AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,56

sur 103 notes
5
9 avis
4
13 avis
3
7 avis
2
0 avis
1
1 avis
La Collection "Ma nuit au musée" est captivante, car elle semble inciter les auteurs invités à révéler l'indicible en eux qui se manifestera peu à peu au cours de cette nuit particulière. C'est comme si la nuit, le musée se transforme en un univers fantasmagorique pour leur fait vivre une expérience hors du commun. 

Léonor de Récondo a choisi le musée consacré au peintre Doménikos Théotokopoulos, dit El Gréco (le grec) à Tolède en Espagne. Elle nous raconte sa passion absolue pour ce peintre, et malgré les quatre siècles qui les séparent, lui a donné un rendez-vous d'amour dans son musée. 

Avant de se laisser enfermer dans le musée, Léonor de Récondo flâne dans la ville écrasée de chaleur en rêvant à El Gréco qui a arpenté les mêmes rues qu'elle, quelques  siècles plus tôt,  et visite les autres lieux qui possèdent des tableaux du peintre. 

Le musée El Gréco est une maison-musée pour donner une idée des conditions de vie du peintre à l'époque. Sa véritable maison se trouve un peu plus loin dans la ville. La nuit tombe sur Tolède, Léonor de Récondo se rend au musée, l'enfermement a lieu à 23 heures précises. 

Que pense les gardiens du musée de cette jeune femme qui va passer la nuit dans le musée en compagnie d'un violon ? Oui, parce que l'originalité de cette histoire c'est que Léonor de Récondo est écrivaine, mais aussi une violoniste réputée qui veut cette nuit jouer pour son amoureux lui aussi passionné de musique, le beau et talentueux  Doménikos Théotokopoulos.

Avec cette nuit au musée en compagnie de Leonor de Récondo, on pénètre dans le monde de la création et de l'imaginaire. Ce domaine des possibles, où même une violoniste - écrivaine peut nous faire croire qu'elle va faire l'amour avec un peintre vieux de quatre siècles.  On y croit évidemment !

Ce livre m'a vraiment donné envie de flâner dans ce musée et découvrir les peintures de l'amoureux de Léonor de Récondo. 
Commenter  J’apprécie          50
La leçon des ténèbres m'a impressionnée et laissée quelque peu sur le bord du chemin. Léonor de Récondo y fait preuve de virtuosité. Elle exprime, avec le talent qu'on lui connaît, toute sa passion pour El Greco et l'expérience de passer une nuit seule dans le musée de Tolède qui est consacré au maître lui offre l'occasion d'écrire un très beau texte souvent poétique et lyrique. Ce n'est que mon incapacité à partager sa passion pour le peintre, dont je connais très mal l'oeuvre, qui me fait rester sur ma réserve, peut-être aussi l'idée, un peu loufoque à mes yeux de sa nuit d'amour avec Domenikos… Mais le récit de son expérience, éclaire, sans jamais être didactique, sur l'oeuvre d'El Greco et révèle une narratrice sensible et intelligente
Commenter  J’apprécie          10
Mars 2020- juste avant le " confinement " - Librairie Caractères- Issy-Les- Moulineaux / 22 juin 2023

Moment de lecture magique et intemporel !

Collection magnifique dont j'adore l'idée: un artiste, un écrivain passe une nuit dans un musée de son choix ( en France comme à l'extérieur de l'hexagone..).
Double perspective : la substance du Musée , un artiste à l'honneur, avec en parallèle, les raisons du choix du dit artiste...par l'écrivain, ses souvenirs , son appréciation intime de l'oeuvre, du peintre , et son appréhension vis à vis de l'Art , en général !

Pour Leonord de Récondo, on découvre sa passion par trois grands maîtres espagnols ,dûe à des sorties culturelles avec ses parents, eux-mêmes, tous les deux artistes : Goya, Velásquez et surtout El Greco, pour lequel, elle éprouve une totale vénération..

On saura au fur et à mesure toutes les raisons de cette dévotion: artistique et plus intime !

Elle choisit donc Tolède, le meilleur endroit pour " rencontrer" son artiste préféré...Elle débute cette nuit unique au Musée, totalement exaltée de marcher sur ses pas, d' admirer" tout à loisir ses tableaux, ses portraits....les lieux où il a vécu, oeuvré, rêvé, souffert....

Rencontre qu'elle veut en totale fusion avec cet artiste crétois, qui va fonder la célèbre École Espagnole ....après des vitages, des exils, beaucoup de difficultés...

"Doménikos ira ainsi de procès en procès, exigeant l'argent qui lui est dû et plus encore, au nom de l'idéal qu'il a de l'artiste. Son orgueil agace, l'Espagne n'a pas eu Michel-Ange ou Léonard pour prouver aux yeux de tous que la peinture n'est pas un art mineur, qu'elle a toute sa place aux côtés de l'architecture et de la rhétorique. Les peintres espagnols sont toujours soumis au pouvoir des confréries d'artisans.La notion individuelle d'artiste n'existe pas.Et la Castille, en pleine contre- réforme sous le joug de l'Inquisition, ne prêche que la pénitence et la repentance. "

Elle ne s'adressera à lui que dans une grande proximité, dans le " tutoiement " et en dialoguant avec lui, en l'appelant par son vrai prénom :" Doménikos"

Alternance du récit, entre la narration de la vie d' El Greco, de ses difficultés d'artiste très singulier, son amour inconditionnel pour son fils unique, qu'il garde près de lui, pour le " former"... et le récit au présent, de Leonord de Récondo dans le musée, au milieu des chefs d'oeuvres de son " idole " !

Un très beau texte qui m'a fait pénétrer dans l'univers de ce peintre ..
Même si toutefois, je ne ressens pas la vénération et l'admiration très exclusive de l'auteure, je regarderai désormais un tableau d' El Greco, avec un regard plus attentif et averti !

L'auteure, musicienne...parle aussi avec fièvre et passion de son art de " violoniste".Son cher violon qu'elle a emporté avec elle afin de jouer pour Doménikos...comme abolissant les siècles et le temps humain, dans cette nuit au Musée ,si exceptionnelle!
..
J'achève ce billet par un extrait où l'auteure exprime avec flamme ...toute la modernité de cet artiste précurseur...à maints égards !

"Doménikos , je t'adore, parce que tes toiles me semblaient parfaitement anachroniques quand, jeune fille, je les regardais à Madrid au Musée du Prado.Je ne comprenais pas de quelle époque tu étais.Je te trouvais bizarre, étrange, beau certes, mais sans adjectif adéquat. Je vérifiais plusieurs fois: 1600, vraiment ?
J'avais l'impression que quelqu'un s'était trompé dans l'accrochage.
Ton style ne correspondait pas à celui des autres peintres exposés.Tu aurais dû être dans la salle des Goya.Ton coup de pinceau, ton expressivité me semblaient si proches de moi dans le temps.Tes tableaux auraient dû être accrochés à côté de ceux d'Egon Schiele, mais aussi de ceux de la période bleue de Picasso. L'artiste espagnol ne s'est jamais caché de la profonde influence que tu avais eue sur son travail."




Commenter  J’apprécie          402
Enfermée seule une nuit entière dans un musée, quelle chance…je dois bien l'avouer j'aimerai assez !

Après avoir lu tout d'abord « le parfum des fleurs la nuit « de Leila Slimani, « La leçon de ténèbres » de Léonor de Récondo est le second livre que je lis dans la collection « La nuit au musée ».

Pour celui-ci, la romancière est restée enfermée la nuit entière dans le Muséo del Greco à Tolède, musée qu'elle avait déjà visité quinze ans plus tôt avec ses parents. Son souhait : y rencontrer Doménikos Theotokopoulos dit El Gréco, peintre de la couleur et fondateur de l'école Espagnole au XVIème siècle.

Quatre siècles les sépare, peu importe ! Léonor n'en a que faire, elle compte bien passer une nuit d'amour avec celui qui l'a tant subjuguée avec sa peinture il y a quinze ans et dont elle est tombée amoureuse.

Enfermée dans l'obscurité et la chaleur, observée par les vigiles sous l'oeil des caméras, la voici déambulant au grès de ses envies dans les couloirs, les jardins, la chapelle du musée.
Viendra-t-il ? Pa si sûr.

Alors qu'il tarde à apparaitre, Léonor de Recondo décide de l'appeler à travers la musique car dans ce musée, elle y est venue accompagnée de son violon. En plus d'être écrivaine, elle est aussi violoniste. Sa leçon de ténèbres musicale arrivera-t-elle à le séduire au point de traverser quatre siècles pour vivre ce rendez-vous d'amour si mystérieux ?

L'autrice alterne, dans ce petit livre de seulement 150 pages, la biographie de la vie d'El Gréco avec un récit profondément intimiste et émouvant dans lequel ses propres fantômes s'invitent et s'interposent dans ce rendez-vous amoureux. Ce récit empreint d'une extrême sensibilité m'a profondément touchée. Durant toute ma lecture, je me suis sentie comme suspendue à l'attente de cette rencontre.

J'aime énormément l'écriture de cette romancière et j'ai toujours ressenti beaucoup d'émotion à la lecture des romans que j'ai lus d'elle. Celui-ci ne déroge pas à la règle même s'il est totalement différent des autres. Je dois dire que le dernier chapitre de celui-ci est pour moi une merveille de sensualité.

Après cette lecture, je vais donc poursuivre ma découverte de cette collection en lisant prochainement celui de Lola Lafon, « Quand tu écouteras cette chanson »…

Commenter  J’apprécie          332
Léonor de Récondo est violoniste. Lors sa "nuit au musée", elle part à la recherche de Doménikos Theotokopoulos, dit El Greco, à Tolède. le récit de sa nuit alterne les moments de la biographie du peintre et les sensations vécues face à ses toiles. le musée comportant également un cloître où se promener et une chapelle où le violon sonne à merveille, ce sont tous les sens qui sont sollicités. le style poétique de l'auteur ajoute encore au plaisir de cette lecture. C'est la deuxième "nuit au musée" que je lis, découverte par hasard, et ce n'est sans doute pas la dernière.
Commenter  J’apprécie          140
Drôle de décision que celle de Léonor: Passer une nuit dans le musée de Tolède consacré à El Greco, ce peintre qu'elle aime tant!
Avec son violon, elle espère toucher l'âme du peintre, éprouver l'extase d'une rencontre avec lui, disparu depuis plus de 400 ans.
Heure après heure, l'auteure s'approche de la rencontre.
Ce n'est pas le roman de Leonor de Recondo que je préfère.
J'avoue ne pas être entrée dans l'attente, être restée à côté de l'histoire.
Commenter  J’apprécie          172
Léonor de Récondo part à la rencontre d'El Greco à Tolède.
Nimbée du halo de ses fantômes… Charmée de désirs intériorisés…
Une nuit au musée en quête d'extase mystique.

« Doménikos, mi amor, je suis tombée amoureuse de toi par la grâce de tes ciels (...) Tu es le vent et le ciel, et j'entre dans ton ombrage ».

El Greco (1541-1614) artiste peintre, sculpteur, architecte, originaire de Crête, quitte son île pour Venise, auprès du maître le Titien, puis ce sera Rome, avant d'arriver à Tolède, alors somptueuse et riche capitale spirituelle de l'Espagne.

Ecrivaine et violoniste, Léonor de Récondo a été dès l'enfance bercée dans le milieu artistique, initiée à l'art par ses parents tous deux artistes, dessins, peintures, musique…
La musique a sa part de volupté dans l'écriture de ses romans.

Léonor de Récondo se joue des quatre siècles qui la séparent de Doménikos Théotokopoulos ; et c'est par une intense chaleur estivale qu'elle va passer une nuit au Museo del Greco, une nuit d'amour car elle l'admire et le sublime cet artiste, se replongeant au coeur du XVIe siècle.

Poésie et mysticisme sont au rendez-vous pour une relation quasi charnelle avec l'artiste si singulier à l'époque, et fondateur de l'Ecole espagnole.

Leçon de Ténèbres, comme ce genre musical du XVIIème qui accompagne les offices des ténèbres pour voix et basse continue.
De l'art lyrique, intime et spirituel, comme l'écriture de Léonor de Récondo.

Dans la chaleur et le silence de cette nuit, Léonor joue sa leçon de ténèbres sur son violon et en appelle à son Doménikos ; lui l'artiste réfugié dans son disegno interno amenant le dessein à devenir dessin.

« En musique et sans mots ». Auréolée par la présence de Doménikos, Léonor se laisse flotter, emporter, extase vertigineuse et floue.
« Quand je ferme les yeux au milieu de cette chapelle et que je joue du Bach, j'appelle ton corps avec le mien (…) lente attente de toi, Doménikos (…), pour qu'advienne ce nocturne peu avant l'aube, pour que surgisse mon unique leçon de ténèbres ».

La transcendance que l'art du Greco exerce sur Léonor est magnifiquement exprimée comme la fugacité d'instants magiques, ils sont presque tout près l'un de l'autre… et laissent tous les deux leurs souvenirs affleurer… Envolée de couleurs, bleus du ciel et de la Méditerranée, vert des collines de Crête, jaune or du soleil, ocres, rouges des terres de Castille, roses et orange du crépuscule…blancheur de l'aube.

« C'est notre baiser, à la lisière du temps (…)
La lumière, malgré la nuit. »

Un roman – contemplation tout en sensualité, plein de délicatesse et de sensibilité.
J'ai beaucoup aimé.
*
J'apprécie cette collection « Ma nuit au musée » découverte récemment avec « le parfum des fleurs la nuit » de Leïla Slimani, et bien décidée à poursuivre !
Des titres à conseiller amis lecteurs ?
*
Commenter  J’apprécie          190
Doménikos Theotokópoulos, dit El Greco

Pour cette collection Ma nuit au musée, un auteur, une autrice a carte blanche pour raconter sa nuit dans un musée
Leonor de Recondo a choisi de retourner à Tolède, au Museo del Greco, où elle était déjà allée 15 ans auparavant avec ses parents. Son père est mort entre-temps, l'Espagne a le goût du pays perdu et elle décide de "rencontrer" El Greco.

Une parenthèse hors du temps, voilà ce que nous propose Leonor de Recondo avec ce court texte. Entre poésie et mysticisme, fantaisie et histoire, souvenirs familiaux et fantômes familiers, l'autrice dessine à sa façon un attachant portrait de ce peintre d'origine crétoise à la forte personnalité, profondément humain, novateur, fondateur de l'école Espagnole au XVIe siècle. Et elle se livre aussi nous offrant avec pudeur et délicatesse quelques confidences sur ses parents artistes tant aimés, et les moments précieux partagés avec eux dans une communion artistique qui l'a façonnée et construite. J'y ai vu une continuité de ce qu'elle nous offrait déjà avec Manifesto qui résonne avec Rêves oubliés...

Elle m'a donné envie d'aller à la rencontre de ce peintre que, je le confesse, je connais peu. J'ai beaucoup aimé ce récit singulier, déroutant, différent. C'est une leçon de ténèbres lumineuse...

Leçon de Ténèbres : « Genre musical français du XVIIe qui accompagne les offices des ténèbres pour voix et basse continue. Se jouait donc la nuit à l'Église, les jeudi, vendredi et samedi saints. »
Commenter  J’apprécie          41
C'est décidé, c'est le troisième et dernier livre que je lis de la collection « Ma nuit au musée ».
J'ignore si c'est moi qui ai plus d'exigences que d'autres, mais le livre de Léonor de Récondo m'a aussi un peu déçu, tout comme celui de Leila Slimani.
Elles ne m'ont pas transporté.


Seul le très grand dessinateur Enki Bilal fut très inspiré avec « Nu avec Picasso », nous gratifiant en plus, de quelques de ses dessins très bizarres. Un livre à lire !


Avec « La leçon des ténèbres », Léonor se retrouve donc une nuit entière enfermée au Museo del greco à Tolède.
C'est ce musée, situé dans le quartier juif de cette ville, qui accueille une grande collection de toiles et plusieurs croquis de l'artiste peintre Domenikos Theotokopoulos, plus connu comme El Greco. On y trouve de nombreuses oeuvres de la dernière époque de ce génie.

J'avais pensé que Léonor de Récondo, elle-même musicienne, ayant été élevée avec des parents artistes, qu'elle aurait fait une « fusion » avec les oeuvres du peintre grec. Qu'elle m'aurait raconté des histoires fantastiques avec les personnages peints, qui sont pour moi empreints de mysticisme et qui dégagent une fièvre contemplative.
Mais l'auteure a préféré raconter, avec une énorme poésie je lui accorde, Une sorte de biographie augmentée et imaginée du peintre.

J'ai bien compris que Léonor en entrant dans ce musée, avait fait un jeu et attendait impatiemment et ardemment son amoureux Domenikos le peintre.
Ses un peu trop de « mon amour » par ci et « mi amor » par-là, m'ont un peu agacé.


Mais c'est à la page 86-87 que je me suis arrêté et que j'ai bondi.
Il est 1h12, lorsque le gardien du musée fait sa ronde et arrive dans la salle où est se trouve l'auteure.
Je cite :

(..) Je remarque que sa chemise, bien qu'elle soit rentrée dans son pantalon est ouverte jusqu'au nombril, laissant voir une large partie de son torse.
Il est proche de moi, trop proche. (..)
L'occasion est belle. Une femme seule dans ce musée, toutes alarmes éteintes, avec diffusion en directe dans le local de sécurité. Trois mois de visionnage gratuit.
Qu'ont-ils tiré au sort celui qui viendrait ?


Mais madame de Récondo, c'est quoi ce film que vous vous faites ?
C'est quoi ce jugement à l'emporte-pièce ?
Mais c'est quoi cette diffamation ?
Comme si tous les gardiens de musée qui avaient la chemise grande ouverte étaient tous des violeurs en puissance ?!!!


Et Léonor de Récondo d'insister :

(..) Je me détourne. Juan est délicat. Il sourit toujours, mais il a compris que non, ce ne serait pas pour tout de suite, peut-être même pas pour ce soir.
(..) Désappointement du côté du local de sécurité, le collègue écrase piteusement son mégot dans le cendrier en verre.


Et j'ajoute, dépité, parce qu'il pensait se « palucher » en regardant les ébats de l'auteure avec Juan son collège.
Je suis désolé, j'ai trouvé que ces deux pages n'avaient absolument rien à faire dans ce livre.
Quelle piètre image fut donnée à ces gardiens !
Quelle piètre image est donnée à l'homme en général.

A force de voir du mâle partout, c'est le mal qu'on voit partout.
Commenter  J’apprécie          50
Pas le meilleur de Leonor de Recondo. J'ai été assez déçu par l'exercice commandé et accompli. Pas facile de décrire une nuit au musée sur 150 pages. Eh bien justement le compte n'y est pas. du musée il n'est qu'à moitié question, le reste n'étant que retours dans certains événements de la vie d'El Greco, célèbre peintre du XVIème-XVIIème siècle. le tout est agréable, fort bien narré mais, à mon goût, un peu vain. Mais bon, je ne me suis pas pour autant fâché avec l'auteur que je continuerai à lire très volontiers.
Commenter  J’apprécie          70




Lecteurs (223) Voir plus



Quiz Voir plus

Amours : Léonor de Récondo

En quelle année se passe l'histoire ?

1542
2000
1947
1908

5 questions
42 lecteurs ont répondu
Thème : Amours de Léonor de RecondoCréer un quiz sur ce livre

{* *}