Terreur de l'Ange : celle qu'il inspire, celle qu'il peut éprouver... Méditant l'Histoire, Walter Benjamin la compare à l'Angelus Novus de Paul Klee, le " visage tourné vers le passé ", là où ne cessent de s'amonceler " ruines sur ruines ". Heiner Müller reprend l'allégorie et place son Ange malchanceux en face d'un futur " qui s'amasse devant lui ", non moins désastreux que le passé benjaminien. Catherine Naugrette leur emboîte le pas, qui nous propose en quelque s... >Voir plus