Un sixième tome auprès d'Amos bien décider à sauver sa mère et de plus en plus déterminer à détruire la tour d'El-Bab. Une fois encore de nombreuses références mythologiques : le dieu Enki, Seth, la déesse Zaria-zarenitsa, des gorgones et Minotaure.
Du niveau des personnages nous en apprenons un peu plus sur certains d'entre eux notamment pour Médousa qui en apprend un peu plus sur ses origines.
Du niveau de l'intrigue cependant je dois avouer être pour la première fois de la saga être assez mécontent. le tout reste fluide se lit facilement mais voilà tout est beaucoup trop gros, facile que cela en vienne à venir ridicule. Mais bon au bout de six tomes cela devait bien finir par arriver. J'espère juste que dans les prochains temps l'auteur va cesser de rentrer dans les facilités car passer 2 tomes d'un long voyage pour détruire une tour qui est détruite finalement en moins de 10 pages. Faudrait peut-être pousser le bouchon trop loin!
Je suis donc plus que mitigé à la sortie de ce tome pour une saga qui avait pourtant si bien débuté. Je vais cependant lire le prochain tome en espérant ne pas voir l'intrigue retombée dans des facilités.
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Le tsunami de grenouilles m'a fait rire! J'aime aussi la tempête de sauterelles!
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Ceci est la partie deux de cette aventure, nonobstant selon moi c'est la meilleure! Il se passe beaucoup de choses et c'est assez palpitant. Je trouve juste un peu triste la partie avec Barthélémy, mais ce n'est pas très grave et ça rajoute du piquant dans l'histoire. Ça donne hâte à la suite!
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C'est bon mais je trouve Enki nul.
Aussi je trouve bizarre que nous voyons la tour juste dans ce tome.
Mais sinon l'histoire est bonne et bien écrite.
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Dors, mon compagnon de voyage, dors sur cette bouffée de chagrin qui accompagne ta dernière randonnée. Emporte avec toi un peu de la chaleur de mon corps pour te réchauffer dans l’au-delà. Dans mon âme, j’entends une vague de silence qui prend ta place et qui me noie. Si tu savais comme déjà tu nous manques et combien je m’ennuie de tes conseils, de ta présence et de ton amitié. Dors, cher guide, notre complice d’aventures. Et où que tu sois, veille sur nous qui t’avons apprécié et estimé.
Ce mal commençait par causer des migraines et des maux de gorge, puis des caillots se formaient très rapidement dans le sang et ralentissaient l’irrigation des organes. Venaient ensuite, quelques heures après l’infection, des saignements par la bouche, les gencives et les glandes salivaires. Les muqueuses de la langue, de la gorge et de la trachée se détachaient par la suite et pénétraient dans les poumons. Le malade commençait alors à vomir du sang de couleur noire. Une hémorragie des globes oculaires suivait les vomissements pendant que le cœur du malade commençait à ramollir en suintant du sang. En phase terminale, le moribond subissait un détachement des parois intestinales et de fortes convulsions. Des pustules gorgées de sang couvraient finalement son corps au moment de la mort.
Le silence est quelque chose de magnifique. Il est comme une pelure d’oignon et possède plusieurs dimensions. Il est présent dans la nuit, dans l’absence de mouvement, dans l’âme de celui qui écoute et dans la musique infinie des étoiles muettes. Il faut savoir écouter les étoiles pour connaître les véritables harmonies qu’elles jouent tous les soirs, aux mêmes heures, alors que personne ne les entend.
Un nouveau monde se préparait à émerger, un monde neuf mené par une croyance unique capable des pires atrocités au nom de la vérité. Un monde sans place pour la diversité et l’éclectisme, où le dogme religieux causerait de multiples souffrances et d’innombrables morts.Un monde où la libre expression serait refoulée et où la dissidence deviendrait synonyme de torture.
« Les humains sont à l’image des chiens. Sans cage, sans laisse et sans maitre, ils ne sont rien ! »
Bryan Perro lit un extrait d'Amos Daragon dans le cadre du Salon International du Livre de Québec, avril 2015