Cet essai, fruit d’une rencontre entre un musicien et un anthropologue, montre l’impossibilité de réduire aujourd’hui le chant d’église au seul chant grégorien, tel qu’il a été consigné au XIXe siècle dans le modèle solesmien. En effet, la philosophie de restauration qui présidait à l’élaboration de ce chant, en tant qu’expression musicale exclusive à l’église catholique, l’a retranché de la modernité et peu à peu condamné. Partant, c’est toute la tradition des chan... >Voir plus