La lumière était si parfaite

Un livre touchant, émouvant, qui traitent de sujets dures mais avec une certaine dose d'humour.
Je suis une grande fan du style d'écriture de l'autrice et je ne suis jamais déçue de ce que je lis d'elle.
Les personnages sont attachants et je me suis tellement prise d'affection pour les personnages principaux de ce livre, que je n'avais vraiment
pas envie de quitter l'univers magnifique de ce livre.

Une lecture agréable pour un bon moment de détente.

Megg est une mère au foyer qui gère tant son mari que ses deux enfants. Elle a perdu ses deux parents et traverse une phase d'épuisement mental ; elle n'en peut plus de sa vie qu'elle considère vide, regrette sa relation tumultueuse avec sa fille aînée et sa mère décédée il y a peu lui manque. Une situation dans laquelle de nombreuses femmes peuvent se reconnaître.

Le road trip que Megg décide de faire avec sa fille Lalie et sa voisine Romy va lui permettre de se retrouver, se ressourcer. Tout en enquêtant sur le passé de sa mère. Et c'est agréable de les suivre dans leur périple.

Megg est une personne attachante, bienveillante et douce. L'idée d'emmener sa fille est très bonne pour lui permettre de comprendre son mal être et se rapprocher d'elle. Mention spéciale pour Romy qui est solaire, positive et rafraîchissante ; un vrai rayon de soleil.

C'est un joli roman, léger et lumineux, avec une plume de qualité ; un feel-good que je vous recommande.

Depuis la naissance de ses enfants, Megg est mère au foyer. Son quotidien est dévoué à ses deux enfants et son mari, un quotidien bien cadré mais où Megg s'oublie...
Lorsqu'elle fait du tri dans la maison de sa mère récemment décédée, elle trouve une pellicule. Dans l'espoir de tomber sur des souvenirs, Megg décide de la faire développer et est très surprise d'y découvrir sa mère avec un inconnu. Cette photo la trouble beaucoup, sa voisine et amie Romy va la convaincre d'aller chercher des réponses à ses questions.
Nous allons suivre les deux amies et Lalie, la fille de Megg dans un road trip qui va les conduire en Bulgarie.

J'ai eu peur au début de ma lecture de ne pas m'attacher à Megg, j'ai eu envie de la secouer afin qu'elle ouvre les yeux sur ce quotidien qui n'était pas viable et j'ai clairement détester son mari ! Finalement, je fus rassurée par la tournure des événements et je suis ravie de l'avoir suivie dans ses aventures.

Ce roman se lit rapidement et reste agréable à lire malgré plusieurs clichés.
L'héroïne va enfin penser à elle et à ses désirs après plusieurs années d'effacement au sein de sa famille et de son couple.
Il suffit parfois de peu de choses, d'une oreille attentive et d'une main tendue pour faire un point sur sa vie et avancer vers l'avenir en se concentrant un peu plus sur ses envies, ses rêves ou ses projets.
Un bon moment de lecture feel good.

Megg est mère au foyer. A l'approche de ses 40 ans, elle se rend compte qu'elle s'est mise entre parenthèses et que cette vie ne lui convient plus. Sa mère est décédée 6 mois plus tôt, son mari semble la considérer comme son aide ménagère, sa fille ado ne lui parle plus et elle ne trouve plus de bons moments à raconter à son fils lors de leur rituel du soir. Heureusement, il y a son amie et voisine excentrique pour mettre un peu de bonne humeur à sa vie. Quand celle-ci vient l'aider à vider le grenier de sa mère, elles découvrent une pellicule photos jamais développée. Que peut-elle bien contenir ?


Je vous le dis chaque été, mais Carène Ponte me fait vraiment rire. On est de la même génération, je retrouve donc bien souvent des références que je partage dans ses romans. Et je trouve qu'une journée détente au bord de la piscine est un moment parfait pour se plonger dans son dernier livre sorti en poche. Un été sans Carène, ça ne devrait pas exister.

Un roman dans l'air du temps avec des thèmes comme la place de la femme, l'adolescence, la différence, l'épanouissement personnel.
J'ai passé un agréable moment de lecture.
?

Un immense merci aux éditions Pocket pour l'envoi de ce roman.

Ça faisait très longtemps que je n'avais pas lu un roman de Carène Ponte, et c'est une autrice que je cherie particulièrement. Chaque roman que j'ai lu d'elle m'a fait passé un très bon moment. C'est un peu quand être plongé dans une bulle de douceur, plein de bonne humeur, et de joie.

Et celui ci ne fait pas défaut, je l'ai dévoré en quelques heures, et je me suis régalée, une histoire feel good qui fait du bien.

Megg est mère au foyer, sa vie est réglée comme du papier à musique, mais cette routine devient de plus en plus lourde à supporter. La dépression s'installe lentement, insidieusement. Quelques mois après le décès de sa mère, Megg retrouve une pellicule photo, qui va bouleverser sa vie…

Je dois avouer qu'on début de ma lecture j'étais assez septique, Carène nous dépeint le quotidien morose de Megg, et j'avais du mal à comprendre où tout cela allait nous mener. Mais très vite mes craintes ont été balayées et j'ai plongé dans cette lecture avec délice.

J'ai été la compagne d'aventure de Megg, Romy (sa meilleure amie) et de Lalie (la fille de Megg) j'étais la quatrième et c'était génial ! J'ai traversé l'Europe avec elles, au programme, bonne humeur, fou rire, et émotions.

Je me suis très vite attachée à Megg, je l'ai trouvé très touchante et j'ai adoré le fait qu'elle embarque sa fille Lalie pour se rapprocher d'elle et retrouver une complicité. Mais le personnage que j'ai adoré c'est Romy, c'est un vrai soleil, un concentré de bonne humeur et de joie de vivre, et surtout c'est un soutien sans faille pour Megg.

Ce que j'ai aussi beaucoup aimé c'est comment Carène aborde l'évolution de Megg, comment elle s'épanouit au fil des chapitres, et comment elle retrouve sa fille, c'était hyper émouvant.

J'ai adoré retrouvé la plume de l'autrice, fluide, joyeuse et touchante. Un vrai régale.

Pour conclure, ce petit feel-Good m'a fait passé un super moment ! Et si vous avez envie de partir en Road trip, foncez !

Je ne suis jamais déçue avec les romans de cette autrice on sait que l'on va passer un bon moment de lecture
Avec des touches d'humour, l'autrice aborde différents thèmes : la femme au foyer, la relation mère-fille au moment de l'adolescence, l'amitié, le regard de l'autre

qu'est-ce qu'une femme parfaite, doit obligatoirement s'oublier ? la reconnaissance du travail d'une femme au foyer

Megg est femme au foyer et maman de 2 enfants. La charge mentale ça la connaît. Il faut dire que son mari, Stéphane, travaille beaucoup et se repose beaucoup sur elle pour la maison et les enfants. Sa fille, quant à elle, est une ado en crise. Elle ne lui parle plus et l'ignore autant que faire se peut. Heureusement, son petit garçon n'est pas arrivé à l'âge ingrat.
Il y a six mois, Megg a perdu sa maman suite à un infarctus. Elle se décide finalement, avec l'aide de Romy, sa voisine, à vider la maison de ses parents.
Elle y découvrira alors un cliché qui pourrait bien bouleverser le cours de son existence.

Quelle lecture estivale parfaite! L'histoire me transporte instantanément. C'est frais, léger et pétillant.

J'ai découvert l'auteure grâce à ses comédies de Noël. J'avais adoré son écriture fluide, délicate et avec une note d'humour. Et je suis donc heureuse de me plonger dans son dernier roman.

Le récit me plaît. Les personnages sont attachants et il est plaisant d'évoluer avec eux. J'ai un petit coup de coeur pour la pétillante et originale Romy.

Et si ce roman a une allure bien légère, il traite néanmoins de problématiques quotidiennes que beaucoup rencontrent ; la charge mentale des femmes, les relations parents-ados, le handicap...
L'auteure a le don de mettre tout cela en avant avec beaucoup de finesse.

J'ai passé un merveilleux moment et un agréable voyage avec cette lecture que je vous conseille.

Quel plaisir de se perdre dans les lignes de Carène Ponte et celui là est un coup de coeur.

Megg, mère de 2 enfants au foyer, perdue dans les tâches domestiques jusqu'à tenir un carnet de listes et de tâches à faire ou à ne pas oublier.
Au bord de la dépression et aidé de sa voisine, Romy, elle va faire la découverte d'une pellicule de photos dans le grenier de la maison familiale.

De là, commence l'histoire d'un départ en voiture vers la Bulgarie.
Accompagnée de sa voisine, l'excentrique et
pimpante, Romy, fan de jeux télévisés et de son aîné, Lalie, en pleine crise d'adolescence.

Le but du voyage est de retrouver la personne qui lui permettra de répondre aux questions qu'elle se pose sur les photos développées montrant, sa maman enlacée par un autre homme, que son père.

J'ai aussi adoré les dialogues de son fils, «son canard »

Merci pour ce roman qui permet à nous, lectrice, de nous évader et de lire avec un grand plaisir !
Merci Carène !

nous sommes en compagnie de Megg. Une mère de famille qui a laissé de côté sa carrière pour devenir la parfaite Bree van de Kamp. Son mari Stéphane est très pris par son boulot. Son fils Malone est un petit gars très enjoué et sa fille, Lalie, une ado au comble de l'insolence. On le sent venir gros comme une maison. Megg n'en peut plus de cette vie mais se met une pression monstrueuse pour garder le cap. J'ai eu envie de lui dire plus d'une fois : « Plaque donc tout et pars prendre l'air quelques jours et laisse donc à ton ingrat de mari les enfants, la maison et tutti quanti »

Et c'est justement ce qu'elle fait avec Romy une voisine déjantée qui l'embarque en Bulgarie pour tenter de retrouver l'amant mystère de la mère de Megg décédée il y a un an

Escapade parfaite pour voir du pays, laisser tomber ses listes et pourquoi pas retrouver un peu de sa féminité

J'ai eu envie de chanter « quand on partait sur les chemins quand on partait de bon matin ... À bicyclette ... » en lisant ce roman, de suivre ce joli trio, frais, décapant pour voir où le vent les emmène

Au delà de cette fraîcheur estivale qui enveloppe le roman, Carène Ponte interroge le fameux statut de la femme au foyer qui pour beaucoup disons-le « n'a rien à faire de ses journées et se prélasse sur le canapé une fois les enfants à l'école », le rôle de mère et d'épouse qui passent souvent bien avant le plus important : rester en phase avec soi-même. Elle interroge également le souvenir laissé par une défunte. Que faire quand on découvre un secret post mortem ? Comment vivre avec cette part cachée de l'autre sans pouvoir lui poser des questions et lui demander pourquoi ?