Bénis soient les regards assez tendres, assez fous, assez vrais, pour me donner le coeur de m'espérer encore, de m'attendre à quelqu'un d'autre en moi.
Les vrais, les seuls regards d'amour sont ceux qui nous espèrent, qui nous envisagent au lieu de nous dévisager. (Citation de Paul Baudiquey au début du prologue)