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Wall Street, N.Y. City. Dans la rue, un orateur clame haut et fort que l'homme sert, en général, l'état non pas en tant qu'humain mais en tant que machine. Seule une poignée d'entre eux le servent avec leur conscience. Il interpelle alors un homme passant par là, qui s'avère être un homme de loi. Plus précisément un notaire dont l'étude se consacre à la copie de titres de propriété, de valeurs mobilières et d'hypothèques. Il lui rétorque qu'il insuffle à ses employés l'énergie nécessaire pour s'activer... Des employés, Turkey et Nippers, qu'il retrouve justement dans son étude en train de se lancer des piques, de se plaindre de leurs conditions de travail, comme à leur habitude. Ginger Nut, quant à lui, était surtout préposé au ménage et autres petites courses. Si la vie de ce notaire était plutôt tranquille et parfois morne, l'arrivée de Bartleby allait bientôt changer tout cela...

Bartleby, le scribe, s'il effectue, au début, sans rien dire, les tâches qu'on lui incombe, travaillant visiblement de jour comme de nuit, il va bientôt changer d'attitude en refusant purement et simplement de faire ce que le notaire lui demande. « I'd prefer not to » deviendra alors son mantra. Ce qui, évidemment, laissera le notaire dans un état d'incompréhension, d'étonnement. Sur fond de capitalisme émergent, de servitude à l'état, l'attitude et la désobéissance de Bartleby s'apparente tout simplement au refus d'obéir, à tenir tête au capitalisme et à la bureaucratie. Sans nul doute que cet album, adapté d'une nouvelle d'Herman Melville, surprend, étonne et saisit le lecteur tant par l'ambiance un brin étrange, inquiétante, hors du temps, que par la morale de l'histoire. Une adaptation que José-Luis Munuera retranscrit brillamment. Graphiquement, son trait est élégant et tout en finesse, la ville de New York, sous la pluie ou sous la neige, de toute beauté et ses personnages expressifs. Les couleurs de Seydas, froides et ténébreuses, apportent de la profondeur à cet album remarquable.
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Au XIXe siècle,un jeune homme, Bartleby, prend un emploi de copiste dans une étude notariale de New York mais peu à peu il prétend qu'il « préférerait ne pas » travailler, puis qu'il « préférerait ne pas » faire quoi que ce soit. ● Je ne suis pas un grand fan de la nouvelle de Melville que je trouve trop philosophique à mon goût, mais j'ai été estomaqué par la qualité de cette adaptation en BD. Les représentations de New York sont absolument somptueuses. D'une façon générale, les dessins sont fabuleux. La nouvelle est superbement adaptée et finalement je trouve l'album meilleur que la nouvelle ! ● Merci à Bazart d'avoir signalé ce titre.
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Partenariat sur NetGalley j'ai lu cette Bande dessinée sur ma tablette et je pense que j'ai perdu là beaucoup de la qualité des dessins et sur la vision des différentes planches composant la BD. Les BD en numériques c'est pas glop !
Les dessins de la ville de New York sont très beaux et l'atmosphère est bien rendue.
Les personnages, eux, sont davantage caricaturaux alors que les bâtiments sont très réalistes.
Mais venons en à l'histoire, car cette BD est l'adaptation d'une nouvelle de Herman Melville connue et reconnue...
Mais moi je ne l'ai jamais lu et par contre j'aurais désormais envie de la découvrir, pour voir si elle m'apporterait plus d'éclairage sur ce texte.
Car en effet je suis restée un peu sur ma fin et quelques éléments de compréhension de l'image m'ont sans doute échappé ... Sur la fin... Est-ce la véritable fin de Bartleby ?
J'ai retenu par contre la fameuse phrase :

"Je préfèrerais ne pas le faire"

Comme une résistance passive de la part d'un exécutant. Cette phrase peut être inspirante et utile pour répondre aux ordres que l'on juge idiots ou inutiles par exemple ! Hum hum 😇

Je vais pas vous faire le coup en vous disant que je préfèrerais ne pas émettre d'avis ce ne serait pas convenable... Mais je pense que la lecture de la nouvelle au préalable est sans doute une bonne chose pour un peu plus comprendre le sens de tout ça... Si sens il y a ...

En tout cas l'énigmatique Bartleby le scribe aura très bien su susciter les commentaires et les idées de beaucoup de monde plus intelligent que moi ...

Merci à NetGalley et aux éditions Dargaud pour ce partenariat

Quant à vous si vous préférer ne pas suivre mon avis
ou au contraire le suivre c'est bien vous qui voyez !

#BArtlebyleScribe #NetGalleyFrance

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J'ai été séduit (et intrigué) par cette adaptation en roman graphique, par José-Luis Munuera, de la célèbre et énigmatique nouvelle d'Herman Melville, parue en 1856.

Graphiquement, cet album est tout simplement superbe. Ces rues, proches de Wall Street, bordées d'immeubles de bureaux étouffants, sont bien rendues. Les teintes dominantes sont plutôt ternes, mais pas uniformément grises, parfois même à la limite de l'abstraction (pluie, neige…), avec de rares trouées de lumière dorée. Les personnages qui s'y meuvent sont plus dans le style habituel de Munuera, ce qui ramène un peu d'humanité dans cette histoire au fond terriblement triste.

Une fois l'album lu attentivement, j'ai voulu relire la nouvelle de Melville, pour m'assurer de ce qui y était vraiment, car j'avais eu à de multiples reprises le sentiment d'un décalage entre mon vague souvenir de lecture, assez lointain pour tout dire, et cette adaptation.

Le narrateur de la nouvelle, dont ne sait au fond pas grand-chose non plus, est ici forcément plus exposé. Munuera lui a adjoint des personnages qui lui permettent de dialoguer, ce qui n'était évidemment pas nécessaire dans la nouvelle. Et il le fait très habilement, notamment par des scènes de rue (ou d'église) qui ne sont pas toutes dans le texte.

Le personnage de Bartleby est d'une telle force que toutes sortes de commentaires ont été faits à son sujet. Munuera le rapprocherait d'une attitude volontaire de résistance passive, voire de désobéissance civile à la manière de Thoreau. Nous serions tous formatés pour être « another brick in the wall », pour reprendre une référence plus proche de nous dans le temps. Et la seule attitude possible est donc un refus radical de participer à cet état de fait.

Sauf que le personnage de Bartleby ne peut à mon sens être le porte-drapeau de ces idées… Objectivement, si on prend les choses dans l'ordre, son passé est un mystère total (la nouvelle ajoute une information finale mais qui n'en dit au fond guère plus sur lui), il ne participe à aucune activité de bureau qui impliquerait un échange humain, ne regarde personne en face, pas même le narrateur, ne sort pas du tout de cet immeuble dont il a fait un refuge absolu, se nourrit à peine. Sa seule réponse à tout c'est qu'il « préférait ne pas ». C'est en ce sens que toute tentative d'explication est forcément sujette à spéculations.

Une nouvelle facette de Bartleby nous est proposée dans ce très bel album, que je trouve adapté à la fois aux lecteurs qui découvriraient ce personnage mais aussi à ceux qui le connaissent déjà.
#BArtlebyleScribe #NetGalleyFrance
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Je préférerais pas
vous avouer
combien elle est sublime
je préférerais pas
vous inciter à la lire
je préférerais pas
vous raconter
ce qu'elle m'a chuchoté

je préfèrerais nettement
que de vous-même
vous y succombiez

je préférerais vraiment
que vous en lisiez chaque mot
ceux des bulles
ceux des textes
qu'ils soient de Delerm (pas pierre gorgée bière)
qu'ils soient de Melville lui-même
qu'ils soient du Scribe
qu'ils soient de Bartleby
ou
qu'ils soient l'écho des vôtres

Mieux encore
Je préfèrerais
que ses dessins,
que son atmosphère
que son rendu film muet colorisé
que ses nez distinguant les personnages
du plus petit au plus grand
de Margareth à
vous transportent
à NY, Manhattan, Wall Street
monde d'hier monde d'aujourd'hui

vous parlent
à vous et à vous seuls

Bartleby
lui
il a cessé
de préférer

devant un mur
il s'est planté
nous laissant seuls
soudain
lui
il préférerait ne pas

Moi j'ai préféré
la préférer
celle-là et pas une autre

Peu importe finalement
Soyez an abstèmes

Préférez

Bartleby, le Scribe - une histoire de Wall Street -
par Munuera, José-Luis
au scénario et au dessin
d'après la nouvelle de Melville, Herman
sort des sentiers battus ce 19 février 2021
chez Dargaud, Hors Collection

Préférer préférer préférer

et je préfère dire 1000 fois merci
à Dargaud et à NetGalley pour ce cadeau !

# Plaisir lecture # Rentrée littéraire 2021
# Bulles de plaisir absolu # Ma préférence à moi
# Melville autrement
# Revisitons nos classiques ou découvrons-les
# Désobéissance mode d'emploi

# Merci Jota Ele Munu et Respect (chapeau bulle)

# Utile je préfèrerais ne pas # Utile je ne serai pas
# Inutile je m'abandonne aux dessins et à leur mise en scène,
# le texte est de Melville, serait-ce utile de le rappeler

Scénario original:

New York City, quartier de Wall Street.

" Un jeune homme est engagé dans une étude de notaire. Il s'appelle Bartleby. Son rôle consiste à copier des actes juridiques.
Les premiers temps, Bartleby se montre irréprochable. Consciencieux, efficace, infatigable, il abat un travail colossal, le jour comme la nuit, sans jamais se plaindre. Son énergie est contagieuse. Elle pousse ses collègues, pourtant volontiers frondeurs, à donner le meilleur d'eux-mêmes.
Un jour, la belle machine se dérègle. Lorsque le patron de l'étude lui confie un travail, Bartleby refuse de s'exécuter. Poliment, mais fermement. I would prefer not, lui répond-il. Soit, en français : je préfèrerais ne pas.
Désormais, Bartleby cessera d'obéir aux ordres, en se murant dans ces quelques mots qu'il prononce comme un mantra. Je préfèrerais ne pas. Non seulement il cesse de travailler, mais il refuse de quitter les lieux... "

Metteur en scène et en dessins:

José Luis Munuera est né en 1972 dans le sud de l'Espagne. Après avoir étudié les beaux-arts à l'université de Grenade, il devient dessinateur d'"historietas", comme on dit en espagnol. Mais, à l'image de la presse écrite, le secteur de la bande dessinée traverse une période difficile dans les années 1990, et José Luis s'offre une escapade à Angoulême.
Il y rencontre Joann Sfar qui lui écrit les trois histoires des "Potamoks" (Delcourt). le succès se faisant attendre, les deux auteurs décident de proposer leur travail à un autre éditeur : Dargaud. C'est ainsi que les aventures de Merlin, fameux magicien toujours accompagné de Tartine, l'ogre, et de Jambon, le cochon, voient le jour. La série trouve son public, et, lorsque Sfar n'a plus le temps d'écrire les scénarios, Jean-David Morvan lui succède. C'est le début d'une longue collaboration artistique...
Munuera et Morvan se lancent alors dans le délirant "Sir Pyle S. Culape" (Soleil), puis, accompagnés de Philippe Buchet, ils imaginent "Nävis" (Delcourt), une série fantastique pour enfants.
Pendant ce temps, les deux comparses sont contactés par les éditions Dupuis qui leur proposent de raconter, à leur tour, les aventures d'un de leurs héros fétiches, Spirou. "Paris-sous-Seine" sort en 2004.
Depuis, Munuera enchaîne les succès avec des séries aussi bien pour les adultes – "Sortilèges" (Dargaud ; scénario de Jean Dufaux) ou "Fraternity" (Dargaud ; scénario de Juan Diaz Canales) – que pour la jeunesse – Walter le loup (Dargaud), "Les Campbell" (Dupuis) ou l'hommage au maître Jean Roba, "P'tit Boule & Bill" (Dargaud).

José Luis Munuera s'empare de la nouvelle d'Herman Melville dans une adaptation magistrale et porte un regard original sur ce texte, réflexion stimulante sur l'obéissance et la résistance passive.

PS: cela se sent (ou pas) quand je préfère adorer :)))
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Bartlelby le Scribe par Jose Luis Munuera est publié chez Dargaud.
Cette adaptation BD de la célèbre nouvelle d'Herman Melville est à mes yeux de néophyte en BD un petit bijou.
Je me dois d'abord de préciser que je n'avais pas lu la nouvelle de Melville au préalable alors découvrir Bartleby le Scribe à travers cette BD a été un choc mais des chocs comme ceux-là j'en redemande.
J'ai tout d'abord été séduite par le graphisme, les couleurs qui nous plongent dans Wall Street au milieu du 19è. Ensuite les textes dans les bulles sont épurés et efficaces.
Publiée en 1853 la nouvelle de Melville est à la fois un personnage qui "préfèrerait ne pas", une atmosphère survoltée face à l'immobilité de Bartlelby face à un mur de briques.

Une préface de Philippe Delerm et une postface d'Alex Romero éclairent le propos.
Un immense merci aux éditions Dargaud un coup de chapeau à Jose Luis Munuera
#BArtlebyleScribe #NetGalleyFrance

Je n'ai qu'une hâte me plonger dans Bartlelby le Scribe de Melville
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José Luis Munuera, propose une adaptation magistrale de la nouvelle d'Herman Melville, parue en 1856, accompagnée de magnifiques planches, qui donnent un beau rendu aux rues, proches de Wall Street, aux immeubles de bureaux vertigineux.

Les teintes sont assez ternes, dans des tons ocres, gris, avec de rares planches aux lumières dorées. Elles restituent l'atmosphère mélancolique de l'oeuvre de Melville, tout en apportant un côté vintage.

Munuera apporte une touche toute personnelle, avec des personnages permettant de créer des dialogues, ce qui n'était pas nécessaire dans la nouvelle de Herman Melville, puisqu'on ne sait que peu de chose du narrateur.

Le Bartelby de Munuera se rapproche d'une attitude volontairement passive, à la limite de la désobéissance, face au formatage que nous subissons. Donc la seule attitude saine serait de désobéir, mais sans violence.

Bartelby est un vrai mystère, et cela, jusqu'à la fin, il ne participe à aucune activité qui impliquerait un échange avec ses collègues, ne regarde personne en face, ne sort jamais de cet immeuble dont il a fait son refuge. Sa seule interaction est cette réponse, répétée à l'infini, comme un mantra : il « préférait ne pas ».

J'ai apprécié cette adaptation en roman graphique, par José-Luis Munuera, qui apporte une nouvelle vision de Bartelby et de la nouvelle de Melville.
Lien : https://julitlesmots.com/202..
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Bartleby , le scribe c'est au départ une nouvelle écrite par Herman Melville à qui on doit le célèbre roman Moby Dick .
l'auteur José -Luis Munuera en fera un roman graphique dont il est l'auteur et le dessinateur .
L'histoire est très , mais vraiment très étrange .
Bartleby est engagé chez un notaire dans le quartier de Wall Street pour recopier des actes notariés .
Les premiers jours il travaille sans relâche , jour et nuit , oui vous avez bien lu , évidemment il va commencer à énerver ses collègues qui voient d'un mauvais oeil , ce personnage trop parfait .
Et puis l'impensable arrive , un jour Bartleby prononce des mots étranges : je préférerais ne pas ...., et cette phrase il va la répéter inlassablement à chaque nouvelle tâche qu'on lui demande , sans la moindre émotion , sans donner la moindre explication , les jours passent , se succèdent et la mystérieuse phrase se répète à l'infini .
Personne ne comprend , Bartleby est une énigme qui ne sera jamais résolue .
Les dessins sont très beaux , très épurés pour représenter ce monde qui nous échappe .
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Herman Melville qui a écrit le célèbre « Moby Dick » s'est également penché dans une courte nouvelle sur un employé de Wall Street à savoir Bartleboy. Il voulait dénoncer les conditions de travail et proposer une certaine forme de désobéissance civile.

Ce dernier a en effet un dicton principe lorsqu'on lui demande d'accomplir une tâche particulière: je ne préférerais pas. Il est clair que si on répond cela à notre chef, on se voit flanquer par un licenciement en bonne et due forme. On est au travail pour l'accomplir sans avoir ses préférences. C'est la dure réalité du marché.

Il est vrai que le patron de Bartleboy est un vrai humaniste qu va tout faire afin de lui faire entendre raison. Mais rien ne pourra faire obstacle à la détermination de Bartleboy ce qui aura incontestablement une issue fatale. J'ai eu un peu de peine à la fin de ce récit tout comme ce patron bienveillant.

La moralité de ce conte urbain et professionnel est d'une logique implacable. Il faut se couler dans le moule ou sinon gare ! Il est vrai que beaucoup d'individus l'accepte sans se poser de questions. Cependant, ce n'est pas le cas de tout le monde et j'ai envie de rajouter le mot « heureusement ».

Bref, cette lecture ne nous laissera pas de marbre.
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Je ne connaissais pas la nouvelle de Melville à l'origine de cette BD. Difficile donc de juger de la fidélité de cet album à l'oeuvre originale. Je me contenterai donc de vous parler de ma lecture.
L'atout majeur ici, c'est la beauté des dessins, avec des planches déclinées dans un camaïeu, tantôt de bruns, tantôt de gris, offrant, malgré une certaine uniformité de la palette, des dessins d'une richesse époustouflante et d'une beauté surprenante.
Pourtant, l'intrigue n'est pas en reste, malgré une passivité indiscutable. Parce que c'est là qu'est l'enjeu : Bartleby résiste passivement aux ordres qu'on lui donne. Et c'est cette passivité qui va réveiller chez nous toute une succession de sentiments à l'encontre du personnage (ou en sa faveur). Jusqu'au dénouement, chargé en émotion. Parce que cette résistance dans l'inaction force le respect envers ce personnage dont on n'aura jamais qu'une réplique : je préférerais ne pas...
Un grand merci aux éditions Dargaud et à Netgalley pour cette découverte.
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