Non, l'espionnage n'est pas mort dans les décombres du Rideau de Fer. Bien au contraire, c'est une vrai guerre de l'ombre qui perdure, plus féroce encore. Au printemps 2007, le patron du Service canadien du renseignement de sécurité (SCRS) a fait sensation en pointant spécifiquement la Chine qui représenterait, se désolait-il, la moitié des dossiers de contre-espionnage actifs. Quelques mois plus tôt, en décembre 2006, c'était un espion à la solde des services secr... >Voir plus