La Cité de larmes

Remis de leurs émotions après la chasse à l'homme vécue dans la Cité de Carcassonne des années plus tôt, Piet qui était alors accusé du vol d'une mystérieuse relique appartenant aux catholiques vit désormais paisiblement avec son grand amour Minou. Heureux parents de deux enfants, ils s'apprêtent à partir en famille direction Paris où ils ont été invités par Catherine de Médicis au mariage de sa jeune fille Margot avec le roi de Navarre Henri. Un mariage censé apaiser le pays après toutes ces guerres de Religion, mais surtout censé être un événement joyeux et festif. Tandis que les cloches de Notre-Dame sonnent, de sombres complots sont en marche dans Paris et les torches n'attendent qu'à s'embraser dans les rues ... Marta, la fille de sept ans de Minou et Piet, n'en a malheureusement pas conscience cette nuit de Saint-Barthélemy où elle disparaît dans les rues de Paris 😨



J'avais adoré le tome un et je peux vous dire que j'ai aussi adoré le tome deux ! J'ai eu tellement peur pour Marta qui s'est trouvée au mauvais endroit au mauvais moment durant cette tristement célèbre nuit de la Saint-Barthélemy et qui malgré son jeune âge s'est battue pour tenter de s'en sortir. Je ne vous dis évidemment pas si elle s'en est sortie mais rien que pour ça lisez ce roman qui vous apprendra plein de choses sur l'Histoire de France et notamment des villes de Paris, Rouen et Chartres. L'écriture est fluide et addictive, il y a plein de rebondissements jusqu'à la dernière phrase et l'atmosphère angoissante plus les descriptions de paysages automnaux donnent toujours envie d'y retourner ! On ne voit absolument pas passer les 700 et quelques pages et j'espère vraiment qu'il y aura une suite car la fin laisse à penser que oui 😁



Attention cependant si vous êtes sensibles il y a quand même des scènes difficiles à lire qui sont très réalistes ...

Quelques années après le massacre de Toulouse, une trêve est signée entre catholiques et huguenots : le Roi de Navarre va épouser Marguerite de Valois, fille de la cruelle Catherine de Médicis. Minou et sa famille se rendent à Paris pour assister aux festivités. Mais sous les fastes et les célébrations, la colère gronde toujours et les machinations se poursuivent. Au moment où éclate le massacre de Paris, Martha, la jeune file de Minou, est portée disparue…

Une nouvelle fois, l'autrice m'a embarqué pour un périple haletant et passionnant de Puivert à Amsterdam en passant par Paris… Une fiction historique contée avec adresse et passion, qui nous fait douloureusement ressentir la tragédie de cette guerre de religion et la perte d'êtres chers.

Une briquette de 700 pages dévorée le temps d'un week-end A Montpellier. Je referme ce livre avec une grosse hâte : celle de lire le tome 3! Mais quel épilogue! Je ne pensais pas qu'il y aurait un tel cliff hanger sur les dernières pages. J'ai vraiment hâte de lire le tome 3 pour découvrir ce qu'il s'est passé pendant ces dix ans…

La Cité de larmes est le deuxième tome d'une série de romans historiques dont l'action se situe entre 1572 et 1594, à Paris, Chartres et Amsterdam, à l'époque où sévissaient les guerres de religion.

Même si l'on peut aisément comprendre l'histoire de la Cité de larmes sans avoir lu le premier tome auparavant, je vous recommande vivement de lire La Cité de Feu en premier lieu afin d'apprécier davantage votre lecture de la Cité de larmes.

Dans ce deuxième opus, nous retrouvons Minou, Piet, Alis, Aymeric et tous les autres personnages de la Cité de Feu. Leur histoire se poursuit, de nouvelles mésaventures vont leur arriver et les personnages ne seront pas épargnés par les évènements survenus à cette époque en France dont le plus connu est le massacre de la Saint Barthélémy à Paris.

Quel plaisir de me replonger dans cette saga que je trouve vraiment incroyable et de retrouver les personnages auxquels je m'étais tant attachée dans le premier tome. L'histoire est toujours aussi passionnante et captivante et les nombreux rebondissements m'ont empêchée de lâcher le roman tellement je voulais connaître la suite de l'histoire.

L'auteure a fait un superbe travail de recherches sur la période des guerres de religion en France et grâce à ce roman j'ai pu apprendre des choses sur cette période de l'Histoire que je connaissais très peu. La plume de Kate Mosse est fluide et agréable et ce fut un véritable plaisir pour moi de me plonger dans son roman.

La Cité de larmes est un roman historique passionnant et enrichissant, à la hauteur de la Cité de Feu.

On se retrouve en 1572, quelques années après la fin du tome 1, à Puivert, où on retrouve Minou et sa famille. Les tensions sont toujours présentes entre catholiques et protestants, mais un accord va enfin être trouvé avec le mariage d'Henri de Navarre et la future reine Margot, liant les 2 religions et apaisant les deux parties. Minou va se rendre à Paris avec sa famille pour assister à ce mariage qui marquera l'histoire. Mais c'est sans compter ceux qui oeuvrent dans l'ombre, pour leurs propres intérêts ou au nom d'une plus grande cause, pour que cet apaisement n'ait pas lieu.
Ce 2è tome est vraiment à la hauteur du premier, voire mieux! Que de recherches effectuées par l'auteure pour nous livrer le contexte historique des aventures des personnages. Encore plus touchant que le premier, on est littéralement emporté par la vague des évènements qui vont se produire à Paris. On est pris au coeur par l'incertitude de leur sort. Et dire que tout cela est réellement arrivé! Que de drames au nom de religions... de Puivert à Paris, puis Amsterdam, l'auteure nous amène là où de nombreux réfugiés ont dû se rendre. Un drame qui semble sans fin et qui n'épargne même pas les enfants. En plus de cette trame historique on retrouve la quête personnelle des personnages, qui continue ce qui a été commencé dans le tome 1.
Je me demande quand même comment on va se retrouver 3 siècles plus tard en Afrique du Sud, prologue des 2 tomes qui se sont pourtant déroulés à la suite. Je pensais que l'histoire de cette famille serait racontée sur une plus longue période. J'attends le dernier tome avec impatience et appréhension. Une très belle suite.

J'avais adoré le premier tome de cette trilogie, La Cité de feu, et j'avais vraiment hâte de découvrir la suite !

⚠ Attention si vous n'avez pas lu le tome 1, ma chronique peut contenir des spoilers ⚠

La fin du tome 1 annonçait que certains membres de la famille de Minou se rendraient à Paris à quelques jours de la Saint Barthélemy. Me rappelant mes cours d'histoire, cette information m'avait alertée sur la suite des événements et j'avais à la fois hâte et peur de découvrir ce qui allait se passer…

Je ne vous en révèle pas plus, mais j'ai pris un grand plaisir à retrouver les personnages de la Cité de feu.

Ce tome a été éprouvant pour moi émotionnellement, j'ai à nouveau été complètement embarquée par la plume de Kate Mosse et très touchée par les épreuves que vont traverser nos héros.

Le récit conserve toute son intensité et je suis impatiente de découvrir le troisième et dernier tome de cette saga !

Avec ce second tome, Kate Mosse nous propose une fresque érudite et captivante au coeur des guerres de religion qui ont secoué la France pendant la seconde moitié du XVIè siècle. Dix ans après la fin du premier opus, nous retrouvons nos héros montés à Paris pour le mariage entre Henri de Navarre et Marguerite de Valois, qui devait unir huguenots et catholiques dans la joie et la paix.

Hélas, la ligue catholique menée par Henri de Guise, va profiter de l'occasion pour occire à Paris et dans plusieurs villes de province le plus de protestants possibles. Minou et Piet vont être pris dans la tourmente et contraints de s'exiler pour sauveur leurs vies.

L'histoire est simple mais d'une efficacité redoutable : le pays se déchire entre protestants et catholiques, l'Inquisition torture et condamne à tour de bras les hérétiques que sont les huguenots, et nos héros vont devoir redoubler d'intelligence et de courage pour se sortir de biens mauvaises passes.

Du Paris de la Saint-Barthélemy à Amsterdam en passant par Chartres, l'autrice tisse brillamment sa toile sur une dizaine d'années et répond à certaines questions que l'on se posait dans le premier tome, notamment au sujet des origines françaises de Piet.

Au-delà, de cette trame, Kate Mosse met en scène des figures féminines très intéressantes que ce soit Minou, sa tante Salvadora, sa soeur Alis ou bien encore Cornelia. A travers elles, l'autrice nous donnent à voir la condition féminine de l'époque : béguinage, mariage, célibat, gestion des affaires, etc.

Comme son homologue masculin Ken Follett, Kate Mosse est une remarquable conteuse qui nous happe dès les premières pages et ne nous lâche plus jusqu'au point final. Ce roman a beau faire 700 pages, j'en suis venue à bout en trois petits jours seulement tant j'étais prise dans l'histoire, pressée d'en connaître le dénouement.

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J'avais déjà aimé ces personnages, Minou, Piet, Marta, Vidal, Alis, Aimeric, Bernard… dans le 1er tome de cette saga. Et j'avais vraiment vécu avec eux leurs précédentes aventures.
Dans ce deuxième tome, nous les retrouvons et j'ai franchement adoré les suivre à nouveau de Paris à Amsterdam jusqu'à Chartres.
Les 710 pages se lisent très facilement, vous vous plongez vraiment dedans car l'écriture est tellement fluide, tellement addictive… l'auteure Kate Mosse y pose les faits historiques sans ennuyer et prouve une nouvelle fois ses talents de conteuse.
Aucune pause dans ce deuxième tome de cette saga qui compte beaucoup de rebondissements qui participent réellement à l'intérêt de ce tome. Les faits historiques sont détaillés et j'ai revisité cette partie de l'histoire longtemps oubliée par ma mémoire :)
Bref, on ne s'ennuie pas et j'attends maintenant la suite des aventures avec impatience !

Alors voilà un roman que j'ai dévoré et cela faisait longtemps que je ne vibrais pas pour des personnages fictifs !!!
L'écriture fluide, le rythme soutenu, les personnages complets retracent à merveille cette période dramatique et violente de notre Histoire.
Nous envions l'amour qui existe en Minou et Piet, nous haïssons instantanément Vidal, nous nous prenons d'amitié pour Cornélia, nous tremblons pour la petite Martha et notre coeur se brise à la place de Minou....je ne voulais pas le terminer pour rester encore un peu avec eux !!!

Ce gros pavé de 570 pages est la suite de « La cité de feu ».

On y retrouve, dix ans plus tard, Minou, son époux Piet et leurs enfants installés dans le château de Puivert.

Si les guerres de religion n'ont pas cessé en France depuis le 1er Mars 1562, l'été de 1572 laisse entrevoir quelque espoir d'apaisement.

Le royaume de France s'apprête à célébrer les noces de la future reine Margot, avec Henri de Navarre, protestant.

Piet et Minou décident de quitter leur Languedoc pour assister à cet évènement historique à Paris. Malheureusement pour eux, ils vont se retrouver, protestants, au beau milieu du massacre de la Saint Barthélémy.

Leurs vies en seront totalement chamboulées.

Comme dans tous les romans de Kate Mosse, j'ai plongé tête baissée dans l'histoire de cette famille enchâssée dans la grande Histoire.

Un excellent moment de lecture.

Une suite plus addictive...

Dès les premières pages, c'est un vrai plaisirs de retrouver Kate MOSSE et les personnages du tome précédent (La cité de feu) même si ce tome-ci ne se déroule pas à Carcassonne.  En tout cas, cette fois, l'histoire est plus intrigante dès le début, ce qui n'avait pas été le cas du tome 1. Ce qui pourrait faire de ce roman un très bon film.

On retrouve donc Minou et sa famille, ils vont malgré eux se retrouver encore une fois au coeur de massacres dus aux guerres de religion. On les suit de leur domaine de Puivert dans le Languedoc jusqu'à Paris puis, Amsterdam.

Comme dans le 1er tome, l'auteure alterne des passages se déroulant en 1572 avec d'autres se déroulant en 1862 mais, très vitre cela cesse, on est uniquement au XVIème siècle, on abandonne le XIXème siècle et encore une fois, on ne sait pas ce qui advient de la femme "qui s'y trouve" ni qui elle est...  La fin laisse penser qu'il y aura certainement une suite. de toute façon, on s'en doute, l'auteure va surement nous mener au point de rencontre entre les deux époques qu'elle évoque ou du moins jusqu'au point qui relie les personnages de chacune de ces époques.