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EAN : 978B003ORW06S
Fleuve Editions (30/11/-1)
2/5   3 notes
Résumé :
Dav Landy a inventé une machine qui doit permettre d'assouvir la faim du monde. Pour échapper à la F.W., puissante organisation aux ramifications planétaires, il se réfugie auprès du Pendab d'Austranie qui lui offre l'hospitalité.
Un à un ses amis disparaissent :
Qui se cache derrière la F.W. ? Quel mystérieux secret se trouve au « lieu » où se rendent périodiquement les principaux dirigeants ?
Dav qui ne veut que le bonheur de l... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (2) Ajouter une critique
Écrit en 1976, au début du roman, l'auteur décrit le monde de 2032, pollué, sous la menace de la montée des eaux, du réchauffement climatique, avec une société régie par un capitalisme sans éthique qui épuise les ressources naturelles de la planète, pour l'enrichissement d'une petite minorité. Je me dis : waouh, je crois bien que je tiens une pépite de la collections Fleuve Noir Anticipation, et venant d'un auteur dont la réputation n'est pas glorieuse, c'est surprenant.
Mais voilà, des surprises, il va nous en procurer par la suite, et malheureusement pas de très bonnes. On découvre que ce capitalisme sans vergogne est l'apanage d'un groupe d'extraterrestres, là, ça commence déjà à grincer. Passé les deux premiers chapitres, ça tourne à la catastrophe littéraire, dialogues indigents, personnages stupides (soit disant des intelligences supérieures !), situations incohérentes ou totalement bancales, le héros se prend pour le Christ aux Noces de Cana, il va multiplier les petits pains pour sauver l'humanité, et on voudra par la suite le crucifier (Non ! il n'a pas osé !)… On devine dès la moitié du roman comment le héros va se débarrasser des extraterrestres, niveau suspense, c'est difficile de faire pire, mais il va trouver le moyen de proposer une fin surprenante après la fin des extraterrestres : après avoir atteint des sommets de nullité, il a réussi à écrire une conclusion encore pire !
Ça peut se lire en diagonale, c'est plein de répétitions, de redites, avec une écriture laborieuse, un vocabulaire limité, on prend trois mots dans la page et on sait de quoi ça parle, mais le mieux, c'est de ne pas le lire du tout.
Je ne comprends pas comment avec une aussi bonne idée de départ on puisse arriver à écrire un bouquin aussi nul ! C'est presque un exploit.
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Ma critique sera courte : au début ça partait bien, mais petit à petit ça s'est gâché pour finir mal, point.

Non, je blague ! Je vais quand même en dire un peu plus, même s'il n'y a pas grand chose à rajouter.

Cela débute comme une dystopie, dans laquelle il n'est pas difficile de faire un parallèle avec ce qui se passe en vraie. L'écriture est plaisante et on se laisse porter par toutes ces critiques sur une société de surconsommation et d'exploitation des plus faibles. Même l'idée qu'à notre professeur fou pour sauver l'humanité,même si elle n'est que peu crédible, est séduisante, rien que pour son originalité.
Puis cela se gâte, déjà les personnages ne sont que peux dépeint, surtout les méchants extraterrestres envahisseurs. Car oui, à un moment on dérape et atterrit tout droit dans un plan démoniaque conçu par des extraterrestres grimés en humain et tenant les plus aux postes de la société humaine en vu de nous exterminer et nous piquer notre planète.
Tout cela est mal écrit, les répétitions s'enchainent, les répétitions s'enchainent, les répétitions... Les personnages, jusqu'alors à l'intelligence dépassant largement la moyenne, tombent dans les pièges les plus stupides et les plus visibles au monde. le scénario s'enlise et, perso, m'a complétement perdu, tellement les actions sont incohérentes.

Bref, livre à éviter, ou alors ne lire que la première partie, mais même là on a déjà lu mieux.
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Citations et extraits (1) Ajouter une citation
la nécessité des guerres est une idée répandue, cultivée, inoculée à l’humanité par la poignée de possédants qui la dirige.
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