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Wonder Woman Rebirth tome 1 sur 7
EAN : 9791026811336
Urban Comics Editions (09/06/2017)
3.87/5   59 notes
Résumé :
Il y a cinq ans, le monde a découvert les premiers super-héros avec Batman et Superman, mais rien ne les préparait à l'arrivée de Diana, la princesse amazone de Themyscira ! Ayant accompagné l'agent de l'A.R.G.U.S. Steve Trevor dans ce qu'elle appelle « le monde des hommes », elle se voit attribuée le pseudonyme de Wonder Woman et rencontre ses premiers ennemis !
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Critiques, Analyses et Avis (18) Voir plus Ajouter une critique
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Cette fois c'était bon. J'étais vraiment décidé à ne pas me lancer dans le dernier reboot des super-héros DC estampillé « Rebirth ». Marre de tout recommencer tous les quatre ans.
Décision d'un homme faible qui n'a pas résisté à l'attrait de la très belle couverture du tome 1 de Wonder Woman Rebirth, réalisée par Jenny Frison.
Je ne le regrette pas ; c'est vraiment très bon.

Ce tome reprend les épisodes numérotés pair de la série. Ces épisodes sont consacrés à une nouvelle relecture des débuts de l'héroïne, alors que les épisodes impairs contiennent des aventures dans la continuité DC (tome 2 de l'édition française).
Cette version se rapproche de celle réalisée par Len Wein et George Pérez en 1987 (Wonder Woman Dieux et mortels) qui était elle aussi excellente. Un gros travail est réalisé sur la psychologie. Wonder Woman redevient cette personne emplie d'empathie pour son prochain alors qu'elle était plus guerrière badass dans le reboot précédent. Pour la première fois, la dessinatrice Nicola Scott lui octroie une plastique tannée et un profil presque proche oriental – hommage aux origines des Amazones. Les personnages secondaires sont touchants, avec un caractère bien planté à l'image de Barbara Ann Minerva, passionnée par le mythe des Amazones et la seule à parler le langage de Diana.

Parmi les nouveautés, les Amazones ne sont pas des méta humaines à la force herculéenne. Ce sont des femmes comme les autres qui vivent en autarcie sur l'île cachée de Themyscira. Elles sont physiquement bien entrainées, c'est tout. Seule Diana acquiert des pouvoirs surhumains par un don des dieux olympiens qui protègent les Amazones (les « patrons »). J'ai bien aimé aussi que les auteurs conservent une partie du mystère pour les dieux en ne les faisant intervenir que sous forme d'animaux, à l'image des mythes grecs.
L'action est plus violente qu'en 1987. La mort de l'innocent et le sang ne sont pas oblitérés. A l'image de tous les comics de ce début du 21ème siècle.

Me voilà donc à nouveau ferré. Et je n'ai pas envie de m'échapper du piège.
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Si je n'avais pas découvert Greg Rucka avec Lazarus, sans doute ne me serais je jamais intéressé à cette énième itération, relecture des origines de Wonder Woman.
Je suis complètement néophyte en ce qui concerne l'univers DC Comics et ses personnages. Mes seuls connaissances se limitent à ce qu'on a pu voir, en gros, au cinéma ou sur le petit écran, donc les personnages les plus célèbres. Wonder Woman en fait partie, et même si j'ai lu quelques comics là mettant en scène récemment, je ne connais pas grand chose de ce personnage.
Néanmoins, j'en comprends qu'apparemment, comme chez Marvel, les personnages subissent régulièrement une relecture, un reshoot, un reboot, appelez ça comme vous voulez, et que cette série proposée par Greg Rucka en est un de plus.
Et bien j'ai été plutôt agréablement surpris à la lecture de ce tome 1. L'histoire de cette Diana, plus humanisée qu'auparavant du fait que l'auteur ne lui reconnait pas d'ascendance divine, comme c'était le cas avant, apparemment, la rend beaucoup plus humaine, et accessible, et donc vulnérable. Même si au cours du récit, elle finira par acquérir les pouvoirs et capacités divines qu'on lui connait et qui la rendront surhumaine.
D'ailleurs, tout au long du récit, comme pour mieux nous le rappeler, les dieux n'interviennent jamais directement et jamais sous leur véritable forme mais celle de leurs avatars animaux, ce qui prouve bien là encore la volonté de laisser l'aspect divin de côté.
Mais du coup, l'auteur dresse d'elle un portrait plus superhéroïque que divin, aux prises avec les réalités humaines. le fait qu'elle ne soit au départ présentée que comme une humaine normale, ayant certes subi un entrainement intensif, crédibilise ce personnage.
J'ai bien aimé également les différentes couches que proposent le récit. Nous avons certes tout ce qui tourne autour du personnage de Diana, mais également tout l'arc autour du Docteur Barbara Ann Minerva, qui voue une passion sans commune mesure aux Amazones et qui tentent depuis toute petite de prouver leur existence.
Le scénario est lui aussi construit d'une main maitresse puisque chaque évènement est calculé pour mener jusqu'au chapitre final qui ouvrira sur la révélation et l'entrée en scène fracassante du véritable antagoniste.
Les éléments de l'intrigue qui s'entremêlent entre réalité et mythe jusqu'à ce chapitre final dans une tentative réussie de mêler réalité et mythe, est très intéressant à suivre. L'auteur souhaite vraiment ancrer définitivement ses personnages dans la réalité.
Les graphismes de Nicola Scott m'ont convaincu, c'est soigné et dynamique, et je ne saurais dire encore à quel point c'est frustrant de ne devoir se contenter que de quelques illustrations réalisées par la très talentueuse Jenny Frison.
En ce qui me concerne, affaire à suivre...
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Après la Justice League et Batman, voici ma chronique sur Wonder Woman. Ces derniers temps, Urban Comics multiplie les sorties sur l'Amazone. On a eu droit Wonder Woman Terre-un par Grant Morisson, Wonder Woman Dieux et Mortels par George Perez et puis à Greg Rucka présente Wonder Woman. Tous ces récits sont très bons, dans des styles variés, mais chaque auteur a su poser sa patte et proposer de très bonnes choses sur le personnage de Diana Prince.

Dans ce Wonder Woman Rebirth, c'est Greg Rucka qui reprend du service, accompagné au dessin par Nicola Scott, une illustratrice et dessinatrice qui a notamment travaillée sur Earth-2, les Teens Titans ou encore les Birds of Prey dont les dessins sont vraiment très beaux.

J'avais beaucoup aimé ce qu'avait fait Greg Rucka précédemment, et c'est avec grand plaisir que j'ai lu ce nouveau départ pour notre Amazone, qui est traitée avec beaucoup de justesse. Elle n'est pas encore l'icône forte de la féminité telle qu'on la connait, puisque l'on nous présente encore une fois ses origines.

Oui, car la publication est assez particulière. Ce tome, propose les chapitres #2, 4, 6, 8, 10, 12, 14, qui sont centrés sur les origines du personnages. Aux USA, cela est découpé de la même façon, mais ces chapitres-là ont été mis dans le tome 2. En France, Urban a choisi de commencer par ces chapitres afin que les nouveaux lecteurs puissent pleinement découvrir le personnage. C'est une bonne chose, mais si comme moi vous avez lu les différentes origines du personnages, vous n'apprendrez rien de nouveau et il faudra donc attendre le deuxième tome pour voir un peu quel va être le premier arc de Wonder Woman.

Malgré tout cela ne m'a pas dérangé de relire une énième fois les origine de Diana Prince, car Greg Rucka maitrise parfaitement son personnage ainsi que l'aspect découverte du monde. En effet, Diana n'a jamais quitté son île, et lorsqu'elle arrive sur le monde des hommes, elle est sans cesse surprise par diverses choses. J'ai beaucoup aimé son coté naïf, ainsi que son apprentissage des règles et des codes des hommes.

L'autre chose que j'ai vraiment aimé, c'est la présentation de Steve Trevor ainsi que sa rencontre avec Diana. Autant j'avais moyennement accroché au personnage lors des New-52, autant là, je l'ai trouvé plus humain, moins pleurnicheur. Cela vient sans doute du fait que l'on le voit bien avant qu'il s'écrase sur l'île des amazones. C'est tout bête, mais on le suit en filigrane, et du coup, lorsqu'il rencontre Diana, et ben on le connait déjà un peu. Cela aide beaucoup au développement du personnage et ça aide à la construction de la relation entre lui et Diana.

Il y a aussi un personnage très intéressant, que je n'avais encore jamais vu, donc je ne sais pas si elle existait avant ou si c'est un nouveau personnage, il s'agit de Barbara Minerva, une chercheuse qui a consacré sa vie à la recherche des Amazones. Elle apporte un coté exploration de type Indiana Jones qui ne dénote pas du tout dans le récit et qui apporte un coté mythologique sympathique, surtout qu'on ne voit pas les Dieux de l'Olympe dans ce tome.

Très accessible, ce premier tome est vraiment de grande qualité, même s'il manque un brin d'originalité, puisque l'on commence encore une fois par les origines du personnage. Les dessins et la construction des personnages apportent un gros plus au titre et permet de ne pas s'ennuyer. Sur la lecture des quatre premiers tomes de DC Rebirth, celui-ci se place en deuxième position, entre Batman Rebirth qui est mon coup de coeur et Justice League Rebirth qui est très sympa mais qui manque un peu de profondeur, en tout cas, en comparaison de Batman et Wonder Woman.

Lien : https://chezxander.wordpress..
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Comme à peu près tous les 5-6 ans, DC remet à jour son catalogue. Ainsi, après les New 52 (qu'Urban Comics avait brillamment décidé de renommer Renaissance), voici Rebirth (qu'Urban a décidé d'appeler… Rebirth. Non non, on ne risque absolument pas la confusion !).

Ainsi, tous les personnages de l'éditeur repartent à zéro et donc, Wonder Woman Rebirth tome 1 est ENCORE une origin story. Une Origin Story certes bien écrite et bien rythmée mais qui ne change pas beaucoup des versions précédentes. Certains personnages sont réactualisés, notamment Steve Trevor, qui maintenant souffre du syndrome du t-shirt biodégradable (mais bon, vu le nombre de fois où ce sont les personnages féminins qui subissent une réduction soudaine du nombre de cm3 de tissus sur elles, c'est de bonne guerre) et Barbara Ann Minerva (dont, sauf reboot total, les plus connaisseurs savent déjà la destinée), quelques clins d'oeil et idées originales apparaissent par ci par là mais sinon l'histoire reste quasi la même.



Rien de nouveau sous le soleil et mis à part le bon travail de la dessinatrice Nicola Scott qui est joli, bien maitrisé et servant très bien l'histoire et les personnages, je doute que cet album contentera les amateurs de comic-book. Par contre, il constitue une bon départ pour quiconque découvrant l'héroïne et son univers. Pour ma part, j'attends du deuxième tome qu'il mette en place un nouvel arc envoyant enfin l'amazone dans de nouvelles aventures.
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L'appellation assez ambiguë de "Rebirth" pour ce rebootage des principaux personnages de DC fait que les néophytes peuvent s'imaginer que c'est une collection faite pour eux. Sauf que non.
J'ai commencé à m'intéresser à cette collection avec Flash, mon choupi-préféré depuis toujours et déjà j'ai trouvé que le 1er tome de Flash Rebirth était difficile. Vous me direz : "Flash a un univers très exigeant" et je ne peux pas vous donner tort. Je craignais d'avoir les mêmes pensées envers Wonder Woman Rebirth et... Je ne me suis trompé qu'à moitié.
Après Charles Mouston Marston, qui pose les bases du personnage et de son univers, après George Pérez, qui oriente l'histoire de Wonder Woman très clairement vers la mythologie grecque, après Brian Azzarello qui assombrit le personnage, on ne peut que facilement s'imaginer la difficulté physique et morale que c'est de proposer un nouveau départ pour la plus célèbre des Amazones.
C'est Greg Rucka qui se colle à la tâche, avec Nicola Scott au dessin. le scénariste s'attache ici assez peu aux origines du personnage : tout au plus connaissons-nous Themyscira, l'île du Paradis où vivent les Amazones, ainsi que la rencontre de Diana avec Steve Trevor, un passage obligé. Celui-ci est un subordonné d'Etta Candy qui, encore une fois, change de rôle dans la distribution : d'étudiante, elle a été l'amante de Trevor chez Pérez, et elle est ici la supérieure militaire de ce dernier.
Wonder Woman fait la rencontre de Barbara Ann Minerva, une archéologue qui a à coeur de prouver l'existence des Amazones et qui connaît la langue de ces dernières. Cette dernière va être confrontée à une étrange organisation, Sear, dont les membres portent un arbre mort en guise de tatouage sur la poitrine. Ils honorent un personnage bien connu de l'univers de Wonder Woman.
La construction des différents personnages est vraiment très bien faite : on a une Diana Prince totalement naïve mais déjà très puissante, Steve Trevor est terriblement humain. J'ai une affection toute particulière pour Barbara Ann Minerva, parfaite alchimie entre Milos du film d'animation Atlantis et Nathan Drake de la courte et excellentissime série vidéoludique Uncharted.
J'ai beaucoup de regret, cela dit, pour Arès, qui n'apparaît que très brièvement, dans le dernier tiers de l'album, et est défait très facilement par l'Amazone. Dommage. Ce n'est, de plus, pas franchement crédible : le dieu de la guerre battu par une Amazone qui ne maîtrise pas encore parfaitement ses pouvoirs... mouais.
Les dessins de Nicola Scott décontenancent : assez approximatifs au début de l'album, ils parviennent à être très beaux à partir du milieu et sur le dernier tiers. le visuel de Wonder Woman et surtout d'Arès, citation obligée de l'arc "Dieux et mortels" après "Crisis on Infinite Earths" sont sublimes.
Ce premier tome de l'heptalogie Wonder Woman est tiède : beaucoup de bonnes idées, peu sont menées à bon terme et le scénario pêche, tout bancal qu'il est.
Je pense qu'il faut être très indulgent ou découvrir totalement Wonder Woman pour apprécier complètement ce tome. Non pas qu'il soit à jeter, loin de là ! Mais on sait qu'il y a du mieux qui peut être fait.
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critiques presse (2)
ActuaBD
31 juillet 2017
Premier tome de la nouvelle série régulière « Wonder Woman » sous la plume de Greg Rucka, un début maîtrisé et prometteur même si quelque peu classique en raison de l’omniprésence actuelle de la princesse amazone !
Lire la critique sur le site : ActuaBD
Sceneario
14 juin 2017
Une très bonne lecture qui permet de retrouver Diana en grande forme ! Une série à ne pas manquer !
Lire la critique sur le site : Sceneario
Citations et extraits (5) Ajouter une citation
(Arès, dieu de la guerre, à Diana):
Regarde autour de toi. Vois qui sont tes alliés.: des hommes et des femmes de guerre, voilà qui tu traites en amis.
Ce monde est né dans mes flammes, il est leur esclave.
Ils font de leur foyer un champ de bataille. Ils me vénèrent. Ils prospèrent grâce à moi. Leurs dirigeants glorifient ma doctrine.
Ils créent des poisons afin d'éveiller les endormis à ma doctrine.
Ils enseignent ma voie à leurs enfants dans leurs contes et leurs écoles...
Ce monde est déjà entre mes mains.
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Barbara Ann : Les hommes que tu as capturés, ils sont mauvais, tu le sais. Ils font partie d'une organisation appelée le groupe SEAR. Dans notre langue, nous les appelons des terroristes.

Diana : Pourquoi font-ils cela ? Pourquoi faire la guerre quand vous êtes en paix ?

Barbara Ann : Nous ne le savons pas vraiment. Ils attaquent dans le monde entier. Ils disent qu'ils font ça pour des raisons différentes, parce qu'ils n'aiment pas la religion d'autres personnes, l'endroit où elles habitent, ou les gens qu'elles aiment... Mais ce n'est pas important, ce qui compte, c'est les racines de leurs actes. La haine, Diana, voilà la motivation du groupe SEAR.
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Je voulais sauver le monde, cet endroit magnifique. Mais plus on s'en approche et plus on voit l'obscurité qui l'habite.
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"Aujourd'hui, nos jeux prennent une importance nouvelle. Ils désigneront la meilleure d'entre nous, mais, surtout, celle qui sera notre présent au monde des hommes. Elle sera notre ambassadrice. Elle parlera avec notre voix, non pas comme un bouclier des Amazones mais comme protectrice de tous ceux qui vivent au-delà de nos côtes. Elle quittera son foyer, ses amies, tout ce qu'elle a connu. Elle ne reviendra jamais. Ce sera son sacrifice, ainsi que le nôtre. Le don de Themyscira... notre championne." # Hippolyte
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_ Cette championne... ma reine, tu condamnerais une de nos soeurs à un exil éternel. Quiconque quitte Themyscira ne peut jamais revenir. Elle renonce à son immortalité. Elle serait une femme dans un monde d'hommes.
_ Pas la seule femme. La seule Amazone...
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