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EAN : 9782203177116
210 pages
Casterman (05/09/2018)
3.65/5   237 notes
Résumé :
Un monde sillonné de tuyaux gigantesques et peuplé de dinosaures… Des villes qui flottent dans le ciel et recouvrent de leurs ombres les faubourgs grouillants d’une humanité industrieuse… Et un « réseau » omniprésent qui domine les terres et les hommes.
Jarri Tchepalt est un berger du désert de Ty. Il parle aux dinosaures et maîtrise l’art des cordes. Quand un camion générateur d’orage anéantit son troupeau, Jarri décide de partir en ville – pour la première ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (38) Voir plus Ajouter une critique
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Au beau milieu de nulle part, un cowboy solitaire mène son troupeau de dinosaures. le soir venu, il trompe son ennui en tchatant sur les réseaux sociaux, et le lendemain il perd tout à cause d'un camion météo nucléaire et d'avions à réaction aux ailes en bois et en toiles... WTF ? Où est-ce qu'on est ? Quand est-ce qu'on est ???
Le Nouvel Incal est arrivé ! Vincent Perriot habitué de la littérature blanche s'essaye à la Science-Fiction, et c'est avec bonne volonté et grande humilité qu'il nous offre un stand alone de 208 pages qui ressemble peu ou prou à un pot-pourri : on est pile-poil entre Jack Vance et Pierre Bordage, entre Mad et Métal Hurlant, donc pile-poil chez Julia Verlanger, Druillet et Moebius d'où les faux airs de "La Planète des singes", de "L'Âge de Cristal", de "Soleil Vert", de "THX 1138", de "Mad Max"... Si on rajoute les clins d'oeil conscients ou inconscients à "Terminator", "Totall Recall" et "Matrix" et le grand final digne de l'"Avatar" de James Cameron, il ne me reste plus qu'une chose à dire : Oh Yeah !!!

Dans un monde sans eau Jarri Tchapalt veut trouver le responsable de son malheur, et dans la très controversée Station 3703 il découvre une humanité hyperconnectée, mais totalement déconnectée de la réalité et entièrement soumise au Réseau à la fois dieu et dictateur technologique... Personne ne sait qui est le Réseau ou ce qu'est le Réseau, mais on obéit à des machines qui se régénèrent à l'infini dans l'espoir de monter en grade, de gagner plus d'argent et finalement d'être un peu au-dessus des autres. Tout le monde est donc prêt à tout et au reste pour rester dans ses bonnes grâces, et les élus vivent dans de gigantesques villes flottantes ravitaillées par des tuyaux et des escaliers géants qui sont autant de gigantesques pompes aspirant les ressources humaines et les ressources naturelles avant de rejeter morts et vivants par milliers parmi tous les autres déchets qu'il faut retraiter... Il rencontre le prophète Kam, le général déchu Alice et l'ingénieur surdouée Korienzé : ils ont un plan pour tout changer, mais peut-on vraiment lutter contre le système ? Youri Mic Igoma est supraprogrammateur, Karin Ron Noeme est géographe interespace, Brina Saad Michaa est spécialiste en furtivité, Nati Jalo est médecin d'urgence, Henri Dvak est pilote chevronné, Grez Abou Mdala est technicien en armement lourd, Colo Ybuoshi est astromécanicien, Wendi Twara est ingénieur système, Dan Zlan est espion réseau... Jarri qui parle aux animaux et qui est peut-être le dernier être humain connecté à la nature est-il leur sauveur ou leur fossoyeur ???

Bravo à Casterman d'avoir oublié les grosses ficelle du métier en publiant la série d'un seul bloc au lieu de recourir au bon vieux « tant qu'on gagne on joue » (donc on arrête au tome 1 les séries qui ne se vendent pas bien, et on continue ad vitam eternam les séries les séries qui se vendent bien). Alors certes pas entièrement emballé par les graphismes, mais une telle maîtrise de son art force le respect (mises à part quelques onomatopées superflues), car on mélange Mark Schultz, François Schuiten et Jean-Claude Mézières avec grand talent (et je ne peux que souligner le chouette travail de Florence Breton sur les couleurs)... OMG quel excellent film cela ferait ! 200 pages ne sont pas assez pour mettre en scène la relation de Jarri avec la nature et avec la civilisation, les liens entre Kam et Alice, entre Jarri et sa famille, entre Korienzé et sa famille, entre Jarri et Korienzé, ou la nature du Réseau vide absolu miroir de nos âmes et de ses désirs démesurés et contradictoires...
La pile a été dévalisée dans ma petite librairie, et les recommandes sont aussitôt arrivées aussitôt achetées : assurément l'un des albums de cette rentrée ! (contrairement à d'autres artificiellement promus et soutenus par l'establishment culturel)
Lien : http://www.portesdumultivers..
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Dans un monde minéral ravagé évoluent des dinosaures qui ont du mal à trouver de quoi brouter et boire ...on est dans un post apocalyptique écologique, dans lequel l'auteur nous fait peur avec nos excès.

Vincent Perriot réussit à construire tout un univers cohérent sur la disparition des ressources et leur captation par « ceux d'en haut » , le pouvoir de l'intelligence artificielle et la déshumanisation des villes.

La quête du berger Jarri qui se révolte contre la destruction de son troupeau à cause d'un camion météo est le fil directeur de ce récit qui de rencontres en péripéties finit par nous faire comprendre les ressorts de ce monde, dans un scénario bien rythmé, avec des combats, des sentiments, de l'espoir et des désillusions.

C'est de la bonne SF , et j'aime beaucoup la gamme de couleurs de cette BD, de l'ocre au pourpre en passant par des gris bleu magnifiques . J'aime moins le bruit ! Les onomatopées qui viennent de la grammaire des Comics me paraissent bizarres dans ce contexte. Trop de petites cases aussi... j'aime que le dessin soit à l'aise et explose le cadre.

Le volume est épais, et j'apprécie d'avoir la totalité de l'histoire en une seule fois , au lieu d'attendre deux ans que paraisse le tome 2 pour en connaître l'issue...et finalement oublier tout dans l'intervalle.

Il sera sûrement encore plus compliqué d'expliquer aux gamins que les humains n'ont jamais vécu au temps des dinosaures, mais le choix de cette espèce qui fut victime d'une grande extinction est assez annonciateur de ce qui nous attend aussi.







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La couverture annonce déjà le type d'univers dans lequel nous allons pénétrer : un monde dans lequel les grandes plaines sont peuplées de dinosaures mais où les villes sont surpeuplées et hyper technologiques.
Très vite, nous rencontrons Jarri, qui vient de perdre la totalité de son troupeau à cause d'un camion météo et qui va tout faire pour se venger.
J'ai beaucoup aimé le mélange entre monde préhistorique et société ultra connectée avec une fable écologique, de l'aventure et des réflexions sur nos sociétés actuelles.
Les dessins ne m'ont pas enthousiasmée plus que ça mais ça ne m'a pas dérangé non plus.
L'intrigue est prenante et j'ai aimé évoluer dans ces deux univers très différents mais peut-être pas autant qu'on le croit.
La science-fiction à la sauce crétacé est un plat que j'ai dévoré avec enthousiasme.
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C'est avant tout l'aspect visuel qui m'a attirée vers cette B.D. Cette superbe couverture a su éveiller ma curiosité. Je n'ai pas été déçue, "Negalyod" est une bien belle oeuvre.

Dès les 1ères pages à l'ambiance western j'ai été séduite par l'univers mis en place par Vincent Perriot, univers qui va peu à peu s'étoffer de façon très intéressante.
Le dessin est clairement influencé par Moebius, ce qui est une fort jolie référence et si Perriot n'atteint pas le niveau d'excellence de son maître, il s'en sort très bien. Certaines planches sont vraiment de toute beauté. Perriot maîtrise aussi bien les grandes étendues sauvages que la ville grouillante.
Quant au scénario, il est lui aussi une vraie réussite. L'auteur, tout en abordant des thèmes classiques en SF, fait preuve d'inventivité et l'histoire qu'il raconte est très intéressante.

Il y a bien quelques défauts dans le traitement de l'intrigue. Certains éléments ne sont qu'effleurés et auraient mérité d'être approfondis ou développés, tout comme les relations entre certains personnages. Il faut dire que 200 pages c'est finalement peu pour un projet aussi dense et ambitieux.

Avec "Negalyod", Vincent Perriot signe une oeuvre passionnante, ambitieuse, sans jamais faire preuve de prétention. Une belle lecture qui me donne envie de m'intéresser aux autres ouvrages de l'auteur.
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Jeune berger, Jarri perd son troupeau entier. Décidé à demander des comptes aux responsables de cette tuerie, laquelle le met en danger directement, Jarri se rend dans la ville voisine où une révolte se trame. Il y prend part, ce qui le mènera à découvrir le secret d'un monde, faut-il le dire, légèrement différent du nôtre. Si, visuellement, le roman graphique de Vincent Perriot regorge de trouvailles et fait forte impression, le rythme de la narration souffre, elle, de déséquilibres importants. Toutefois, les thématiques soulevées par l'auteur sont intéressantes, depuis celle des rapports entre l'homme et la nature jusqu'à celle de la légitimité des pouvoirs.

Negalyod est d'abord un voyage visuel dans un autre monde. La planète entière semble être un désert où surgissent, ici et là, des villes dénommées stations. Au-dessus de ces villes en planent d'autres, inaccessibles pour le commun, et l'on comprend vite que la ville haute domine politiquement la ville basse. Ce qui fappe, c'est l'absence d'eau. L'or bleu n'est nulle part ou, plutôt, il est caché : l'eau de la planète circule uniquement dans un réseau de canalisations dont la ville haute est, là aussi, la gestionnaire. Enfin, ce monde que dessine Vincent Perriot est rempli de ... dinosaures, qui représentent les principales espèces animales en dehors des humains. Ces dinosaures peuvent être sauvages ou bien domestiques. Ainsi le troupeau de Jarri est composé de chasmosaures, et Jarri agit avec eux comme un vaquero ou un cow-boy agirait avec ses vaches. La différence, c'est que Jarri, s'il est bien un nomade, use de technologies très contemporaines, comme ces tablettes par lesquelles il essaie, en début d'album, de sympathiser avec des jeunes femmes. Véhicules volants et technologies météorologiques avancées complètent le tableau. Les tensions sont donc vives, visuellement, entre l'ancien et le moderne, entre l'urbain et le rural, entre l'économie nomade et l'hyper-connectivité de la ville haute. Vincent Perriot peuple enfin son album de trouvailles visuelles très intéressantes, et sa description de l'humanité fait la part belle à la diversité à travers la variété des costumes ethniques ou des architectures présentés. Enfin, le sens de la mise en scène procure un dynamisme visuel à l'oeuvre.

Toutefois, la trame narrative souffre d'un déséquilibre manifeste dans son rythme. Malgré l'épaisseur de l'ouvrage, on aurait aimé davantage de pages encore, ne serait-ce que pour approfondir certaines pistes ou pour ne pas voir certaines séquences être si courtes. L'arrivée de Jarri dans la station 3703, par exemple, interroge : à peine arrivé, le jeune berger devient l'un des piliers de la rébellion menée par le grand Kam. Autre exemple : le revirement presque incompréhensible de Jarri vis-à-vis de Korienzé, la fille du grand Kam, au moment de la poursuite du camion météo. A côté de certaines planches d'une grande beauté et qui recèlent, dans ce qu'elles ont de contemplatif, une certaine poésie, certaines phases d'actions arrivent dans le récit de façon très abrupte. Disons enfin que le scénario, intéressant, n'est pas non plus des plus innovants, et rappellera, d'une façon ou d'une autre, des oeuvres plus anciennes (Gunnm, L'Incal ...).

Il n'en reste pas moins que Vincent Perriot explore des thématiques intéressantes. La désolation du décor pose la question de l'anthropisation extrême de la nature. Les ressources naturelles, à commencer par l'eau - nous ne savons pas grand chose des autres ressources, qu'elles soient énergétiques ou alimentaires - sont exploitées et privatisées par un groupe humain privilégié, plus haut placé dans la hiérarchie sociale comme dans l'espace géographique : la ville haute, on l'a dit, domine la ville basse. Cette privatisation totale de la ressource en eau a transformé radicalement la planète, qui ne contient plus ni océans ni rivière. L'eau circule en des canalisations, et il est facile d'en interdire l'accès. En cela Negalyod pourrait se dire oeuvre d'anticipation, tant les problématiques de l'accès à l'eau représentent une thématique géopolitique majeure pour le 21ème siècle. le rapport de l'homme à la nature s'étudie aussi à travers le rapport aux autres espèces animales : invisibles les espèces les plus nombreuses aujourd'hui (insectes, poissons, amphibiens, l'essentiel des mammifères, oiseaux), domestiqué le cheval, domestiquées aussi certaines espèces de dinosaures dont certaines - comme Stygo pour Jarri - sont de véritables animaux de compagnie, sauvages encore les tyrannosaures ou les ptérodactyles. le dinosaure est aussi bien le mouton d'élevage que le boeuf sacrificiel, le vautour charognard ou le chien de berger. A ce titre, Jarri apparaît comme un personnage à part, car il est un homme qui comprend littéralement le langage des dinosaures et, partant, leur fait confiance et ne cherche pas à s'imposer à eux (lorsque les chasmosaures de son troupeau se battent ou lorsqu'il s'agit de trouver une issue de secours quand débarquent les brigades de sécurité de la ville haute). Cette attitude donne du crédit et offre des possibilités à Jarri : celle de se faire bien voir par les chefs de la révolte, ou celle d'être aidé et sauvé dans sa quête ultime.

Vincent Perriot interroge aussi la légitimité des pouvoirs. La lutte qui oppose la ville haute - par ailleurs très mystérieuse, tant dans ses composantes techniques que sociales, ou dans ses motivations politiques : c'est là une thématique narrative que l'on aurait aimé voir approfondie - à la ville basse est une lutte des classes. En bas sont les pauvres qui ne sont ni ne détiennent rien, en haut sont les riches qui ont le pouvoir politique, car ils ont la force militaire. Toutefois, la quête du grand Kam, de sa fille Korienzé et de Jarri montrera que la légitimité tient peut-être aussi en des raisons supérieures qu'à celle de la défense des intérêts privés. A moins que le secret de la tour réseau, dévoilé à la fin de l'album, n'interroge moins la légitimité des pouvoirs que le fondement de ceux-ci. Car le pouvoir, dans Negalyod, se définit par la possession par un groupe de ce qui est nécessaire à tous : les ressources naturelles, les moyens de se défendre, l'espoir ... L'espoir, justement, est ce qui fonde aussi le pouvoir du grand Kam dans la ville du bas. Au sein des villes - hautes et basses -, l'auteur montre justement que les groupes sociaux ne sont pas des blocs uniformes, mais sont eux aussi hiérarchisés. Dans la ville du bas, à côté des travailleurs et des anonymes agissent ainsi des forces dites militaires - représentées par le général Alice - et des pouvoirs religieux - dont le grand Kam est le chef. Et quelle capacité à générer de l'espoir, donc du pouvoir, détient la religion ! C'est l'espoir, enfin, qui nous anime de voir paraître un hypothétique tome 2, ne serait-ce que pour avoir l'occasion d'observer ce monde si vaste et si riche.
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critiques presse (4)
Sceneario
15 avril 2019
Modernité et archaïsme sont mis en opposition sur le dessin de la couverture : les deux notions s'entremêlent effectivement dans cette aventure où la préhistoire côtoie allègrement la science-fiction !
Lire la critique sur le site : Sceneario
ActuaBD
06 janvier 2019
Western post-apocalyptique au graphisme flamboyant, le récit de Vincent Perriot fait honneur au genre SF humaniste, tout en restant accessible au grand public.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
BDGest
05 octobre 2018
Au-delà de ses airs de déjà vu et truffé d’incohérences propres à ce genre de récit, Negalyod en impose. Puissant, tendu et d’une grande richesse esthétique, cet album-blockbuster se lit d’une traite. Préparez-vous à en prendre plein les mirettes !
Lire la critique sur le site : BDGest
Actualitte
01 octobre 2018
Attention, choc. Negalyod de Vincent Perriot est une expérience hors norme chez Casterman. Des dinosaures et des hommes, dans un futur possiblement lointain. La dystopie travaillée au scalpel, paysages désertiques et cité monstrueuse : vertiges garantis.
Lire la critique sur le site : Actualitte
Citations et extraits (13) Voir plus Ajouter une citation
- Une rénégade s'il vous plaît... la bouteille entière...
- Eh bien, commander un litre de ce tord-boyaux, c'est que quelque chose ne va pas l'ami....
- Je viens de perdre un héritage de trois cents ans en une seule seconde et il me reste à peine de quoi payer ce truc ?
- Euh... à la tienne...
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Déjà l'Histoire nous montrait qu'avant nos grands déserts, il y avait des mers aux horizons infinis, et des milliers et des milliers de rivières aux noms oubliés... L'eau est partout dans les canaux, mais nous ne la voyons plus... C'est la rouille qui est devenue l'architecture de nos vies.
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Ouvrir les nuages avec des engins de mort, c'est faire pleurer le ciel ce qui lui reste de larmes...
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"Regarde, il pleut sur la cité principale. C'est la première fois que je vois ça."
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- J'entends la voix de ton dernier souffle, et elle me dit qu'une bataille approche...
- C'est faux. Moi aussi je parle la langue des dinosaures, et il n'a pas dit ça... Cet ankylosaure répétait « je ne vous laisserai pas me tuer.
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