C'est un autre Napoléon, Charles de son prénom, qui a lu les 36 000 lettres de la correspondance de son aïeul et le Mémorial de Sainte-Hélène pour retrouver les mots où l'empereur se découvre pour dévoiler l'homme. Ce portrait est beau et contrasté comme la terre de Corse où les couleurs les plus vives côtoient les traits les plus sombres, où l'homme le plus puissant de la terre à cette époque est aussi un enfant, où des rêves fous surgissent des tristes revues des ...
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