C'est pour moi l'apanage des grands écrivains ou artistes qui sont chers à mon coeur que de nous faire aller vers des espaces où on n'avait pas songé d'aller par dédain ou par désintérêt.
C'est Henri Miller qui m'avait entrainé vers le clown avec le Sourire au pied de l'échelle, c'est Basquiat qui m'a fait aimé ses masques alors que je déteste comme mon chien les masques africains, c'est
VS Naipaul qui de main de maître me fait aimer l'Afrique de son oeil à la fois intransigeant, péremptoire et humain par des contours bien à lui comme ces fameux « troubles qui succèdent à l'indépendance » avec À la courbe du fleuve.