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sur 1330 notes
Alors, c'est l'édition double que j'ai lue, celle qui comporte les tomes 1 & 2. le premier est une romance pure, où l'on suit Daphné qui cherche à éviter le mariage de raison. Simon lui propose alors de faire semblant de se fréquenter tous les deux, afin qu'on leur fiche la paix à l'un et à l'autre. Evidemment, la suite est prévisible : ils vont tomber amoureux.
Le deuxième tome s'intéresse au frère de Daphné, Anthony. Lui, à l'inverse, ne cherche pas à faire un mariage d'amour, mais le meilleur mariage. Sauf que celle sur laquelle il jette son dévolu a une soeur qui fait barrage (tout comme lui le faisait face aux prétendants de sa soeur), ce qui va donner lieu à un certain nombre de situations cocasses entre eux. Et bien sûr, je vous le donne en mille...

Ce que j'ai aimé dans ce roman, ce n'est sûrement pas l'originalité car tout est cousu de fil blanc, mais c'est l'humour dont l'autrice fait preuve, avec des situations amusantes et légères, sans prise de tête. Je ne suis pas spécialement adepte de ce genre de littérature et pourtant je me suis surprise à apprécier. Les personnages sont hauts en couleurs et terriblement attachants et la plume de l'autrice étonnamment addictive. Je lirai sûrement la suite à l'occasion, même si ce n'est pas pour tout de suite.
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•Globalement, j'ai apprécié cette lecture. Julia Quinn nous plonge dans un monde romantique du dix-neuvième siècle. Ces tomes incarnent le romantisme et la passion par excellence. C'est tout ce que j'aime (🥰).

•Le tome un, qui relate la romance de Daphné avec le duc de Hastings, m'a replongé dans la série que j'ai regardé quelques mois auparavant. Ce qui est bien c'est que la trame reste la même mais certaines choses changent. Pour la première fois, j'ai du mal à savoir si j'ai préféré la série plutôt que le livre.
Ce tome met grandement en avant un homme prisonnier de son passé. Il ne peut profiter du moment présent ni même envisager un futur serein tant cela la hante. La douce Daphné aura donc pour mission de libérer le duc de se passer si encombrant.

•Le tome deux, consacré à Anthony qui décide enfin de se marier, m'a beaucoup plus transporté. Ce tome mêle amour, passion et humour. On m'a dit une fois que l'amour et la haine vont de pair... et bien j'en ai eu le confirmation dans ce roman (😂💜)
Le personnage de Kate Sheffield m'a beaucoup touché par son manque de confiance en elle et sa façon de rester dans l'ombre car elle se compare toujours aux autres. Et cela se reflète sur ce que penses les gens d'elle.
On retrouve deux personnages piégés sans leurs passes et leurs illusions, qui se sauveront mutuellement.

•Cette lecture fut passionnante, touchante et très agréable à lire. 🌷
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Avec la sortie de la série sur Netflix, ce livre passe partout en ce moment. Comme beaucoup, j'ai regardé la série et j'ai donc voulu découvrir le roman qui est à la base de cette histoire.

Nous allons suivre, dans ce premier tome, les aventures de Daphné, la quatrième Bridgerton, qui entre dans l'âge de trouver un mari. Elle se retrouve donc à écumer les bals londoniens du XIXème siècle pour trouver son futur époux. Elle croisera le chemin du Duc de Hastings, Simon, qui ne veut souhaite pas se marier. Cette rencontre va leur faire traverser de nombreuses épreuves.

Le départ de cette histoire partait plutôt bien. Une romance avec des personnages plutôt attachants, chacun avec une personnalité bien décrite, une histoire intéressante. La famille Bridgerton est haute en couleur, j'ai aimé découvrir cette fratrie, tout comme le passé tourmenté de Simon. L'écriture est fluide, le fond historique intéressant.
Mais.. Et le mais arrive. La seconde partie m'a totalement déçue. La romance tourne en relation malsaine, les propos tenus, les actes décrits sont malsains. Une scène en particulier, entre Simon et Daphné m'a dérangée car, je trouve, l'autrice banalise un scène, la romantise alors qu'elle est problématique. J'ai trouvé Daphné insupportable.

Ce roman partait bien, mais la seconde partie à gâché ma lecture. Cela m'arrive très rarement, mais j'ai préféré la série au livre que je trouve mieux tournée et moins problématique. Je ne sais pas si je continuerais cette saga. Une petite déception.
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Lady Violet Bridgerton, veuve depuis quelques années, a la lourde charge de veiller au bien-être de sa famille et de mener à bien les mariages de ses enfants. Ayant laissé à la mort de son mari la gestion de leur patrimoine à son fils aîné, le vicomte Anthony, elle se dévoue dans l'immédiat à Daphné qui a l'âge d'être courtisée et présentée à la cour. C'est la saison des bals, les jeunes célibataires se mettent en quête de trouver un mari, une femme, et Daphné, débutante accomplie, est la jeune fille la plus convoitée.
Il règne dans la demeure une joyeuse effervescence et si Daphné se prête au jeu des préparatifs avec complaisance, au plus secret de son coeur, elle rechigne à n'être qu'une proie pour des jeunes rapaces, et rêve de trouver un amour sincère.
L'actualité de cette aristocratie se partage entre les évènements mondains et les commérages sur une certaine lady Whistledown qui écrit des articles dans le journal La Chronique Mondaine. On ne sait rien de cette journaliste ou de ce journaliste et le mystère sur son identité alimente les discutions. Sur un ton humoristique, elle raconte l'intimité de la haute société avec beaucoup de piquant, son encre est parfois du vitriol, et chose surprenante, elle semble connaître les cachotteries des uns et des autres. Dans son dernier billet, elle annonce le retour du duc de Hastings, Simon Basset, qui avait quitté l'Angleterre après s'être disputé avec son père. Revenu pour prendre son titre à la mort de son géniteur, Simon va être l'un de ses sujets favoris… (avec Daphné).
Julia Quinn écrit dans son prologue les raisons pour lesquelles Simon a fui son père. On sait alors qu'à sa naissance sa mère mourut et que sa petite enfance ne fut pas heureuse avec un père violent et très sévère. le rejet a pour origine le bégaiement de Simon. Doté d'une intelligence peu commune, beau et fort, le petit garçon aurait pu être la fierté de sa famille, mais son « handicap » ne fut jamais accepté. Confié aux soins d'une gouvernante aimante qui fut pour lui une mère de substitution et qui lui apprit à bien respirer et à bien articuler, c'est à l'âge de onze ans que Simon se sentit capable d'affronter le duc. Mais c'est aussi à cet âge, qu'il prit conscience de l'inanité de son espoir… se faire aimer. En arrivant au château, il eut la surprise d'apprendre que pour tous, le jeune lord Clyvedon, héritier du duché, était mort. La confrontation avec son père fut une douleur supplémentaire et radicale car à compter de ce jour, le jeune Simon prit la décision d'être « l'exact opposé du fils désiré ».
Une jeunesse agitée, noceur et briseur des coeurs, le nouveau duc de Hastings a une sacrée réputation et pourtant, après une absence de six années passées à l'étranger, sa présence est recherchée car il est resté un homme intègre et bon. Fidèle en amitié, c'est avec une grande joie qu'il retrouve et renoue avec son meilleur ami d'Oxford et d'Eton, le vicomte Anthony Bridgerton, qui lui conseille de se montrer pragmatique en acceptant son héritage.
Les préoccupations des deux amis sont très différentes ! L'un est dans les souvenirs malheureux des relations avec son père et encore habité par la haine, et l'autre ne sait comment guider sa jeune soeur Daphné face à ses soupirants.
Bien que toujours souriante et enthousiaste, Daphné ne peut cacher à son frère ses véritables sentiments. Lasse, elle doute de ces damoiseaux si fades qui viennent la voir. Et ceux qu'elle trouve attirants n'osent pas s'approcher de peur de contrarier les frères Bridgerton.
Réunis en certaines occasions, bals, visites de courtoisie et promenades, Daphné et Simon vont se découvrir, sympathiser et conclure un pacte. Simon se plaint d'être poursuivi par les mères qui désirent avoir pour gendre un duc, et Daphné se plaint de ne pas avoir un véritable galant. Un complot assez fou germe dans la tête de Daphné qui lui propose des fiançailles de pacotille pour éloigner les marieuses et signifier que la demoiselle Bridgerton n'est pas si inaccessible…
A jouer avec le feu, on se brûle… et les deux jeunes gens vont être obligés de se marier. de la passion à l'amour, le chemin est plein d'embûches mais l'histoire sera belle.
Ce premier tome est plaisant à lire mais la romance a des passages assez critiques. Les obsessions de Daphné et du duc les conduisent à des actes peu honorables. Ça pourrait pimenter le scénario, mais à bien réfléchir ce n'est pas terrible…
Il faut donc s'attendre à lire une histoire romanesque légère et enflammée, qui charmera surtout la lectrice avec ses personnages secondaires et cette mystérieuse lady Whistledown qui ne dévoilera son identité que dans le quatrième tome.
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Dans l'Angleterre du début du XIXe, Daphné, l'aînée de la grande famille des Bridgerton fait son entrée dans le monde. Comme il se doit, elle est bien décidée à trouver un mari, qui sera approuvé par sa mère et par son frère aîné qui remplace ici son père disparu. Quand sa route croise celle du peu recommandable duc de Hasting, bien décidé à ne jamais se marier, c'est le début des embrouilles !
Après avoir regardé avec plaisir la série télévisée, adaptée des romans de Julia Quinn, j'ai voulu découvrir le roman et c'était vraiment une agréable lecture. Bien écrit, drôle, avec des personnages bien construits, le roman est à mon sens plus logique que la série et le scénario plus fluide. C'est agréable de plonger dans les aventures de cette famille et de se laisser emporter par cette époque. Cela permet une déconnection bienvenue en ces temps plus que troublés et un vrai moment de détente.
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Après avoir dévoré et adoré la nouvelle série basée sur les livres de Julia Quinn, j'ai eu l'envie de découvrir ces fameux livres afin de compléter la série.
Au niveau de l'histoire, je n'ai pas eu de surprises car la série est fidèle au livre et même plus détaillée. C'est l'une des rares fois où je peux dire que j'ai préféré l'adaptation au roman. L'écriture fluide permet de lire le livre rapidement et j'ai adoré les dialogues très vivants entre les personnages. Redécouvrir la famille des Bridgerton et des 8 enfants m'a beaucoup plu et je pense que je lirai la suite.
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J'ai découvert le roman grâce à la série qui passe actuellement sur Netflix. Comme il est certain que je n'allais pas lire le roman après avoir vu le film, je me suis hâtée de découvrir le 1er tome de la chronique des Bridgerton.
J'ai bien aimé mais je n'ai pas pu m'empêcher de faire la comparaison avec l'oeuvre de Jane Austen "Orgueil et préjugés", concernant la famille Bridgerton/Bennet.
Je ne suis pas une grande amatrice de saga familiale historique mais j'ai apprécié ce moment de lecture.
J'ai aimé le couple formé par Daphné et le Duc (bon d'accord je voyais le visage de Regé Jean-Page...). L'accord passé entre eux est un peu rapide à mon goût mais j'ai pris plaisir à découvrir les personnages, l'ambiance, le décor et la romance.
Je pense que je me laisserai tenter par la suite.
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En terme de romances historiques, ce n'est pas forcément Julia Quinn que je préfère à cause du côté trop " à l'eau de rose", mais j'ai tellement adoré la saison 1 de la série sur Netflix que j'ai plongé dans le livre pour comparer. La trame est sensiblement la même mais la série est beaucoup plus riche en évènements et en couleurs. C'est rare que je pense ça, mais j'ai vraiment préféré la série à ce premier roman. Il n'empêche que j'ai déjà acheté le second tome pour connaître la destinée de cette sympathique famille Bridgerton, ce qui est sans doute un gage de qualité.
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Bienvenue dans l'Angleterre du 19 ème siècle. A cette époque marier ses filles était le "sport" favori de toutes le mères de la bonne société. Ce n'est Mme Bennet (Orgueil et Préjugés - J. Austen) qui vous dira le contraire. Mme Bridgerton a quatre filles dont l'ainée est Daphné. Quand celle-ci croise Simon, nouveau duc de Hasting, elle en connait déjà la réputation par l'un de ses trois frères ainés, Anthony. Même sa mère lui a dit de ne pas s'en approcher de ce jeune libertin. Même si son titre est un objet de convoitise pour beaucoup de mères. le courant passe bien entre eux, mais Simon est franc avec Daphné : il ne l'épousera jamais.
Alors oui, on retrouve les us et coutumes de cette Angleterre lue, mais il y a une légèreté et un humour qui en font une lecture plus moderne.
Une lecture très agréable, je lirai les autres tomes.
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Quelle bonne surprise! J'ai été plutôt dure lors de ma critique de "comment epouser..." le premier livre que j'ai lu en français, de cette auteure americaine. J'ai alors décidé de m'attaquer à cette saga des Brigerton (j adore les sagas celle des Forsyte, les Jalna, etc).
Cette fois-ci je les lis en anglais ( non je ne suis pas snob mais chaque langue à son rythme et sa musique, son ambiance) . Les livres, tout comme les films, je les lis ou les regarde quand c'est possible,en V.O) Vous imaginez-vous regarder un film avec Gérard Depardieu ou Louis de Funes qui parlent en allemand ou en russe ou en chinois?
J ajoute aussi que , presque toujours je préfère le livre à son adaptation au cinéma. Je n'ai donc pas regardé la série sur Netflix

Pour en revenir à "the Duke and I " j'ai adoré. Oui la comparaison avec Jane Austen est pertinente, le style est enlevé, la psychologie des personnages bien étudiée... On vit aux milieu des personnages et on n'a qu'une envie c'est de connaître la suite. Et l' humour est présent, ce qui ne gâté rien.

Autre particularité ( du moins sur la version Kindle) c'est que l auteure à ajouté un 2ème épilogue dans lequel on retrouve Daphné et Simon 20 ans après. Même si c'est intéressant pour savoir ce qu'ils sont devenus, ça déflore une partie de ce qui arrive aussi des autres personnages. A vous de choisir si vous le lisez ou non.
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