Vasco est parti nouer une alliance avec le prince Dimitri de Moscou afin d'établir un comptoir commercial vers l'Italie.
Voici donc le trentième et ultime tome pour le personnage de Chaillet qui aura bien voyagé !
J'ai été un peu déçue par cette intrigue qui ne décolle jamais vraiment, par ce manque de dynamisme et par un Vasco assez insipide.
J'ai pourtant, encore une fois, trouvé le décor et le contexte intéressant. Mais le tout manque d'approfondissement.
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Ultime aventure de Vasco qui se retrouve en Russie pour y établir un comptoir de la banque Tolomei. Aidé du Baron van Loo, il obtient la promesse du grand duc mais doit partir pour la Mongolie y livrer l'impôt russe. Une nouvelle fois sur la route, mais cette fois c'est la dernière racontée (enfin du moins pour le moment). On y a donc une vision de Vasco plus âgé qui retrouve Sophie, ex princesse byzantine.
Le dessin est plutôt bon, l'aventure est sympathique bien qu'il y ait quelques ellipses (la raison du voyage vers le khan n'est pas lumineuse).
Héros apprécié, Vasco tire sa révérence, il est vrai que certaines de ces dernières histoires étaient de qualité inégale et idem pour les dessins.
En revanche le contexte historique était souvent très pertinent.
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Vasco est en mission en Russie pour cette ultime aventure. le personnage manque cruellement de consistance comme le scénario qui est vraiment très pauvre. Je ne connais que très peu l univers de Vasco, mais ce tome ne m'a pas donné envie d'en savoir plus.
Mon avis sera comme vous pouvez vous en douter, de passer votre chemin très vite et d' oublier ce tome.
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Vasco a su vieillir et se tromper, mais son plus grand mérite est d’avoir permis à ceux qui l’accompagnèrent de découvrir, au gré de cette fiction que fut sa vie, quelques pans d’Histoire !
Lire la critique sur le site : BDGest
Le travail de Dominique Rousseau, aidé par Chantal Chaillet aux couleurs, est remarquable. Ces pages sont superbes. Le rythme est au rendez-vous, avec des passages vraiment magnifiques et d'autres assez époustouflants. Une très belle lecture qui clôt en beauté la série.
Lire la critique sur le site : Sceneario
- Nul ne connaît l'avenir et nous ne pouvons effacer notre passé.
- Faute de l'oublier, on peut tenter de l'apprivoiser.
- Ou de le réécrire. N'est-ce pas le cas de la plupart des traités d'histoire ?