Le mot radicalisation est sur toutes les lèvres. Les promesses d'ouvrir le robinet des généreuses subventions étatiques vont produire le même effet qu'un appât sanguinolent balancé au milieu d'un banc de requins affamés.
Les parents d'Ali sont muets. Pétrifiés. Abasourdis de constater que leur garçon s'enfonce plus profondément qu'ils l'imaginaient dans ces abîmes de la terreur.
Pourquoi l'Occident n'accorde-t-il pas la même valeur à chaque vie humaine, qu'elle soit de Paris ou d'Alep? se questionnent-ils.