Et les réactions de ces ombres humaines, aussi subtiles que celles des insectes, se transmettent à la manière d'impulsions électriques à l'oeil du petit appareil photo que je tiens à la main. Sous le coup de la tension, les cellules de mon corps s'agitent un peu, tandis que je capte dans l’air environnant ces grésillements qui précèdent l'orage.