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3,79

sur 114 notes
Je suis une inconditionnelle de J.C.O. .

C'est l'histoire de Zoe Kruller, jolie serveuse , toujours impeccable, se rêvant star de la chanson découverte assassinée dans son lit, la pièce saccagée , dessous féminins éparpillés , serviette trempée de sang, produits de beauté par terre , tube de talc répandu sur le sol.....
La police de Sparta vise aussitôt deux suspects Delray , le mari dont Zoe est séparée et Eddy Diego, son amant de longue date, un homme marié avec deux enfants , connu pour son caractère emporté, son penchant pour la boisson .

L'enquête piétine , en l'absence de preuves , ravageant l'existence de ces deux hommes , saccageant surtout l'avenir de leurs enfants .
Les deux adolescents Krista Diehl, quinze ans et Aaron Kruller , se voient sacrifiés à l'histoire familiale : «  La trahison est ce qui fait mal. La trahison est la blessure la plus profonde . La trahison est ce qui reste de l'amour , quand l'amour a disparu » ,.....

Chacun ,en tout cas est persuadé que le père de l'autre est l'assassin , redoutable obsession que les années n'entameront en rien.

Lors de ce récit sombre, obsessionnel , un univers brutal où l'alcool et la drogue font oublier le quotidien , où l'incompréhension, la dureté est un grand rempart ....
Mais rien n'est simple , hélas est ce qu'une nouvelle vie sera possible?

La présomption de culpabilité ronge les hommes , les familles et dissout l'entourage , petit à petit .
J'ai lu plus de quinze ouvrages de J.C'. O.
Pour la première fois je n'ai pas été passionnée par cette histoire, pourtant disséquée avec le plus grand soin, d'une manière implacable , car l'auteure aime observer, disséquer, analyser jusqu'a l'obsession le comportement des protagonistes.
Leur évolution dans le temps , est presque trop creusée , au fil d'un intrigue très lente, manquant de faits concrets , un peu comme un pensum , quelque part ...
Je pense que l'auteure , cette fois, use et abuse de ce mécanisme , enlevant du dynamisme et du souffle au récit ...
Une lecture très laborieuse au début mais l'étude psychologique, noire, désespérante , fouillée , rien de joyeux , au demeurant , reste convaincante .

L'imagination de J.C.O., comme toujours ne connaît pas de limites ...
Je ne conseille pas aux lecteurs de commencer par cet ouvrage !
Mais ce n'est qu'un avis , bien sûr !
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"On joue les cartes qu'on vous a distribuées." : ainsi s'exprime, fataliste, l'un des personnages du roman.
Avec cette réflexion, nous voici au coeur du sujet de cet ouvrage : notre vie est-elle conditionnée par notre naissance ? Peut-on sortir de sa condition ou est-on condamné à y rester, sans aucun espoir d'un avenir différent ?

Joyce Carol Oates adore la famille, source d'inspiration quasi inépuisable pour elle.
Ici, nous en avons deux, liées par un meurtre non élucidé.
Zoe Kruller a été brutalement assassinée, et la police locale a deux suspects : l'ex-mari Delray et l'amant Eddy Diehl.
Les années passent et les deux hommes, sujets des suspicions et des rumeurs les plus folles ont depuis longtemps dit adieu à une vie normale.
Mais ce ne sont pas les seules victimes collatérales de cette affaire, leurs enfants sont également profondément marqués : Aaron Kruller et Krista Diehl sont tous deux persuadés que le père de l'autre est l'assassin.
Comment grandir dans ces conditions ?
Peut-on devenir un adulte équilibré lorsque l'on a subi un tel traumatisme ? Quand on développe une telle obsession pour l'autre ?

Sur cette trame, Joyce Carol Oates a bâti un roman dans lequel elle analyse, comme elle sait si bien le faire, la psychologie des différents personnages, les principaux et ceux qui gravitent autour d'eux. Pour les habitués de l'auteur, dois-je préciser que tout ceci se passe dans un univers brutal et glauque, dans lequel nul n'est blanc comme neige ?

Contrairement à bien d'autres livres de la romancière américaine, j'ai trouvé le début moins percutant, moins incisif. C'est petit à petit qu'elle nous plonge dans les histoires des uns et des autres, mais plus j'ai avancé, plus je me suis attachée aux protagonistes.

Aaron et Krista n'ont pas le choix et doivent grandir et vivre avec les cartes que la vie leur a distribuées. Comment vont-ils se construire ? Quels adultes vont-ils devenir ? Vont-ils sombrer dans leur obsession mutuelle ou vont-ils réussir à s'en défaire ?
Autant de questions que le lecteur se pose et auxquelles l'auteur va apporter ses réponses.

Pas de grandes cavalcades, peu d'action. Des récits qui se recoupent, des analyses, des interrogations.
Ce n'est pas le plus prenant des ouvrages que j'ai lus de cette grande dame de la littérature, mais j'y ai retrouvé sa patte, sa façon inimitable de tourner et retourner chaque aspect de l'histoire dans tous les sens, de faire apparaître les moindres détails de la psychologie de ces personnages, d'en fouiller toute la complexité.
Joyce Carol Oates est toujours intéressante, mais pour ceux qui ne l'ont jamais lue et voudraient découvrir son oeuvre, ce n'est pas ce titre que je conseillerais, le réservant plutôt aux connaisseurs.
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Joyce Carol Oates aime décortiquer, disséquer, observer, analyser les sentiments et l'évolution de personnages directement concernés par un fait plus ou moins grave.
Ici encore, après un crime, elle observe deux familles qui se décomposent après que les pères aient été soupçonnés. La fille de l'un et le fils de l'autre sont suivis de plus près, chacun étant persuadé de l'innocence de son père et de la culpabilité de celui de l'autre.

Je ferais un petit reproche à ce livre... ou à JCO en général, pour ce que j'ai pu constater avec les romans déjà lus... elle martèle à l'envi certains détails, certains faits. C'est son style ! C'est souvent ainsi que ses histoires évoluent, en reprenant ce qui a déjà été précisé avec quelques éléments supplémentaires. Je vous le disais plus haut, elle décortique, elle fouille en profondeur, elle distille les événements goutte à goutte, le passé vient éclaircir les faits que parcimonieusement, jusqu'à ce que plus rien ne nous échappe... stratagèmes dont elle abuse peut-être un peu.

Enfin, malgré cela, j'aime JCO, ses personnages consistants, ses histoires parfois alambiquées mais toujours avec une forte intensité dramatique et qui souvent me font conclure... "du jour au lendemain, n'importe quelle vie peut partir en vrille".
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Petit oiseau du ciel tels sont les termes pour désigner Zoé, chanteuse à ses heures perdues, qui est retrouvée sauvagement assassinée par son fils, Aaaron.

L'histoire se présente en plusieurs parties :
- La première basée sur le ressenti de Krista, la fille de l'amant de Zoé, l'un des présumés coupables de son assassinat.
- La deuxième basée sur la vie de Aaron.
- La troisième partie est basée sur la rencontre entre Krista et Aaron.

Je ne sais pas pour quelle raison, mais j'ai totalement décroché aux deux tiers de l'histoire et je me suis un peu perdue dans tous les personnages évoqués.

Mais ce n'est pas à cause de cette déception que j'abandonnerai la lecture des romans de Joyce Carol Oates, qui a un talent merveilleux pour entrer dans la psychologie de ses personnages.
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Publié aux USA en 2009 et disponible en français depuis le 4 octobre dernier, "Petit oiseau du ciel" est le dernier roman de l'écrivaine américaine Joyce Carol Oates, notamment auteure des romans "Délicieuses pourritures", "Viol, une histoire d'amour", "Premier amour" , "Reflets en eau trouble" ou plus récemment du recueil de nouvelles "Le Musée du Dr Moses".

Le 12 février 1983 dans la petite ville de Sparta, Zoe Kruller est retrouvée morte étranglée dans son lit, le corps recouvert de talc.
Les rumeurs enflent. C'est qu'aux dires de certains, avec ses fréquentations et son train de vie douteux, Zoë allait finir par s'attirer des ennuis.
Très vite, les soupçons se portent à la fois sur son mari Delray Kruller, connu pour son caractère emporté et sa violence envers sa femme, et sur son amant Eddy Diehl, mari et père de famille respectable.
L'affaire restera irrésolue de même que les noms des suspects ne seront jamais blanchis.
La victime laisse derrière elle deux foyers animés par la haine vis-à-vis du camp adverse, brisés et divisés par le drame. Chacun se replie dans sa douleur.
Bien qu'il n'ait jamais été reconnu coupable, Eddy Diehl est chassé de sa maison par sa femme Lucillle qui, rongée par la honte, ne pardonne pas l'adultère, divorce et, sur ordonnance du tribunal, empêche son ex-mari de s'approcher de ses enfants.
Si son frère Ben se rallie à sa mère, la jeune Krista Diehl veut croire à l'innocence de son père qu'elle continue de voir en cachette jusqu'à ce que le malheur frappe à nouveau.
Perdue, Krista s'amourache davantage du bad boy du lycée qui n'est autre qu'Aaron Kruller, le fils de Zoe Kruller qui retrouva sa mère étranglée dans sa chambre.
S'ensuit une confrontation intense que tous les deux n'oublieront jamais, même 17 ans plus tard lorsque Krista, partie loin de Sparta des années plus tôt, trouve un jour Aaron sur le pas de sa porte...

Aaaaaaaaah je ne me lasse décidément pas de Oates, de ces ambiances floues et malsaines dont elle a le secret, de ces situations qui ne devraient pas être mais flirtent pourtant avec l'interdit. le contexte est pour ainsi dire toujours le même : une petite ville de l'Etat de New-York assombrie par la drogue, la corruption, l'alcool, les rumeurs, le racisme des Blancs vis-à-vis des Indiens, la violence d'adolescents qui ont grandi trop vite; une ville semblant être taillée pour la tragédie.
Et au milieu de tout ce foutoir, deux familles rivales, deux adolescents qui ne devraient même pas s'adresser un regard.
"Two households, both alike in dignity, In fair Verona Sparta, where we lay our scene, From ancient grudge break to new mutiny,"
La comparaison shakespearienne s'arrête là. La relation entre Aaron et Krista, si elle a tout d'impossible n'a rien de franchement romantique et renvoie plutôt à une fascination virant à l'obsession, un désir déroutant de possession, source de tension, de frustration, de danger.
Mais contrairement à ce que le laisse croire la quatrième de couverture, cet aspect-là ne constitue pas le sel du roman, pas plus d'ailleurs que l'aboutissement de l'enquête sur le meurtre de Zoé Kruller (le coupable n'étant dévoilé que dans les toutes dernières pages).
Non, fidèle à elle-même, Oates s'attache surtout à la façon dont un drame intime brise et façonne plusieurs existences.
Au travers des voix d'Aaron et de Krista, elle tisse entre eux ce lien ténu qui tient dans leur histoire commune, dans leur relation particulière avec leurs pères, tous deux lunatiques et autoritaires, clamant leur innocence, dans l'effet de la rumeur et du doute sur leurs vies, dans ce même goût pour le danger.
Si vous cherchez une belle histoire d'amour ou un thriller haletant, passez votre chemin.
"Petit oiseau du ciel" apparaît avant tout comme un roman caractérisé par une psychologie du fond du fond complexe - comme toujours chez Oates - et servi par une écriture dense qui n'échappe pas à certaines répétitions (car si les récits de Krista et d'Aaron se succèdent, ils finissent par s'entrecroiser et donner lieu à certaines redites) mais n'enlève rien au vif intérêt que suscite ce roman.

MERCI à Babelio de m'avoir envoyé ce roman !
Lien : http://contesdefaits.blogspo..
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1987. Les parents de Krista Diehl (15 ans) sont divorcés. Elle vit avec sa mère, Lucille Bauer, et son frère ainé Ben, dans Huron Pike Road à Sparta (État de New-York)

Edward Diehl – son père – elle l'idolâtre et le voit en cachette de sa mère. Pourtant, c'est un amour mêlé de peur qu'éprouve Krista pour Eddy, qu'elle sait être parfois capable de grande violence … D'ailleurs Benjamin a choisi de prendre le parti de sa mère, contre ce père qui n'a plus le droit de les approcher mais brave les interdits judiciaires. En ville, Eddy Diehl est également « persona non grata » – depuis qu'il a été soupçonné d'avoir tué sa maitresse, Zoe Kruller, cinq ans auparavant – et malgré le fait qu'il ait été relâché, faute de preuve …

C'est en février 1983 que Zoe Kruller (34 ans) a été retrouvée, battue et étranglée, dans son lit par son propre fils, Aaron (14 ans) dont elle vivait séparée ainsi que de son père Delray. Un mari qui fut – lui aussi – soupçonné et remis en liberté … Aaron qui allait à l'école avec Ben … Deux adolescents qui se détestaient magistralement … Krista Diehl avait 11 ans à l'époque et pour elle, c'était la jolie jeune femme de la laiterie Honeystone. Celle qui lui vendait de délicieux cornets de glace et semblait fort complice avec son père … Oui, aux yeux des enfants Diehl, Zoe Kruller – la victime – s'est transformée en coupable, responsable de l'explosion de leur vie de famille et de la chute de leur père, qui passe pour un assassin …

Un roman très noir (« marque de fabrique » de JC Oates) sur un meurtre sordide, directement lié à l'enfance douloureuse de trois jeunes gens brisés, même si – paradoxalement – Krista et Aaron finiront par se rapprocher … Une intrigue construite en trois parties bien distinctes (les faits se déroulant entre 1983 et 2002 – en passant par des souvenirs des années soixante-dix …)

Un très bon cru de l'oeuvre (foisonnante) de cette (prolifique) écrivaine – qui a droit à mon admiration absolue ! Dans le top 10 de mes préférences. Pas très gais les romans de JC Oates, il faut bien le reconnaitre, mais tellement profonds et empathiques !
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Krista et Aaron, Aaron et Krista, comme des Romeo et Juliette américains d'aujourd'hui, attirés, déchirés, repoussés, interdits l'un à l'autre à cause de leur histoire familiale.
J'ai aimé, j'ai aimé, j'ai beaucoup aimé.

Krista d'abord puis Aaron racontent tour à tour leur vision du dramatique événement qui a détruit leur vie, depuis leur adolescence jusqu'à ce qu'ils se retrouvent à l'âge adulte.

Les faits: Krista Diehl et son frère Ben vivent heureux en famille et au collège dans la petite ville de Sparta, dans l'état de New York. Ils apprécient particulièrement leurs sorties avec leur père dans le bar où la jolie et pétillante serveuse Zoe Kruller les accueille si gaiement en leur offrant de succulentes glaces jusqu'au jour où celle-ci est retrouvée assassinée chez elle.
On ne retrouve pas le coupable mais deux hommes sont fortement soupçonnés: le mari de Zoe dont elle vient de divorcer et qui sombre dans l'alcoolisme et son amant, Eddy Diehl, le père de Krista, obligé dès lors de divorcer à son tour et de s'éloigner de ses enfants. Son fils Ben est immédiatement persuadé de la culpabilité de son père à l'inverse de sa soeur qui s'accroche à l'idée de son innocence.
Aaron, le fils de Zoe, lui aussi défend son père et souffre de cette situation mais, contrairement à Krista qui veut se faire oublier, il se montre agressif et querelleur, un dur parmi les durs, un bad boy, séduisant et séducteur mais solitaire.
En secret, chacun épie l'autre, au collège, dans leur quartier, partout où ils le peuvent mais sans jamais le montrer. Obsédés l'un par l'autre, ils éprouvent autant d'attirance et de curiosité que de répulsion, de peur et de haine.
Au milieu de toute cette noirceur familiale et urbaine où règnent la violence, l'alcool, la drogue, surgit un amour étrange et silencieux, fait de non-dit, de rejet, d'abandon, de danger, de protection et de déchirement.
Comment résister à une telle passion, à tant de folie, de fureur et de désir de vivre une nouvelle vie, de tout recommencer?

Comment ne pas aimer un tel roman? Je passe sur le récit d'Aaron, un peu répétitif d'une histoire que l'on connaît déjà, ce n'est qu'un tout petit bémol face à l'admiration éprouvée par ailleurs.
J'ai lu de nombreux livres de cette romancière, Hudson River, le Musée du Dr Moses, Sexy,
Les Chutes, mais ce roman-ci ne ressemble à aucun autre. J'ai beaucoup aimé cette lecture.

Lien : http://liratouva2.blogspot.f..
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Bien qu'un meurtre ait été commis, on ne peut pas dire qu'il s'agisse ici d'un roman policier ; il s'agit plutôt d'un roman psychologique à deux voix : une jeune fille d'abord, puis un jeune homme. Ce qui nous est livré par la bouche de la jeune Krista, la fille d'un des deux hommes suspectés du meurtre d'une jeune femme, Zoe, ce sont les conséquences de cette suspicion sur sa vie et celle de sa famille. En période d'adolescence, donc de pleine construction, cela ne peut être que ravageur et l'on voit sa famille imploser.
Comme souvent, j'ai trouvé le début du roman très lent et répétitif, mais peu à peu je me suis prise au jeu. En fait, Krista rumine, retourne ses pensées et sentiments sans cesse dans sa tête et son coeur, d'où les répétitions, je suppose. Ses interrogations restent sans réponse car la police ne saura jamais qui a commis le meurtre.
Dans la seconde partie, l'histoire nous est racontée du point de vue d'Aaron, mais à la troisième personne alors que celle de Krista l'était à la première. Ce jeune homme est le fils de la victime et de l'un des deux suspects. Contrairement à certains Babelionautes qui ont trouvé cette partie répétitive, je l'ai trouvée plus poignante d'emblée. Déjà du fait que Aaron soit en partie d'origine amérindienne car il souffre de discrimination, de difficultés sociales et relationnelles. Il semble également souffrir d'une sorte de dédoublement de la personnalité, ce qui explique peut-être le récit à la troisième personne. En effet, il est à la fois Aaron (avec sa mère et sa famille) et Krull (avec ses copains), diminutif de Kruller, son nom de famille. Pourtant, contrairement à ce qu'il montre à l'école, il a des qualités et des points forts, notamment en sport (il pratique le lacrosse, sport amérindien) et en mécanique dans le garage de son père.
Pour terminer, une troisième partie plus courte dans laquelle on les retrouve tous les deux : Krista a quitté la région et est devenue, une quinzaine d'années plus tard, assistante juridique pour une organisation à but non lucratif qui enquête sur les erreurs judiciaires. Aaron vient à sa rencontre, je vous laisse découvrir pourquoi et sur quoi ces retrouvailles vont déboucher.
En conclusion, une lecture un peu laborieuse au départ, puis qui m'a captivée car l'étude des personnages est plutôt fine et c'est ce que j'aime dans un roman.
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Une histoire désespérante
Un crime qui va bouleverser à jamais la vie de deux familles
Histoire noire , terrible , lourde
Je sors de là avec un sentiment pesant de tristesse , de vies loupées , d'amours impossibles
Rien de joyeux tout le long de cette histoire
Même pas de happy end ....bien au contraire
La fin est terriblement ....pesante
Mon premier livre de cette auteure .....



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roman de gare de 540 pages
pavé lourd et pesant qui ressemble à ...
une perte de temps
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