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Game - Entre nos corps tome 1 sur 4
EAN : 9782369743002
Akata (08/03/2018)
3.49/5   68 notes
Résumé :
[LIVRE RÉSERVÉ A UN PUBLIC AVERTI]

Sayo Fujî, 27 ans, est cadre dans un cabinet comptable. Aussi brillante qu’efficace, elle subit le regard désapprobateur de la plupart des hommes qui l’entourent, qui la jalousent ou acceptent mal qu'une femme se consacre autant à sa carrière professionnelle. Sous ses dehors implacables, Fujî en souffre, comme elle souffre de la solitude qui régit son existence dans l’intimité. Mais l’arrivée d’un nouvel employé au s... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (27) Voir plus Ajouter une critique
3,49

sur 68 notes
Club N°56 : Manga non sélectionné
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On suit une femme qui va à l'encontre de l'image que la société asiatique voudrait qu'elle renvoie.

Elle est autonome, carriériste et enchaîne les conquêtes.

Puis on rencontre un jeune homme qui va la renvoyer à son statut de "femme dominée".

Intéressant et dérangent à la fois.

Mel
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Sans relief...

Vincent
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Je lis bien trop peu de josei alors que j'aime beaucoup ça mais il faut dire qu'il y a plus de choix en shojo. J'aimerais vraiment en lire un peu plus car ça va aussi avec mon âge (le josei mettant en avant des romances adultes). Ayant vu les premiers tomes de Game disponibles à la médiathèque, je me suis dit "pourquoi pas? ça me changera un peu de ce que je lis d'habitude" et effectivement, c'est le cas!

Sayo, 27 ans, ne pense qu'à son travail. C'est boulot, boulot, boulot. Elle est cadre dans un cabinet comptable et elle n'a jamais de relations sérieuses, les hommes lui reprochant toujours d'être trop "froide", "sérieuse", trop obnubilée par son travail. Elle ne le montre pas forcément mais elle souffre de cette situation, elle se sent seule. Au cabinet, deux nouvelles recrues masculines débarquent dont Kiriyama que Sayo va devoir aider à s'intégrer dans la boîte. Ce dernier se montre très direct et sait ce qu'il veut! Elle lui résiste un moment mais s'en vient ensuite un jeu dangereux entre eux. du sexe, pas de sentiments et une relation charnelle libre qui s'arrêtera lorsque l'un des deux tombera amoureux (de l'autre ou de quelqu'un d'autre). Les deux jeunes gens risquent de se brûler les doigts, de se prendre à leur propre jeu. Lequel des deux craquera le premier?

Je peux tout à fait comprendre que les hommes aient "peur" de Sayo au début de la saga. Il est vrai qu'elle est très sérieuse, assidue, focalisée sur son travail, assez inexpressive. Au fil des tomes, évidemment, on va voir sa carapace se fragilisait peu à peu. Il faut qu'elle se lâche beaucoup plus et sa relation ambiguë avec Kiriyama le lui permet. Elle a du mal à accepter les compliments que lui fait Kiriyama et elle ne sait pas s'il ne fait que jouer avec elle. de tome en tome, elle prend de l'assurance, surtout dans leur relation charnelle. Kiriyama n'est plus le seul à mener la danse. Il est évident qu'elle commence à avoir des sentiments pour lui et en a peur. Mais lui, en a-t-il pour elle?

Au bout de quatre tomes, Kiriyama me met toujours mal à l'aise. Sa façon d'être, de penser parfois, d'agir, son visage et son regard me fichent un peu les jetons. Il est toujours direct, il sait ce qu'il veut et ne le cache pas. Il est plutôt dominant et taquin. On va voir quelques moments de vulnérabilité mais ils sont encore bien rares. Je ne sais sur quel pied danser, quoi penser de lui, savoir s'il est sincère, s'il ne fait que jouer. Il peut se montrer doux, gentleman mais il est parfois brutal aussi! Il y a des moments qui me laissaient perplexe, qui m'ont mise mal à l'aise. Et quand la mangaka l'a mis en avant dans un chapitre spécial (on est constamment dans la tête de Sayo donc c'était bienvenu), elle a décidé de nous mettre un pan de son passé et cette partie ne m'a pas plu du tout! ça a confirmé son côté addict au sexe, dominateur, joueur, macho, d'homme qui fuit toute relation sérieuse! Ce chapitre bonus m'a refroidi et donc j'espère que Kiriyama va changer en bien par la suite!

Je sais très bien que ce petit jeu de "pas de sentiments, juste du sexe" entre deux collègues finira inévitablement par une vraie relation avec sentiments mais bien sûr, ça ne viendra pas de sitôt. J'aime à voir le cheminement pour en arriver là. Dans ce tome 4 d'ailleurs, il commençait à y avoir des moments de partage entre eux qui ressemblaient à ceux d'un véritable couple et évidemment, même la jalousie commence à s'installer (plus visible du côté de Sayo) alors qu'ils avaient dit que leur relation était libre, ils avaient le droit d'aller voir ailleurs. Il y a un peu plus de piquant dans leur relation charnelle, histoire d'échapper à la monotonie mais il n'empêche que le côté malsain de cette relation ressort fortement. Quant à savoir qui allait perdre ce jeu _ même si je ne pensais pas que ça arriverait si vite _ il y a des signes qui me faisait dire que c'est Sayo qui allait craquer la première et j'ai vu juste car gros retournement à la fin du tome 4! Elle est tombée amoureuse... mais de lui! Tous les deux ne savent pas ce que c'est d'aimer, ce qu'est le véritable amour donc ça risque d'être compliqué par la suite, si tant est que Kiriyama n'agisse pas comme un odieux mec comme il l'a toujours fais avec ses conquêtes!

C'est aussi dommage que l'environnement dans lequel évolue nos deux protagonistes ne soit pas plus développé. On sait juste qu'ils travaillent dans la même boîte, on voit graviter leurs collègues autour, leur relation doit rester secrète au boulot. Dans le tome 4, il y a juste un peu de changement car la période d'essai de Kiriyama est terminée (même si Sayo reste sa supérieure). Il n'y a vraiment que la relation des deux personnages qui est mis en avant.

ça manque cruellement de rythme. C'est lent. Il se passe à chaque fois peu de choses d'un tome à l'autre et du coup, on retrouve régulièrement le même schéma. Un peu trop de répétitivité, ce qui est dommage.

C'est un manga pour public averti surtout. Il y a énormément de scènes de sexe par tome. Ce n'est pas non plus choquant ni vulgaire mais c'est très explicite. Il faut dire que le sexe est tout l'enjeu du manga. Les scènes de sexe sont bien dessinées, c'est extrêmement sensuel.

Je ne suis toujours pas fan-fan des dessins au bout de quatre tomes mais je m'y suis faite. C'est simple, sans fioritures, le trait de crayon est fin et délicat, plaisant mais je n'adhère pas vraiment au design des personnage, surtout de Kiriyama. Et chose qui m'agace au plus au point, c'est le bruitage! Oui, il y a du bruitage dans un manga! Toutes ces petites exclamations telles que "haa", "fffrrr", "ho"... Il y en a beaucoup trop! Certains se justifient, mais il y en a juste trop, ça me saute aux yeux et ça me gêne durant ma lecture.

A la fin du premier tome, mon avis était clairement mitigé. Je n'étais absolument pas sûre de continuer mais je l'ai fais par curiosité et au final, j'ai bien fait même si ce n'est pas le manga le plus ouf que j'ai lu. Mais il est vrai que je tiens à voir l'évolution de Sayo et Kiriyama, de leur relation et vu la fin du tome 4, ça va devenir franchement très intéressant.
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Mai NISHIKATA est une mangaka d'origine japonaise ayant débuté sa carrière dans en 2001, avec une histoire courte intitulée Chô dans le magazine The Hana to Yume. Par la suite, elle écrira Cyboy en deux tomes (2008), Hana no Kishi en 5 tomes (2010) et le one shot Danshigurashi en 2013. Ses travaux restent inédits en français. En 2015, elle se lance dans son nouveau projet intitulé GAME - Suit no Sukima, premier manga de l'auteure à paraître en français aux Éditions Akata sous le titre de GAME- Entre nos corps. Au Japon le titre est prépublié dans Love Jossie des éditions Hakusensha. Il est toujours en cours de parution avec trois tomes, déjà vendu à plus de 200 000 exemplaires. En France, le tome 2 est déjà prévu pour le 28 juin, et le troisième le 13 septembre prochain. Depuis le 1er mars il est possible d'acheter la série en version numérique au prix de 0.99€ le chapitre. 

La particularité de GAME est qu'il flirte avec le genre New Romance très populaire depuis la parution en librairie de romans du type After de Anna Todd ou encore les fameux 50 Shades of Grey, pour ne citer que ces deux-là. On peut donc décrire ce manga, après la lecture, comme un Shojo plus tourné vers le Josei, destiné pour un public âgé de plus de 15 ans.

GAME - Entre nos corps est l'histoire de Sayo Fujî, 27 ans, cadre dans un cabinet comptable. Brillante et efficace dans son travail, elle n'a rien a envier à ses collègues masculins. Pourtant, au vu de son ambition professionnelle et de sa froideur apparente, ces derniers acceptants mal qu'une femme puisse être aussi bonne qu'eux (ou par malheur plus douées), ne se gênent pas pour la critiquer. Sous son apparence impeccable et froide, Sayo en souffre énormément tout comme de sa solitude qui régit sa vie personnelle. C'est alors qu'arrive un nouvel employé, Ryôichi Kiriyama, et qui va très vite s'intéresser à la jeune femme. À peine arriver, il ne se gênera pas pour proposer à la jeune femme de coucher avec lui. Dans un premier temps choquée par cette invitation particulière (et quelque peut déplacée), Sayo finira par accepter. La relation professionnelle se transforme en un jeux du chat et de la souris, sans que les sentiments n'entrent en ligne de compte, et où seul le désir et le plaisir charnel prime...

Dès les premières pages, le récit nous met dans le bain. À savoir Sayo en plein coït avec son petit ami, interrompu dans l'action par un appel téléphonie du patron de la jeune femme. Ne se souciant nul guère de la situation, elle répond, provoquant le ras-le-bol général de son petit ami qui décide de mettre un terme à leur couple. On comprend alors très vite dans ses mots que ce n'est pas la première fois qu'elle fait passer son travail avant sa vie intime.

Ce qu'il y a de très plaisant dans GAME est le fait que nous ayons le droit à un personnage féminin fort, indépendant et qui n'a pas peut de se mesurer aux “mâles” pour prouver qu'elle n'est pas moins bonne qu'eux. C'est assez rare pour le souligner, surtout qu'au Japon le femme n'a pas la même place que l'homme dans la société, laissant l'homme briller plus facilement, et elle étant plus une épaule de soutien pour lui. Pourtant il serait injuste de placer cette vision de la société uniquement dans ce pays, puisque depuis des années et des années la femme ne cesse de se battre pour avoir le droit d'exister au même titre que l'homme dans le milieu professionnel. Si les mentalités ont commencé à changer il n'est pas rare (et triste) de voir un homme (ou même une femme !) déclarer que la place de madame est aux fourneaux, à l'entretien du foyer et l'éducation des enfants. Dans GAME - Entre nos corps, pas le temps de faire la popote, non. Sayo est une femme qui sait ce qu'elle veut et qui se démène pour arriver à se réaliser.

Néanmoins, en lisant ce premier tome on est frappé par ce sentiment de solitude et de tristesse qu'elle dégage. Ayant pleinement conscience des commentaires fait par ses collègues, souvent trop peureux pour les assumer quand elle fait signe de les avoir entendus, la jeune femme semble vouloir se noyer dans une montagne de boulot pour une raison qu'on ignore. Si le tome 1 ne donne pas encore des éléments de réponse, on ose espérer après la lecture que la suite nous donneront quelques explications, notamment avec, pourquoi pas, des retours dans le passé. le protagoniste principal masculin, Kiriyama, appairait dès le début comme une séducteur hautement détaché de toute volonté de construire une relation amoureuse. Lui, il n'avance que dans l'optique de charmer, conquérir les corps et non les coeurs.

De ce fait, il m'a été impossible de m'attacher à lui, et je ne pense pas - enfin à mon humble avis - que la mangaka n'est écrit ce personnage comme quelqu'un de chaleureux et qui communique une compassion. Cela est très certainement dû au fait que le manga nous est raconté du point de vue de Sayo et ses pensées et que nous n'avons jamais une fenêtre d'accès aux pensées du jeune homme. Il apparaîtra d'ailleurs parfois comme un Don Juan (assez lourd) dont le sourire malicieux ne cesse de nous souffler du froid comme du mystère. Après la lecture, beaucoup de questions le concernant nous viennent à l'esprit. Pourquoi est-il si centré sur le charnel ? Qu'a-t-il vécu pour paraître aussi froid ? Pourquoi s'est-il intéressé à Sayo ? Des questions qui peuvent très bien se poser envers la jeune femme... et l'amour finira-t-il par se manifester ? 

Mais si le récit aurait pu très vite tourner au “jeu” de la femme victime de harcèlement de la part de son collègue, il n'en ait rien. En effet, en acceptant de débuter une relation physique avec Kiriyama, Sayo se place à arme égale avec lui. La relation très physique entre les deux sera très présente, bien entendu, rappelant grandement les romance New Adult des romans. Mais au fur et à mesure, on relève quelques failles dans la carapace impénétrable de ces jeunes gens, puisque tour à tour chacun tentera de faire éprouver quelque chose à l'autre. Mais quoi ? On assistera à des provocations pour tenter de déclencher la jalousie de l'autre, tout en veillant à ne pas se faire prendre à son propre piège. Sayo n'étant pas née de la dernière pluie, elle tiendra tête à son camarade de coucherie, tout en prenant les devants à certains moments. Une approche psychologique qui on espère sera encore plus développée dans la suite...

L'une des qualités de GAME - Entre nos corps, est le trait de Mai NISHIKATA toute en sensualité dans les nombreuses scènes intime sans jamais basculer dans du Hentai. Son approche est à la fois humaine et espiègle. le design des personnages est finement bien dessiné. Les visages sont dures et doux, très communicatifs sur les expressions. Par exemple, on peut très bien avoir une case exprimant la jouissance d'un personnage comme sa peine dans la suivante. En bref, à aucun moment les planches ne sombrent dans le vulgaire, et gardent une touche très sensible.

L'édition de Akata est très belle puisque le noir de la couverture et le rouge du titre jouent très bien sur l'aspect “roxanisé” du récit, petite référence à la mythique chanson du groupe The Police ("Roxane"), qui me vient à l'esprit. La traduction de Satoko Fujimoto est de qualité et ne présente aucune coquille. le seul petit reproche que je pourrais faire à Akata, est de ne pas avoir mis un logo pour "public averti" à l'arrière. Il y est certes écrit "érotique", mais pas certaine que le lecteur lambda y prête attention. 

En conclusion, GAME - Entre nos corps se pose comme un manga évoluant sur le fil de l'érotisme et du psychologique, avec des personnages soufflant tantôt le chaud et le froid auprès du lecteur. le dessin de Mai NISHIKATA offre de magnifiques planches sensuelles, parfois presque pudiques. Si les très nombreuses questions viennent nous troubler, nul doute que ce jeu où l'on ne sait plus qui est le chasseur et qui est la proie, possède les possibilités de nous offrir un récit adulte et convainquant.
Lien : https://wp.me/p8tDdS-4TV
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Un premier tome intéressant mais sans plus. J'apprécie l'idée, la femme bourreau de travail et l'homme qui veut s'amuser, qui la voit comme un défi, la femme qui accepte et le jeu qui commence. Je n'ai jamais lu ce genre de mangas, c'est donc une découverte pour moi. Je pensais qu'il y aurait des scènes plus explicites mais non, donc rien de choquant dans les dessins. Dessins qui sont plutôt agréables à regarder d'ailleurs.

Concernant les personnages, je ne suis pas convaincue. Je les trouve trop plats et sans saveur. Peut-être est-ce le temps d'entrer dans le récit et d'apprendre à les connaître. J'espère que le tome suivant nous permettra d'en savoir plus mais aussi d'avancer ! Ce tome-ci était très centré sur les mêmes événements, il ne se passait pas grand-chose.

Je donne sa chance au suivant, en espérant que l'histoire progresse et que les personnages se montrent plus profonds.
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Sayo est une jolie jeune femme ambitieuse, bourreau de travail pour montrer qu'elle est aussi compétente que ses collègues masculins (ce qui est assez déplorable, non ?). Côté vie perso, le succès n'est pas au rendez-vous et Sayo se sent seule.
Lorsque qu'elle doit prendre sous son aile Kiriyama, les choses vont évoluer : en effet, ce dernier lui fait du « rentre-dedans » avec des regards sirupeux et en lui proposant de coucher avec elle juste pour le plaisir. D'abord choquée, Sayo se laisse embarquer pour voir qui aura le dessus et si elle est capable ou pas de tomber amoureuse.

Le graphisme est joli, quelques scènes sont osées mais je pensais qu'il y en aurait plus au vu des teasings que j'avais lus. En tant que femme, j'avoue que Kiriyama m'a mise mal à l'aise, les expressions de son visage sont très parlantes. Comme je le craignais, le scénario reste un peu plat et stéréotypé. Faut vraiment être fan du genre pour aimer… Personnellement, je ne lirai pas la suite.
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critiques presse (2)
ActuaBD
14 mai 2018
Un titre de genre plutôt efficace, joliment dessiné, jouant de sentiments et de situations crues et directes, mais jamais vulgaires, autour de la notion d’affection et de domination bien dans l’air du temps et qui devrait ravir les amateurs du genre.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
BoDoi
09 avril 2018
Un manga qui cherche à émoustiller les lectrices, sorte de version soft de Cinquante nuances de Grey, rien de plus.
Lire la critique sur le site : BoDoi
Citations et extraits (14) Voir plus Ajouter une citation
Je vais m'appliquer à vous rendre jalouse.
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Mais entre lui et moi… ce n’est pas de l’amour. Tout ceci… n’est qu’un jeu. Le premier qui baisse sa garde… a perdu.
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Bientôt un mois... depuis le début de notre "jeu". Et en moi, toujours pas l'ombre... d'un sentiment amoureux...
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"Chacune de leurs déclarations m'a touchée droit au coeur. Et à chaque fois, j'ai aimé être avec eux. Et... c'est tout. Le travail a toujours été ma priorité. Bien sûr qu'ils m'abandonnent sachant qu'ils passent toujours en second. Si c'est une partenaire sexuelle que vous chercher, très peu pour moi! Quelle condescendance! En réalité, je suis comme Kiriyama. Je n'ai jamais aimé personne."
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Deux choses. Premièrement, je ne fais pas l'amour. Je baise. Brutalement.
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