Formidable interview de David Hertz, à l'occasion de son dernier roman "Profession Chaman d'Entreprise", qui évoque le management intuitif, le leadership conscient...
L'interview complète est de 53 minutes 21 secondes, vous pouvez retrouver la version courte de 19 minutes 8 secondes sur Reportage Suisse Romande : https://www.youtube.com/watch?v=RPJWTZ5iPYU&t=2s
A PROPOS DU ROMAN "Profession Chaman d'Entreprise" : Ce livre est un plaidoyer original pour le développement de sa conscience dans le domaine entrepreneurial comme dans la vie de tous les jours. Vous y découvrirez comment créer des ponts entre le visible et l?invisible en développant votre intuition au service de votre vie privée, mais aussi des équipes et des organisations. Un merveilleux roman nous apprenant que nous pouvons , nous-aussi, au quotidien, nous relier au subtil et être plus conscient du champ d?informations qui nous parvient et ainsi révéler les dynamiques cachées. Commander le livre ici : https://bit.ly/2IDvRB9
SYNOPSIS : le personnage principal, François, est consultant dans un cabinet international. Sa quête de développement personnel, son intuition et son ouverture aux mondes invisibles l?amènent à transformer sa pratique du conseil aux entreprises en un art qui allie spiritualité et business. Des forces extérieures le guident dans sa recherche. Ses épreuves initiatiques lui permettent de vivre son mythe personnel. http://www.club-livre.ch/#david_hertz
A PROPOS DE L'AUTEUR : David Denis Hertz est détenteur d?une licence en sciences commerciales et industrielles et Master Coach certifié. Sa société, Wakan, forme des coaches professionnels. Il intervient auprès d?entreprises internationales et des particuliers. Passionné de développement de conscience, il crée des ponts entre l?intangible de l?esprit et le concret de l?existence. http://reportage-suisse-romande.ch/qu...
A PROPOS DE WAKAN : "Nous ouvrons un chemin reliant l'invisible et l'intangible de l'esprit au concret de la vie professionnelle et privée. Nous intégrons éveil, développement de conscience et défis quotidiens. Nous plaçons la quête de sens au c?ur d'une démarche expérientielle. Nous nous adressons aux entreprises et organisations comme aux individus. Nous sommes inspirés par «WAKAN» terme tiré de la langue Lakota signifiant: "sacré" dans le sens "qui inspire le respect absolu par sa haute valeur".. http://www.wakan-sib.com/
Main Media : Club du Livre via Reportage Suisse Romande @ReportageSuisseRomande
Participation : Valeur Suisse Institut via Eva Cazan
Interviewer : Manuela Nathan @manuela.nathan
Maquillage : Make-upNatural (Amélie Christiaen)
Coiffure (de Manuela) : Damien&Co @damiendamienandco_coiffure
Partenaire principal : Wakan
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Remerciements :
DAVID DENIS HERTZ (FOUNDER AND EXECUTIVE DIRECTOR AT WAKAN - SPIRIT IN BUSINESS & LIFE, MCC), GUILLAUME MAIN (RÉALISATEUR ), NADYA EVA MAZVIITA CAZAN (PHOTOGRAPHE) STÉPHANE MOGNOL (CAMÉRAMAN), CHIARELLI DYLAN (DRONE PILOT), MANUELA NATHAN (TV REPORTER & EXECUTIVE PUBLIC RELATIONS - DIRECTOR, HUMAN RESOURCES & CORPORATE), AURELIE DARACTZ (DIRECTRICE MARKETING, JIVA HILL RESORT), FABRICE MERCIER (DIRECTEUR GENERAL, JIVA HILL RESORT), EMILIE BASTIEN (ARTISTIC DIRECTOR), AURELIE GARCIA (EXECUTIVE ASSISTANT PRODUCER), MICHAEL BOUVARD (EXECUTIVE PRODUCER), David Denis Hertz, Manuela Nathan, Michael Bouvard, Aurelie Garcia, Aurélie Daractz, Nadya Cazan, Dylan Chiarelli, Jiva Hill Resort, Payot Libraire, Fnac Suisse, Editions La Source Vive, Pedro Brandao Amandine Herzog, Amandine Gantz, Kim Grootscholten, Fondation ONG TOIT POUR TOUS, Luciano Cavallini, Laure Mi Hyun, Croset le Crozet en Fête, Valeur Suisse Institut, Vanoa VH, Bessa Myftiu, Sabrina Lavaux, Dorothée Vouillamoz, Guillaume Main, Stéphane Mognol, Amélie Christiaen, David Dreux, Laetitia Dellerm, salon du livre
Lieu : Hotel Jiva Hill Resort (Le Crozet), Relais événement Club du Livre du 18 avril 2018, Facebook: https://www.facebook.com/events/16257...
Source video, Youtube : https://youtu.be/G6M_TqMPy2s
Source video, Facebook : https://www.facebook.com/reportagesui...
Article Web : http://reportage-suisse-romande.ch/qu...
Article Web (2) : http://www.club-livre.ch/#david_hertz
Article Linkedin : https://www.linkedin.com/in/formation...
Club du livre
https://www.facebook.com/clubdulivre
Bessa Myftiu
EAN : 9782970117124
Encre fraîche (30/06/2018)
/5
1 notes
Encre fraîche (30/06/2018)
Résumé :
Présentation de l'éditeur :
Il y en a qui évitent d’espérer par peur de la déception. Mais il faut considérer la chose sous un angle différent. Rêver constitue déjà un bonheur, pour quelle raison s’en priver ? Que le rêve ne se réalise pas, c’est tout à fait normal ; au moins, il permet d’être heureux en attendant son accomplissement. Et si le rêve se réalise, alors un autre bonheur peut voir le jour...
Il y en a qui évitent d’espérer par peur de la déception. Mais il faut considérer la chose sous un angle différent. Rêver constitue déjà un bonheur, pour quelle raison s’en priver ? Que le rêve ne se réalise pas, c’est tout à fait normal ; au moins, il permet d’être heureux en attendant son accomplissement. Et si le rêve se réalise, alors un autre bonheur peut voir le jour...
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Critiques, Analyses et Avis (1)
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À peine une quinzaine après ma critique du roman "Confessions des lieux disparus" de l'écrivaine albano-suisse, me voilà de retour avec un autre ouvrage de Bessa Myftiu et - au risque de vous ennuyer - j'ai encore 2 oeuvres en réserve de ce professeur à la Haute École Pédagogique de Lausanne. Il y a quelques mois, le nom de Myftiu m'était totalement inconnu de même que ceux d'Ornela Vorpsi et Gazmend Kapllani, 2 autres auteurs albanais de qui j'ai fait la critique d'un livre... on va finir par penser à Babelio que j'ai du sang albanais dans les veines, ce que mes parents m'auraient alors bien caché.
La dame de compagnie est ce qu'elle appelle elle-même "une amie payée" pour "apporter un peu de présence à des âmes esseulées", ou à des "vieillards, paraplégiques, aveugles et invalides de toutes sortes". Elle est diplômée en philo et littérature et après avoir accepté plein de petits jobs minables, elle est tombée par hasard sur une annonce dans le journal et, à l'âge de 30 ans, s'y est lancée.
Au début du roman, elle tient compagnie à Karl Bachmann, un vieillard aveugle avec une énorme bibliothèque (le pauvre), à qui elle lit à haute voix le roman magnifique de l'auteure d'origine hongroise, Agota Kristof, qui a également eu un franc succès sur Babelio : "Le grand cahier". La jeune plaît beaucoup à l'ancien pédiatre, qui est toujours disposé à lui payer un léger supplément pour qu'elle reste un peu plus longtemps.
Ses retards ne plaisent guère à Robert, son fiancé qui adore faire la cuisine pour la gâter.
Un deuxième "client" est le jeune paralysé Arthur, victime d'un accident avec la moto qu'il avait reçu pour ses 20 ans.
Tenir compagnie à cet invalide ne constitue pas une sinécure, car il ne pense qu'à se suicider. Il refuse de voir sa bien-aimée amie Lucie et de sortir en chaise roulante. Heureusement que notre héroïne a étudié la philo, car Arthur aime citer Sénèque et Kant.
La numéro 3 de sa clientèle, Fanny, a 90 ans et a été pendant des lustres une actrice de théâtre très demandée. La tâche de notre dame de compagnie consiste essentiellement à écouter, car son stock d'histoires vécues est pratiquement inépuisable. Fanny "n'est qu'une petite fille avec un passé de grande dame", toujours sur son 31 et maquillée à outrance.
Angéline Droz, la n° 4, a 56 ans, est prof de musique à temps partiel et est presque normale. Elle est fille unique, née sur le tard, et a passé de longues années uniquement à vivre avec et pour ses parents. Sans ami-e-s ou amants, elle estime pourtant ne pas connaître la solitude grâce justement à la proximité de ses parents adorables.
Présentation faite de l'honorable clientèle de notre dame de compagnie, l'ouvrage ne s'arrête pas là, bien entendu.
Il y a une triple interaction : d'une part entre la dame de compagnie - que j'appellerai Afrore, un prénom féminin albanais type, pour plus de commodité - et ses mandataires ; entre Afrore et son Robert et (tenez-vous bien) entre certains clients d'Afrore.
Je vous assure que vous passerez à la lecture de ce roman original des moments agréables, plein de surprises intéressantes.
À part nous offrir un conte qui sort de l'ordinaire sans être pour autant invraisemblable, Bessa Myftiu s'est montrée une maîtresse de la formulation, digne d'un Oscar Wilde en moins cynique. Les 198 pages de son récit comptent un nombre extraordinaire de citations. Un exemple, la presque centenaire actrice Fanny rapporte à Afrore, en quelque sorte en guise de conclusion de sa longue vie : "J'ai donné et reçu de l'amour... le reste n'est pas important". Et à la page 137 : "... en Suisse existent seulement deux saisons : l'hiver passé et l'hiver prochain ".
Ce talent est admirable, surtout si l'on considère que l'auteure écrit directement en Français, une langue bien différente de sa langue maternelle.
Bessa Myftiu sait aussi apprécier la belle nature de son pays d'adoption. En lisant sa superbe description du village, barrage et Lac d'Émosson dans le Valais, on a envie de s'y rendre de suite.
Je suis convaincu que la lectrice et le lecteur peuvent faire confiance à une dame qui note dans son court roman, presque en passant, la phrase célèbre de Montaigne : "Je n'ai jamais eu de chagrin qu'une heure de lecture n'ait dispersé".
Citations et extraits (1)
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" Le hasard, c'est la façon dont ce qui est inévitable arrive. "
(page 141).
(page 141).
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