Nous avions laissé Paci dans une marre de sang de son garage après s'être fait défoncer le crane par un ancien ami. On le retrouve en train de travailler pour son ancien patron dans le milieu de la drogue. Lui qui avait pris la bonne résolution de mener une vie rangée à sa sortie de prison...
On fait un bond dans le temps et c'est au lecteur de deviner comment ça en est arrivé là. Ya des choses qu'on lit entre les lignes, d'autre non. de toute évidence le coup sur la tête n'était pas fatal, il semble qu'il se soit installé avec Miguy à Calais, que celle-ci se soit trouvé un boulot qui n'a pas l'air de la passionner, elle a tout l'air de boire un peu beaucoup de vodka pendant que Paci fait ses frasques sans rien lui dire.
Les non-dits de la BD sont un peu fatiguant tellement on aimerait plus comprendre. A côté de ça il y a des dialogues qui sont totalement dénués d'intérêt. Ou alors c'est moi qui n'est pas su décrypter les sous-entendus... C'est possible aussi... ^^
Quant au dessin... j'aime pas trop. Un côté un peu "gribouilli" que j'ai franchement du mal à apprécier.
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Pacifique est dans les emmerdes jusqu'au cou. Son patron n'est pas content de lui. Il faut dire qu'au lieu de lui ramener des dizaines de kilos de drogue il les a brulé d'éclenchant ainsi la fureur de son boss mais aussi de l'anglais, le fournisseur de drogue qui a tout perdu. Et puis avec Miguy, sa petite amie, ça ne va pas trop non plus. Faut dire qu'elle se sent délaissée avec toutes ses magouilles et qu'elle commence à se douter de quelque chose.
Une bande dessinée très contemporaine sur le milieu de la drogue. Ce dernier tome est très dynamique, riche en action et en tension qui monte crescendo jusqu'à la fin.
Néanmoins j'ai pas trop accroché. Tout d'abord parce que beaucoup de chose sont laissé sous silence et qu'elle aurait mérité quelques explications ou quelques développements. Je m'attendais à en savoir plus sur Paci, son père et leur passé. de ce côté là, rien à se mettre sous la dent donc très déçue évidemment. Et puis les relations entre les patrons de la drogue m'a semblé confus. A la fin je ne savais plus qui était ami avec qui, qui était à la tête de quoi...
Pour finir je n'accroche toujours pas au dessin. Ben oui au bout de 3 tomes ça n'a pas changé. Des fois on s'y fait où l'histoire nous le fait oublier. Mais pas là. La colorisation n'aide pas non plus il faut dire.
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Encore plus emballé que dans le premier tome. Jeu de couleurs, d'ambiances, drogues, jolies filles, courses poursuites, grandes illustrations pour le retour de Paci au affaires.
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Le travail graphique du tandem Perriot/Merlet est très stimulant. Vincent Perriot tend à réduire l’encrage de son trait au minimum pour laisser toute sa place aux aplats de couleurs d’Isabelle Merlet.
Lire la critique sur le site : Sceneario
-C'est un petit parapluie de cocktail hyperdiscret. Tu le mets dans le verre d'une demoiselle, celle qui te plait... et elle se laissera aller plus facilement... Comme si elle était bourrée mais en mieux.
-C'est de la drogue ton truc? Non merci j'ai pas besoin de ces conneries pour draguer des meufs.
-Qu'est ce que tu vas mettre ici?
-Un énorme Bouddha en bois directement importé de Bodhgaya. J'aime l'idée que pisser peut devenir un acte de méditation. Ca m'aide à réfléchir.