ON NE FAIT QU’ÉCRIRE...
on ne fait qu’écrire
fendre le blanc
se saisir de la boue
prendre le tison d’une langue
retournée à profondeur de lame
le rouge au commencement
le mot est couché entre les morts
et les silences tombés fous
peut-être, le commencement
d’une peau morte au coin de l’ongle