Plus j'avance dans la découverte d'
Alexandre Pouchkine, plus je regrette de ne pas pouvoir le lire en Russe … Puriste, Me direz vous ! Il paraît que si l'on n'est pas Russe on ne peut pleinement comprendre combien il était novateur dans ses écrits.
Là, il s'agit de ses poèmes écrits en français, certains graves « L'Antchar » ou le « Cavalier de Bronze » et sa sublime description de Saint-Pétersbourg, d'autres légers, tel « Mon portrait » poème de jeunesse écrit au Lycée Impérial de Tsarskoié- Selo en 1814 où on retrouve son ton plaisantin, un peu enfantin, le petit « polisson ».
Son écriture est fluide, les images réalistes, les sonorités de ses rimes rythment à merveille sa poésie, il est agréable de le lire à haute voix.