de fond Les quatre saisons. Elle nous donne une biographie succincte du Maestro et nous délivre les diktats et code des concours de la musique classique.
Ici l'amour du violoncelle est mis à l'honneur.
C'est un roman à lire pour les amateurs de musique ou de roman doux.
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J'ai lu ce livre dans le cadre des 68 premières fois et c'est une jolie découverte.

L'auteure nous fait découvrir un univers musical plutôt méconnu pour ma part, le violoncelle. Elle m'a aussi entraînée dans deux époques, celle du 18ème siècle et celle plus contemporaine.
Nous faisons connaissance avec Lionella qui vit littéralement pour la musique. Elle est remplie de doute quant à sa participation pour un concours. Trouvera t'elle cette musique unique, qui permettra d'être remarquée par le jury ?
Vous le saurez en lisant ce livre.

Ce livre est comme une jolie mélodie. Il se lit tranquillement et au fur et à mesure s'impose en vous en même temps une musique classique. C'est un livre qui est reposant et plein de bienveillance. Sur fond d'Histoire, nous partons en Italie où le destin d'Ada nous est conté et avec elle l'auteure fait revivre Vivaldi.

Et en parallèle, Lionella nous fait vivre sa passion à notre époque. Jusqu'au jour où son meilleur ami lui offrira un bien plus précieux qu'il n'y paraît. Il lui ouvrira les portes d'un monde qu'elle n'imaginait pas.

Il n'est pas question du tout de suspens et de frissons de terreur mais bien de jolis sentiments et de belles rencontres.
Je suis ravie d'avoir découvert ce roman car il est vraiment très beau, très doux et tout au long de ma lecture j'ai aussi regretté de ne pas connaître plus l'univers de la musique classique. Cet ouvrage m'a aussi confortée dans l'envie de découvrir l'Italie.

Je vous le conseille !
Lien : https://leslecturesdelailai...
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Deux jeunes filles vivent la même passion pour la musique et le violoncelle. L'une, Ada, est une enfant abandonnée et recluse dans l'ospedale della Pieta à Venise au XVIIIème siècle. L'autre, Lionella, vit au XXIème siècle à Seraing, une petite ville de Belgique. le journal de la première, accompagné d'une partition inconnue, sert de lien entre les deux. Séduite par un noble, Ada pourra-t-elle vivre hors l'hospice qui l'a recueillie ? Candidate au prestigieux concours Arpèges, Lionella parviendra-t-elle à faire connaître la seule composition musicale d'Ada ?

Venise, le violoncelle, le XVIIIème siècle, la musique... Il avait de nombreux atouts pour me séduire ce premier roman ! Las...la déception n'en fut que plus vive ! Un récit qui alterne banalement deux temporalités, un point de vue qui n'évite pas les clichés, des personnages sans surprise et - surtout - une écriture qui m'a semblé d'une platitude assez assommante. Là où il aurait fallu les arabesques du baroque pour évoquer Vivaldi et son époque, le récit chemine de façon convenue, dans une langue au premier degré, qui ne s'éloigne jamais d'un académisme insipide. Les informations sur les luthiers, sur la vie à Venise, sur les enfants abandonnées dans l'Hospice de la Pieta, sont certes très intéressantes mais accolées à la narration de manière si artificielle qu'elles ne s'y intègrent pas du tout et forment une masse didactique très peu romanesque. Un romanesque flamboyant, voilà ce qui manque à ce premier roman ! Tous les ingrédients y sont mais la recette n'a pas pris pour moi. Dommage !
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Ce livre qui a obtenu plusieurs prix en 2018 a été pour moi une révélation.
Révélation pour ce que j'ai appris sur le violoncelle, sa technique et l'émotion que cet instrument dégage.
Révélation pour la découverte de ces jeunes filles vénitiennes qui vivaient presque cloitrées au 18e et jouaient du violoncelle divinement sous l'influence de Vivaldi.
Révélation pour l'émotion que l'auteure nous fait partager entre deux couples : les deux amis Lionella et Kevin, originaires de Seraing en Belgique, que la musique réunira ; les jeunes filles Lionella et Ada, cette jeune orpheline et pensionnaire de ces Ospedale della Pietà à Venise au 18e, qui se rejoignent à travers le temps.
Un livre qui ne se lâche pas.
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Un roman avec pour personnage central Antonio Vivaldi, il n'en fallait pas plus pour que je me précipite dessus.

Eh oui, j'avoue un petit faible pour ce compositeur.

Il s'agit du tout premier roman écrit par Christiana Moreau, et, bien, bravo car je l'ai lu pratiquement en deux après-midis.
Une fois commencé, impossible pour moi de le lâcher tellement j'ai été happée par l'intrigue. L'histoire mêle à la fois personnages fictifs et réels, présents et passé. le passé expliquant des faits se déroulants à l'époque contemporaine.
Dans le cas qui nous intéresse, c'est la Venise du XVIIe siècle , et, plus particulièrement la musique baroque en compagnie du Prêtre Roux (Vivaldi) ainsi que l'illustre Hospice de la Pieta qui fait le lien avec des faits se passant à notre époque.

Ce n'est pas la première fois que je lis un roman comprenant ce schéma d'écritune, et, cela ne me gêne pas guère quand l'intrigue, le style sont excellent.

Appréciant la musique baroque, et Vivaldi, je prends beaucoup de plaisirs à me plonger dans des romans dont l'action se déroule dans ce milieu, et, avec pour point central l'Hospice de la Pieta, connu pour former des musiciennes et des chanteuses hors paires, et, dont le maître de chapelle fut un certain Vivaldi.

Christiana Moreau est une romancière à découvrir et à lire. J'espère qu'il y aura d'autres titres comme celui ci.
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A travers une partition retrouvée au hasard de la vie, Lionella jette un pont entre deux époques, deux villes, deux femmes.
Au XVIIIème siècle, Ada est une orpheline, pensionnaire de l'Ospedale della pieta à Venise. Recluse entre ces quatre murs, sa seule échappatoire est la musique et plus précisément le violoncelle dont elle joue magnifiquement et qu'il lui permet de devenir une figlia di coro. Son professeur, le « prêtre roux », n'est autre que l'illustre musicien baroque Antonio Vivaldi.
Lionella se plonge avec délice dans le récit autobiographique d'Ada dans lequel elle se retrouve : la même soif de liberté, la même passion dévorante pour la musique les portent.
« La sonate oubliée » est un roman qui met joliment à l'honneur des jeunes filles orphelines et pauvres, mais virtuoses de la musique, vouées à l'anonymat. A l'époque, il était très mal vu pour une femme, d'autant plus de cette condition, de jouer à visage découvert.
L'intemporalité de la musique est le thème souverain de ce roman où les sonorités graves et proches de la voix humaine du violoncelle remplacent les mots pour donner à qui l'entend les mêmes émotions au XVIIIème siècle comme de nos jours.
Un roman d'une grande délicatesse qui nous dévoile un pan de l'histoire de la musique baroque.
Un voyage dont je reviens charmée et enchantée.
Lien : http://audreyaufildespages.u..
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Alors que l'année 2016 s'achève à peine, la rentrée littéraire de janvier commence à susciter bien des convoitises et c'est tout à fait légitime pour les passionné(e)s de littérature que nous sommes.

Il y aura les énièmes romans de tel ou tel et là nous sommes dans les starting blocks bien sûr.

Mais il y aura aussi de toutes nouvelles plumes pour lesquelles il s'agira d'une 1ère fois.

Et pour MA 1ère fois, j'ai eu le plaisir d'en découvrir une avant l'heure. Je remercie d'ailleurs très sincèrement les éditions Préludes de m'avoir permis ce coup d'essai avec "La sonate oubliée" de Christiana MOREAU, un magnifique roman.

Tout commence en Belgique dans la région de Liège avec la complicité de deux adolescents, Kévin et Lionella. Amis de longue date, ils entretiennent cette relation malgré la pression sociale de leur environnement. Kévin vit avec sa mère et son frère dans un quartier populaire. Il est fasciné par les bâtiments industriels laissés à l'abandon dans lesquels il se plaît à déambuler pendant que Lionella, elle, fille de musiciens, s'entraîne au violoncelle pour le concours Arpège. Elle doit trouver un morceau original pour marquer sa singularité. C'est Kévin qui va le lui offrir avec une bien belle découverte au marché aux puces du village, une partition et quelques objets personnels datant du XVIIIème siècle. Là commence alors une toute nouvelle histoire...

Christiana MOREAU va guider son lecteur à travers les siècles et les territoires avec beaucoup de talent tout au long de ce roman. Tantôt aux côtés de Kévin et Lionella, c'est l'histoire contemporaine de la Belgique qui se dévoile, tantôt au sein de la Santa Maria della Pieta, c'est l'univers de Vivaldi, rien que lui, et d'une jeune femme, Ada dal violoncello, qui se découvrent. Cette alternance est particulièrement ingénieuse, 1ère qualité de ce roman.

Ensuite, vient le charme de Venise présentée en pleine effervescence artistique. La musique, la peinture, l'architecture, la mode aussi, sont autant de domaines dans lesquels la création est reine dans les années 1700.

"C'était également la fête de la mode et de l'élégance. Sur le Grand Canal, on voyait de belles dames s'engouffrer dans les somptueuses demeures. Leurs costumes brillaient sous les bougies allumées des grands lustres qui faisaient étinceler leurs joyaux. J'étais émerveillée." P. 106

La vie de la cité est très joliment décrite par Christiana MOREAU. Il me semble bien entendre le clapotis de l'eau dans les ruelles de la Ville et sentir les parfums du chocolat chaud du Caffe Florian ! Les festivités du Carnaval ne sont pas en reste. C'est d'ailleurs dans cette période un peu mystérieuse où chacun cache ses yeux derrière un masque que l'écrivaine engage une épopée romanesque entre Ada dal violoncello et l'un de ses admirateurs.

"Nous étions comme avides de graver dans nos esprits les traits aimés pour les emporter plus tard dans le secret de nos rêves. Car je l'aimais, j'en étais à présent sûre, et je crois qu'il m'aimait aussi." P. 93

Mais revenons au compositeur italien, Vivaldi, dont je ne connaissais pratiquement rien en dehors de quelques unes de ces symphonies, "Les quatre saisons" notamment. Je ne soupçonnais pas effectivement qu'il fut prêtre, surnommé il Prete rosso en lien avec sa chevelure rousse, et qu'il apprenne la musique à des jeunes filles abandonnées par leurs familles et accueillies par des religieuses. de nombreuses références sont citées par l'auteure qui ainsi donnent un caractère historique à ce roman.

La cerise sur le gâteau repose sur l'intrigue que Christiana MOREAU va magnifiquement mettre en place autour de la partition jouée par Lionella au concours Arpège et de la véritable identité de son auteur. Il pourrait être assez naturel de l'attribuer au grand compositeur mais qu'en est-il en réalité ? A vous de le découvrir...

Cette lecture m'a littéralement transportée, j'ai adoré. Je crois que je m'en souviendrais longtemps. Pour la petite histoire, il s'agit de ma 1ère lecture en version numérique grâce à Netgalley.

Alors rendez-vous dans votre librairie préférée le 4 janvier prochain !
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« La sonate oubliée » est un roman qui s'écoute autant qu'il se lit. Nous suivons deux violoncellistes prodiges que séparent près de trois siècles : Lionella, 17 ans, d'origine italienne vivant à Seraing, qui s'apprête à passer un concours de musique et Ada, 20 ans, pensionnaire « figlia di coro » de l'Ospedale della Pietà, en 1725. Leurs deux destins se retrouveront étrangement enlacés par ce qui donne au roman son titre lyrique : une sonate oubliée aux inspirations « vivaldiennes »…
C'est avec un mélange de ravissement et de nostalgie que je referme ce roman. Je ne l'ai pas lu, j'ai littéralement absorbé chacune de ses pages. Et quel bonheur que ces deux jours passés en compagnie de ces deux héroïnes… Entre concours de violoncelle et compositions du célèbre « prêtre roux », Antonio Vivaldi, la musicienne et amoureuse du violon que je suis a été emportée par cette histoire. le temps de ma lecture je n'ai plus touché terre. Je volais entre la Belgique, aux côtés de Lionella, et Venise, fascinée par le destin de la jeune Ada. A la fois éblouie et emplie d'inquiétudes. J'ai découvert l'incroyable histoire de la Pietà, célèbre hospice qui recueillait nouveau-nés abandonnés et jeunes orphelines. J'ai appris que les jeunes femmes qui y chantaient et jouaient étaient dissimulées au public derrière des grilles. Et j'ai vraiment eu la sensation de me trouver dans la Venise du XVIIIe siècle.
Ce roman chante, résonne et prie. L'atmosphère y est magicienne, féérique et occulte. À chaque page j'entendais le son de l'archet sur les cordes. J'entendais les voix de ces jeunes femmes s'élever jusqu'au ciel ébloui. J'admirais les silhouettes masquées déambuler dans les ruelles de Venise. Je sentais la peur, l'attente, le travail acharné et l'espoir.
Ce livre est exactement l'histoire que j'avais envie de lire. C'est merveilleux, une telle rencontre littéraire. Il y a tant de délicatesse dans ce roman, tant d'espoirs et de passion. Je suis passée de la tristesse à l'enchantement, du désarroi au soulagement.
C'est un vrai voyage dans le temps autour duquel s'enroulent les arabesques divines des violoncelles flamboyants. C'est captivant, déchirant, lumineux. Si le roman s'était allongé de 200 pages, j'aurais dévoré ces 200 pages supplémentaires avec le même plaisir et la même magie dans les yeux. Mais je l'ai aimé tel qu'il est et je le referme avec le sourire aux lèvres, émue par tant de poésie et de beauté, avec l'envie irrépressible de partir pour Venise sur les traces des orphelines de la Pietà.
Et je vais de ce pas saisir mon violon pour ne pas craqueler le charme.
Un immense merci à NetGalley et aux éditions Préludes qui poursuivent leur fabuleuse collection aux thèmes si bouleversants et aux couvertures poétiques et délicates.
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Une jolie histoire sans prétention sur un air de Vivaldi avec une plongée dans la Venise du début du 18ème siècle, en période de carnaval - pour le faste, les masques et les costumes… et une histoire contemporaine à Seraing (banlieue liégeoise), ville sinistrée par le déclin post-industriel.

Peut-être un peu trop fleur bleue.
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