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3,97

sur 368 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Ce livre a été écrit par la très célèbre journaliste de France Inter Léa Salamé et elle y reprend les interviews qu'elle a faites de femmes qui se sont fait un nom toutes seules: Leïla Slimani, Christiane Taubira, Laure Adler, Beatrice Dalle, Bettina Rheims, Aurélie Mauresmo, etc.
Ces femmes, qui ont choisi d'évoluer dans un monde créé par les hommes pour les hommes (parce qu'on n'est jamais mieux servi que par soi-même) et de laisser leur empreinte à force de travail et de caractère sans jamais renier leur genre (la plupart n'ont pas choisi entre carrière et foyer, en assumant les deux).
Par ailleurs, on peut lire toutes ces interviews de façon transverse et se rendre compte que ces femmes sont là parce qu'elles ont refusé la place que les hommes leur avaient choisi - dans leur ombre - et qu'elle l'avait fait par la seule force exemplaire de leur travail, de leur intelligence et de leur personnalité. Voilà comment elles sont devenues des femmes puissantes et remarquables.
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Léa Salamé est née au Liban à la fin des années 70 ; devenue la journaliste et chroniqueuse que l'on connait, elle a réalisé en 2019 des interviews de femmes connues pour leur implication dans la société et pour l'excellence dans la pratique de leur spécialité à quelque titre que ce soit : domaines sportif, médical, philosophie, journaliste, photographe, ingénieure, rabbine… Cette série d'interviews est passée sur les ondes de France Inter à l'été 2019. Je ne les ai pas entendues à cette époque mais après avoir lu ce livre qui est la retranscription de ces entretiens j'ai très envie de les entendre sur le podcast de cette radio.
Et je découvre qu'il existe un tome 2, d'entretiens réalisé en 2021.

Sur les 15 premières pages la journaliste brosse son propre portrait, sa jeunesse, sa façon de voir les rapports humains lorsqu'elle était enfant, sa famille, ses études, sa posture de journaliste.

Léa Salamé a abordé ces entretiens avec une première question, la même pour toutes : « Si je vous dis que vous êtes une femme puissante, que me répondez-vous ? »
Certaines rejettent ce mot de « puissante », c'est un mot qui fait peur, qui peut sembler douteux utilisé au féminin.
Plusieurs choses m'interpellent à cette lecture.

C'est d'abord la grande modestie et la combativité de ces personnes qui ont réalisé d'incroyables défis.
C'est Amélie Mauresmo « la seule Française dans toute l'histoire du tennis à avoir été numéro 1 mondiale hommes et femmes confondus. Première femme aussi à avoir entraîné des hommes ».
C'est Christiane Taubira qui, me semble-t-il, s'est « blindée » au maximum pour pouvoir continuer à avancer et dont on ressent encore les traces des combats du quotidien à travers sa parole d'aujourd'hui.
Ensuite les confrontations quotidiennes au sexisme ordinaire :
C'est Sophie de Closets (Patronne des éditions Fayard à moins de quarante ans), présentée par un Journal comme « normalienne, super mari, super enfants… et en plus elle fait des gâteaux ! » qui répond « pourquoi faut-il que je me justifie sur le fait que j'élève mes enfants et que je fais des gâteaux pour leurs anniversaires… je ne suis pas certaine qu'ils aient posé ces questions à mes prédécesseurs hommes ! ».
Le courage de faire des choix difficiles et de s'y tenir :
C'est Nathalie Kosciusko-Morizet qui abandonne la vie politique française pour revenir à son activité d'origine en s'expatriant avec ses enfants. C'est elle qui à mon sens donne la meilleure définition de ce qu'il y a à comprendre dans le mot « puissance », une clarté de pensée qui m'a aidée à mener ma propre réflexion.
Ces interviews m'ont permis de découvrir l'être humain éminemment respectable sous l'apparence de la notoriété.
Mais finalement ces femmes sont-elles si différentes de toutes les autres, celles qui travaillent et assurent les tâches de la vie quotidienne à la maison et auprès de leur famille, c'est-à-dire nous toutes ? Non et c'est cela que j'ai trouvé rassurant et surtout motivant ; « vouloir c'est pouvoir », laissons le dernier mot à l'une des interviewées : « je suis une femme puissante, comme vous, comme toutes les femmes, si elles le veulent bien ».
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Ce livre de Léa Salamé regroupe des interviews de femmes, euh, puissantes (?), et toutes ses interviews commencent de la même façon par la question rituelle : "Diriez-vous que vous êtes une femme puissante ?". Certaines questions sont aussi posées à chacune, quel objet symbolise pour vous le pouvoir ? Que pensez-vous du #MeToo et de la réponse sur le droit d'être importunée par une tribune de femmes françaises dont Catherine Deneuve ?

Les réponses sont variées et parfois inattendues...

Léa Salamé interviewe donc entre autres Leïla Slimani, Chloé Bertholus, Christiane Taubira, Amélie Mauresmo, Delphine Horvilleur, Béatrice Dalle, NKM, Sophie de Closets...

Bon, personnellement, il y en a un paquet dont je n'avais jamais entendu parler, mais qu'importe, j'ai trouvé tous les entretiens intéressants. Ceux qui m'ont le plus marquée, ce sont ceux de Chloé Bertholus, chirurgienne, et de Delphine Horvilleur, rabbine. J'ai été très émue par celui d'Amélie Mauresmo également.

Pas de parcours fléché ni de recette magique pour parvenir aux sommets quand on est une femme, mais y-en-at-il quand on naît homme ? En tous cas, c'était très enrichissant de voir tous ces points de vue sur la féminité et le monde.

Je pense que je lirai le tome 2.
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A quelques jours de la « Journée Internationale des femmes », quoi de mieux qu'un livre autour des femmes pour penser à elles ? Dans « Femmes puissantes », Léa Salamé nous propose une sélection d'entretiens de femmes réalisés en 2019. A l'époque, je les avais écoutés sur France Inter avec intérêt, curiosité et, pour bon nombres de ces femmes beaucoup d'admiration, de respect et d'émotions J'ai voulu en relire certains, ceux qui m'avaient le plus marquée, plus exactement relire les mots de ces femmes publiques qui portent en elles force, intelligence, volonté. Des entretiens qui nous permettent notamment d'affiner nos propres opinions et convictions sur le monde actuel, les faits sociétaux complexes et les questions sociologiques diverses.
Je n'aime guère l'utilisation du terme « puissantes ». A mes yeux, cela renvoie trop à l'idée de force (physique notamment). Cette puissance d'une personne (mâle souvent donc) est au dépend d'autres personnes moins puissantes. Un terme qui rappelle le monde patriarcal. Et de par cette différence entre des êtres, cela sous-entend de possibles contrôles, exploitations, profits sur les plus faibles… Dans un combat entre des David et Goliath, j'aurais tendance à me mettre du côté des David.

Petite parenthèse faite, ces différentes femmes interviewées n'en demeurent pas moins des femmes de grande notoriété publique, des femmes qui ont réussi professionnellement et socialement, dont les pensées, discours et convictions ont des portées importantes. Des femmes écoutées, quelquefois décriées, mais qui laissent rarement indifférentes.
Elles ont le courage de leurs convictions, elles osent dire ce qu'elles pensent, parfois au risque de déplaire, choquer, parfois à contre-courant. Certaines ont osé aller vers des métiers à dominante/domination masculine (politique, chirurgie, religion…), certaines n'ont pas leur langue dans leur poche et lâchent des phrases chocs, en se moquant bien parfois que cela déplaise et du qu'en dira-t-on. Elles sont libres, audacieuses, intelligentes, certaines cultivées, poétesses, et radicalement modernes.

Bien sûr, en lisant certaines interviews, on n'est pas forcément d'accord avec la totalité de leurs discours et opinions. Mais, c'est justement cela qui fait avancer les mentalités : énoncer certains postulats qui font réfléchir, bouger les lignes (comme a pu le faire Elisabeth Badinter, expliquant dans son essai « L'amour en plus » que toutes les femmes n'étaient pas maternelles), oser une parole qui manque un peu de bienséance ou bien loin du politiquement correct (Béatrice Dalle ou encore son amie Virginie Despentes). A force, cela ouvre d'autres portes, élargit la pensée, dépoussière certains esprits étriqués, fait grandir. Et elles deviennent des exemples et des modèles pour toute une génération de femmes. Je voulais laisser de côté le terme de « féministes ». Mais en soi, leurs actes et paroles le sont car elles oeuvrent, consciemment ou non, pour une plus grande équité, égalité et amélioration de la condition de la femme.
Les entretiens de ces femmes donnent une force incroyable. Ça nous campe un peu mieux les pieds sur terre. Je regrette de ne pas avoir lu un tel ouvrage (ou encore l'essai « King Kong Théorie » de V. Despentes) alors que j'étais adolescente, prisonnière du carcan de l'éducation judéo-chrétien où la jeune femme doit se montrer polie (avoir un discours policé), ô combien discrète, aimable, où la jeune femme doit plaire (au risque de devoir se taire lorsque cela ne lui plait pas) et faire en sorte de satisfaire l'homme (conjoint, patron, homme lambda dans la rue). Cette éducation contraignante et diffuse dans nos veines a fait du tort pendant des générations. Et malheureusement, Mai 68 et les années suivantes n'ont pas suffi pour mettre à mal toute l'éducation bridée et inégalitaire.
Je ne serai jamais une Béatrice Dalle qui se moque d'être vulgaire, je ne serai jamais une Christiane Taubira qui a réussi à mettre un mur de protection pour ne plus être atteinte et blessée par les remarques et insultes. Il est sûrement trop tard pour cela.

Toutefois, pour toutes les jeunes femmes encore en devenir ou pour les autres comme moi qui ont déjà vécu (amoureusement, professionnellement, socialement), ce livre est un condensé de vitamines, de paroles chamaniques et positives, de mantras, un bon bol d'oxygène qui s'insinue avec bonheur dans nos poumons et notre cervelle, un je-ne-sais-quoi qui nous fait nous tenir droites et relever la tête. C'est tout une somme d'espérances que les choses peuvent bouger, s'améliorer vers plus d'égalité.
Toutes ces femmes à leur manière ont agi pour les femmes, pour la « Femme » et pour l'évolution de la société en général. Surtout, elles portent en elles la voie/voix et les preuves de notre liberté à l'instant T, de notre droit à une identité unique et personnelle (et non pas en tant qu'épouse, mère), de notre droit à penser, agir et être libre. Nous sommes l'agrégat d'une éducation, de rencontres, d'état d'esprit, de lois, mais nous sommes aussi libres (autant que faire se peut) de nos actes, libres de ne pas plaire, libres d'aller vers ce qui nous plait, ce qui nous fait battre le coeur.
Autant je suis convaincue que des cours d'autodéfense devraient être systématiquement donnés durant la scolarité à toutes les jeunes filles (pour les aider non seulement à se promener seules dans les rues avec plus de sécurité mais aussi pour leur permettre d'évoluer dans la société avec plus d'assurance) ; autant ce recueil d'entretiens -pour ce qu'il représente et peut apporter- devrait être lu lors de cours d'éducation civique et ce, quel que soit le genre.
Alors bien entendu il ne faudrait oublier de mentionner le long travail en amont de Léa Salamé pour la préparation et la réalisation de ces entretiens (en posant les questions sociétales ou plus intimes mais qui sont toutes révélatrices d'un schéma de liberté, parfois même d'une envie d'en découdre).
On ne manque pas d'observer que la majorité de ces femmes sont issues d'un milieu aisé, pour ne pas dire très aisé, avec parfois un parent (un père) qui appartient à la sphère publique. Seule peut-être Béatrice Dalle dénote (tout comme son langage). La présence d'une femme venant d'un milieu non favorisé (et donc ayant moins de chances économiques et culturelles de devenir « puissante ») rassure un peu sur la possibilité de non-reproduction et de devenir « forte », quel que soit le milieu.

En émerge de ce constat, le souhait de louer également toutes ces femmes (et ces hommes) de l'ombre qui, au quotidien, oeuvrent pour aider celles appartenant au groupe dit du « sexe faible » (à trouver un travail, à devenir plus libre et indépendante, à briser le silence, à échapper au joug d'un homme), et le souhait de penser, plus généralement, à toutes ces femmes discrètes qui sont fortes et puissantes (gérant la vie quotidienne, travail, enfants, foyer).
Et peut-être que ce serait moins vendeur, moins commercial, mais un recueil d'entretiens auprès de femmes inconnues, plus discrètes, et qui pourtant apportent aussi leur petite pierre à l'édifice de l'amélioration sociale ne serait pas dénué d'intérêt. J'aurais également beaucoup aimé un tel recueil d'entretiens auprès de Simone Veil, Gisèle Halimi, Jeanne Moreau, Marguerite Duras ou encore Thérèse Clerc.
Le 8 Mars, quand on pensera à toutes "les femmes", on pourra se dire qu'à défaut d'être puissantes (et avec une notoriété publique), elles sont loin d'être faibles dans le quotidien et qu'il y a comme un vent de liberté qui souffle sur elles.

Je souhaitais finir par une citation d'un homme, parce que cela rappelle que le plus souvent le discours de ces femmes n'est pas contre les hommes mais pour une égalité entre les sexes...
« Impose ta chance, serre ton bonheur et va vers ton risque. A te regarder, ils s'habitueront » René Char

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12 entretiens avec 12 femmes jugées "puissantes" que met-on dans cette définition ? Pouvoir ? Carrière ? Pourquoi les femmes ont elles du mal à se définir comme puissantes ? Ces 12 entretiens sont menées de manière identiques pourtant chacun est différent, avec une tonalité différentes. Certaines femmes déclenchent la sympathie, d'autres non. Une force se dégage de chacune d'entre elles. Elles sont femme politique ,sportive, chirurgienne, communicante , rabbine...des métiers très différents mais aussi mères de famille, épouses, des femmes qui ont plusieurs vies, ambitieuses, des métiers et des compétences différentes. Livre très facile à lire mais amène à réfléchir. Et Léa Salamé s'implique, se dévoile un peu dans l'introduction. Elle parle de sa posture en tant que journaliste, épouse d'une personnalité politique, de ce qui l'a amenée à mener ce travail.
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Suite à l'énorme succès rencontré par son émission radio sur France Inter où elles interviewe des femmes qu'elle considère puissantes, Léa Salamé a retranscrit et compilé ses entretiens dans ces deux livres (le tome 2 vient de sortir en librairie).
Chaque rencontre commence par cette phrase : « Si je vous dis que vous êtes une femme puissante, que répondez-vous ? » Puissance étant souvent un mot mal interprété avec une connotation de pouvoir, beaucoup réfutent ce terme et s'en expliquent. Elles racontent leur parcours et les préjugés ou écueils auxquels elles ont dû faire face (ou pas), leurs objets fétiches, leurs références…
L'éventail des personnalités rencontrées est très divers et cela rend l'ensemble assez riche : actrice, femmes politiques, colonelle, écrivaine, photographe, chirurgienne, ingénieure, rabbine…
J'ai aimé lire leurs opinions et leurs avis sur les sujets d'actualités, l'émancipation des femmes, le mouvement #metoo, le machisme inhérent aux métiers qu'elles ont choisis, le choix entre carrière et vie de famille, le choix d'être mère ou pas…
Il n'est pas nécessaire d'absolument apprécier toutes ces femmes; j'ai lu ces livres « dans tous les sens » au gré de mes « attirances » pour elles ou leurs métiers mais toutes ces tranches de vie sont intéressantes, parfois touchantes, souvent impressionnantes.

À découvrir !

Lien : https://www.instagram.com/p/..
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La journaliste Léa Salamé a interviewé pour la radio 12 femmes aux parcours exceptionnels (ce sont ces interviews retranscrits).
Des Femmes aux vies faites de réussites, de succès que ce soit dans la carrière, le sport, les arts mais aussi faites de doutes et de discriminations , de légitimité.
Ce sont des portraits touchants et magnifiques car mené avec intelligence, respect et sensibilité .
Certaines Femmes m'étaient déjà conquises mais ces échanges m'ont permis d'en découvrir d'autres avec surprises.
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La journaliste Léa SALAME, connue pour sa liberté d'expression et sa parole directe, publie ici son premier livre avec la rédaction d'entretiens intimistes qu'elle a réalisés sur France Inter auprès de femmes d'aujourd'hui qui rayonnent dans tous les secteurs professionnels.
Politique, religion, philosophie, communication, arts, sport, médecine ou édition, ces femmes puissantes tiennent toutes leur place avec brio et nous livrent des discours engagés, enthousiastes, sensibles et riches d'espoir sur le féminisme contemporain. Ces douze femmes inspirantes se dévoilent avec conviction et dans l'affirmation de leur singularité.
Elles constituent le panthéon féminin de l'autrice qui se dit profondément marquée par cette série de rencontres et bien au-delà de son aspect professionnel.
Il est vrai que le lecteur s'interroge largement sur les préjugés qui entourent encore les femmes dans toutes les sphères de la société et les portraits de ces figures inspirantes forcent le respect.
Très bel hommage à la singularité de leurs parcours et aux chemins atypiques qu'elles ont osé emprunter...
Textes très agréables à lire et à découvrir absolument !
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Très intéressante lecture que ce livre d'interviews de Léa Salamé, journaliste de France Inter.
Ce livre compile la retranscription de 12 interviews de femmes célèbres chacune dans leur domaine (politique, sportif, médicale, religieux, artistique, etc.), des femmes fortes, inspirantes ...en un mot puissantes.
Léa Salamé débute ces récits par un témoignage personnel très touchant et s'interroge sur sa posture de femme moderne, bénéficiant des combats féministes passés mais toujours d'actualité. Ce qui pose bien le sujet du livre : la puissance vue et vécue par les femmes.
Puissance difficile à intégrer pour chacune de ces femmes interrogées (sauf une) car associée bien trop souvent aux hommes, à la dureté/force masculine. Mais au final puissance bien réelle.

CHALLENGE MULTI-DÉFIS 2021; PLUMES FEMININES 2021



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Alors qu'elle choisit de quitter temporairement les médias le temps de la campagne politique de son compagnon, Léa Salamé réalise une série d'entretiens avec des femmes puissantes, admirables.
Cela donne un recueil touchant de témoignages intimes sur la vie de ces femmes, toutes différentes, qu'elle a rencontrées. L'occasion d'entendre leurs points de vues, de se questionner soi-même, de voir les divergences ou convergences. Cela permet de saisir une partie de la condition féminine en France aujourd'hui.
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