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sur 942 notes
Je n'avais été qu'à moitié convaincue par le volume précédent et je ne me suis lancée dans la lecture de celui-là que pour continuer une LC avec @Witchblade, et en me disant que maintenant, l'histoire est lancée et cela ne fera que s'améliorer.
Et ben non. Beaucoup de longueurs, l'histoire s'enlise. de temps en temps, on assiste à une petite accélération mais qui retombe très vite. L'auteur use d'artifices qui sont souvent incroyables et déstabilisants. Et j'ai vraiment détesté la fin.
Que dire de l'écriture ? Des bons moments dans les dialogues et les joutes de certains personnages, mais ce sera le seul point positif pour moi.
Donc désolée pour @Witchblade, mais j'arrête là cette aventure que nous avions commencée ensemble. Et c'est avec regret car d'habitude, je suis vraiment fan de ce genre d'univers.

Pioche de Mars 2020 choisie et faite en LC avec Witchblade.
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Dans ce tome les relations géopolitiques se tendent entre les différents rois mais aussi entre les magiciens. Ballotés par les événements le Sorceleur, Yennefer et Ciri se retrouvent parfois ou sont séparés souvent. Même si de profonds sentiments les unissent, leur destin est-il si commun que ça ? Les alliances, les trahisons, les faux-semblants, les mensonges font que beaucoup, du plus grand des seigneurs au plus humble des paysans, du mercenaire au brigand, chacun joue sa propre partition, au mépris des autres. C'est désormais le temps du mépris.

Tout commence par un messager en charge de délivrer des courriers entre les rois, en effet ces derniers ne font plus confiance aux magiciens pour s'informer entre eux. Dans une période très troublée, les magiciens font aussi parti de la danse et constituent une des forces en présence. Pendant son voyage, Aplegatt, le messager, croise Yennefer et Ciri, sans le savoir. Cirilla, que le monde entier croit morte lui prophétise son trépas, sa première vision. le Sorceleur, quant à lui, essaie de gagner l'argent dont il a besoin en éradiquant des monstres.

Un opus très intéressant car il ouvre de nouvelles perspectives quant aux capacités de Ciri, à la relation entre Geralt et Yennefer. Enfin l'empire de Nilfgaard étend son ombre à l'ensemble des autres royaumes. L'avenir est encore extrêmement sombre et aucune étincelle d'espoir ne semble poindre. Donc, vous l'avez compris, il me tarde le tome 5.

❓Le Sorceleur, vous connaissez les romans, la série Netflix ou le jeu vidéo ?

Lien : https://jmgruissan.wixsite.c..
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Ce volume opère un point de rupture en moi. Là où les tomes précédents m'agaçaient page après page, je me suis retrouvée cette fois-ci à être prise de fou rire à la place. Sans doute la pause de quelques semaines entre les deux volumes m'a-t-elle permis d'évacuer l'énervement accumulé au fil des livres précédents. En soi, le pourquoi du comment n'a pas de véritable importance.

En toute honnêteté, j'aurais donné 2 étoiles à ce tome….si ce n'était pour un tout petit détail – écoeurant - que j'exposerai plus tard. (visiblement, l'auteur adore faire en sorte d'éviter le 2 étoiles :p)

Comme à chaque volume, l'auteur s'améliore clairement dans la forme. À présent, c'est 75% d'écriture correcte et même parfois quelques lignes agréables à lire (avant d'être gâché par un problème de fond ou de forme). Bon, je vous rassure, je n'ai pas trouvé d'incohérence d'une phrase à l'autre – même si ceux d'un paragraphe à l'autre sont toujours présents – néanmoins, l'auteur a quand même réussi à se rajouter d'autres problèmes stylistiques (ceux évoqués dans le tome précédent sont toujours présents) : des « faux-raccords » narratifs, des phrases copiées-collées (ce qui peut être utilisé dans un but précis et dans un contexte précis ; si c'était ce qu'il voulait faire c'était mal fait, ou alors le/la traducteur/trice l'a mal retranscrit) et il y avait deux trois autres éléments que j'avais en tête en fin de lecture mais que le temps m'a fait oublier…c'est qu'ils devaient être de moindre importance, même si présents de manière récurrente (je ferais en sorte d'écrire les critiques aussi vites que possible après lecture).

Un bon point tout de même, l'auteur commence enfin à diversifier son vocabulaire ; ce qui est une des raisons des 75%, mais ne vous inquiétez pas, notre cher protagoniste « occiput » est toujours présent. (plus sérieusement, vu comment c'est récurrent à travers les volumes, je me demande si l'auteur n'a pas eu une blessure traumatisante ou un truc du genre ; ou alors ce monde suis la loi : la majorité des blessures se doivent d'être infligés à l'occiput de l'opposant sous peine de mort ; comment ça j'ai perdu mon sérieux ? mais pas du tout !)


Au niveau du fond, on peut desceller un désir d'amélioration également. L'histoire cherche à se complexifier, ce qui est on ne peut plus louable, mais souffre du manque d'introduction et de développement corrects (comme ses prédécesseurs). D'un point de vue ironique, j'ai une meilleure connaissance des tenants et aboutissants par les jeux que par les volumes. Complexifications qui sont d'ailleurs assez convenues et classiques - et même prévisibles – mais comme je l'ai dit, cet essai de la part de l'auteur est louable.

Ce qui est moins louable en revanche, c'est l'abus de deus ex machina à la chaîne. Alors, d'accord, je peux tolérer l'un ou l'autre deus ex machina, l'une ou l'autre incohérence, l'une ou l'autre inconsistance, l'une ou l'autre superficialité, quelques facilités scénaristiques ; aucune oeuvre n'est parfaite et chacune a son lot de « problèmes », mais comme pour tout, il y a une limite et en terme de deus ex machina presque l'entièreté du volume en est composé. Ce qui est assez dommage parce que cela aurait pu être facilement contrecarré en semant des graines (/indices) en amont.
Pour l'histoire elle-même, je vais évoquer trois éléments, donc si vous voulez éviter les spoils, passez votre chemin.

Premièrement, comme on pouvait déjà s'y attendre à travers le premier volume de la saga, un glissement de protagoniste s'opère de Geralt à Ciri. de manière peut-être un peu trop rapide. Alors, certes, il y a les nouvelles, cependant, j'aurais aimé voir ce personnage être central un peu plus longtemps. Cela relève du chipotage, parce que le glissement dans le volume même n'est pas trop abrupt – juste un peu – mais j'avais quand même envie de faire part de ce ressenti personnel pour le coup.

Deuxièmement…mon dieu l'histoire d'amour entre Geralt et Yennefer. Fou rire assuré. Là en revanche, moins de personnel et plus sur un problème d'écriture. Qu'avons-nous comme couple principal ? L'équivalent d'un philtre d'amour. J'ai beau avoir conscience que par le passé l'amour par philtre dans les fictions était perçu comme véritable, à moins de vivre dans une dimension parallèle, cela fait quelques siècles que cette vision a été dépassée et reconnue comme faussée. du coup, voir ces deux personnages être traités comme un couple normal (sentiments réels) sans que jamais la source de leur sentiment ne soit remise en question rend tous leurs échanges artificiels et manquant cruellement de crédibilité. Quant à ceux qui voudraient me rappeler la nouvelle où Geralt lie Yennefer à lui par le destin (notre cher philtre d'amour) parce qu'il éprouvait des sentiments réels ; outre le fait que c'est l'équivalent d'obliger une femme à boire un philtre d'amour sans lui demander son avis, les sentiments de Geralt n'en sont pas plus crédibles : on parle quand même d'un « amour » survenu alors qu'il a été traité comme une merde, que son meilleur ami a failli être tué par cette femme, qu'elle a cherché à le tuer également, qu'il n'y a RIEN eu de positif entre eux (ok, non, il l'a vu nue….au point de vouloir un « mariage » ? faut pas déconner), qu'elle a tout fait pour des raisons entièrement et purement égoïste et que malgré tout en moins d'une journée il est tombé suffisamment sous son charme (de manière parfaitement aléatoire) que dans l'urgence de la situation, le seul souhait qui lui ait traversé l'esprit est de l'obliger à être amoureuse de lui (et ensuite ils baisent dans les décombres parce que pourquoi ne pas en profiter directement n'est-ce pas ?) ; je me trouve face à une pièce de théâtre soumise aux 24h ? pas que je me souvienne. Ou alors Geralt est le protagoniste le plus masochiste créé à ce jour (ce qui est faux, mais vous avez compris). Bref, si l'auteur voulait créer un couple aux sentiments réels, il n'aurait jamais dû écrire son philtre d'amour ; s'il voulait créer un couple aux sentiments artificiels alors il se doit de traiter cette thématique à moins de vouloir se retrouver avec un énorme problème sur les bras. Pour le moment, il semble préférer les problèmes.

Pour terminer, ce moment d'écoeurement qui m'a empêché de lui donner 2 étoiles malgré tout : le viol de Ciri. Vous connaissez sans doute grâce à notre incroyable inconscient collectif l'existence d'oeuvres pornographiques où la personne violée tombe « sous le charme » de son violeur et en veut plus ? Eh bien, voilà un bel exemple « soft » que l'auteur nous présente. Mais remettons-nous dans le contexte : après avoir sauvé un garçon et s'être enfui avec un groupe, ce dernier veut la remercier en….couchant avec elle, même si elle n'en a pas la moindre envie. Fort heureusement pour notre combattante et magicienne Ciri paralysée par la peur, elle est sauvée par un autre membre du groupe ; une jeune elfe. Cette dernière la console un peu et…la viole… Oh, nulle inquiétude, l'auteur l'emballe bien pour faire passer la pourriture pour du fromage ; en montrant le lendemain que la magie du viol a créé des sentiments entre Ciri et sa violeuse qu'elle n'avait même pas rencontrée depuis une demi-journée (deux trois heures, tout au plus) et qui était plutôt agressive envers elle (pas non plus la moindre indication d'attirance ou de sympathie quelconque au préalable). Alors…je vais être très clair… Voir un viol être montré comme un acte « positif » dans un porno, je m'en fous, aucune oeuvre pornographique ne se flatte d'être crédible et ce n'est pas le moins du monde leur but recherché ; dans un roman adressé en premier pour (pré-)adolescents (masculins) ? Ai-je vraiment besoin de développer en quoi c'est problématique et proche de la nausée ? Je peux certes chercher à trouver une justification à un tel écrit. C'est peut-être triste à dire, mais il existe véritablement des pays où le concept de « femme violeuse » n'existe pas ; que vous soyez un homme ou une femme, si vous dites que vous vous êtes fait violer par un membre du « sexe faible », presque personne ne vous croira (et dans tous les cas la « justice » ne peut rien pour vous). Bien entendu, cela sous-entendrait que la Pologne souffrirait d'une telle mentalité à l'époque de la rédaction du roman, mais je doute que ce soit le cas. Peut-on trouver une autre excuse ? Un autre justificatif ? le fait que la violeuse soit une femme rendrait la chose moins grave et plus « romantique » ? Je le demande car ce passage a fait débat et certains clamaient qu'il valait mieux être violé par une femme que par un homme. Je ne relèverais pas en quoi une telle pensée est tout aussi problématique, puisque même dans un tel cas essayer de le faire passer pour autre chose qu'un viol reste écoeurant.

Donc oui, c'est ce petit passage de rien du tout qui au final m'empêche une fois de plus de lui donner 2 étoiles. Il porte bien son titre, en somme, le temps du mépris est bel et bien venu (le mien). le tome possède, comme son prédécesseur, de nettes améliorations tout en se créant des problèmes à d'autres à plusieurs niveaux. Même s'il avait été préférable d'améliorer en priorité son fond (surtout les personnages vides et inconsistants), je félicite tout de même l'auteur de monter la pente ascendante, car, après tout, il aurait pu être de plus en plus mauvais au fil des tomes. D'ailleurs, comme je suis passée de l'énervement constant au rire constant, la lecture était automatiquement plus divertissante (au moins je saurais quoi lire si jamais je déprime). La question, maintenant, est de savoir si le prochain tome réussira ou non à fuir les 2 étoiles.

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Le temps du mépris est le deuxième roman de la série consacrée au sorceleur. Que les adeptes se rassurent : cette fois-ci Geralt de Riv tiendra bien la première place.

Malgré cette bonne nouvelle, la série confirme son évolution vers une intrigue au long cours. Il ne va pas être ici question de chasse aux monstres, mais bien de suivre les pistes qui ont été esquissées à la fin du roman précédent. Il va donc être question de tractations politiques, de conflits. Pourtant contrairement à ce qui s'est déjà fait, tout cela sera suivi du point de vue terre-à-terre des acteurs de premier niveau.

Pendant un temps, les personnages principaux sont réunis avant de continuer, chacun, leur retour vers leur destinée. Si le roman offre une continuité certaine avec l'album précédent, plusieurs ellipses viendront ici accélérer le rythme. Une parenthèse mémorable est particulièrement frustrante (notamment parce qu'elle se pare d'une révélation qui aurait pu être mieux exploitée), mais elle révélera une belle surprise grâce à Jaskier. le traitement est habile et permet de gagner en fluidité.

Il est en revanche regrettable que le roman s'achève par deux chapitres consacrés à Ciri. Si le dernier est intéressant et laisse la place à des développements intéressants pour la suite, le chapitre six est, particulier. Il faudra être particulièrement motivé pour ne pas décrocher à ce moment-là. Il s'agit là d'une traversée du désert assez aride et qui dessert ce qui précède.

L'action est ici clairement au rendez-vous et il est difficile de lâcher ce roman. L'histoire suit son cours. le scénario principal ne sera pas achevé, mais les pièces se mettent progressivement en place, tout en laissant le lecteur sur sa faim. Il faudra donc continuer pour en savoir davantage…
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Alors que le troisième tome me semblait prendre une bonne direction, le Temps du Mépris est une grosse déception.
On reste encore dans un roman type recueil de nouvelles, et c'est pénible. de longs chapitres, pas de lien, des ellipses...
Ce roman est un sacré fouillis, notamment le chapitre consacré au sommet des sorciers. On rencontre énormément de personnages, et on arrive pas à suivre (qui sert qui ? Qui est qui ?...).
Bon, je m'arrête là dans la critique. Je continuerai la série Netflix (qui elle est bien faite) mais je ne suis pas certain de poursuivre les livres.
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Nous suivons Ciri la majeure partie du temps.
Cette jeune fille change de vie encore une fois.
Dans les années et le tomes précédents, elle était passée du statut de princesse héritière un peu caractérielle à celui de fillette recherchée par tous les tueurs du monde du Sorceleur.
Dans ce volume, elle est toujours recherchée, mais c'est plutôt pour l'épouser. Peut-être est-ce un progrès
J'ai été prise par le charme de ses tribulations et ses aventures.
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Non, franchement non.
Un tome transition nécessaire probablement du point de vue de l'auteur mais qui m'a achevé.
- on se perd dans la muuuuultitude de personnages, surtout que la plupart sortent d'on ne sait où et servent à on ne sait quoi
Sitôt la page tournée , sitôt oubliés.

-je déplore l'absence d'une map.
Franchement là j'ai jeté l'éponge.

-le rassemblement des mages.
Alors c'est probablement le passage le plus ridicule de ce roman.
Bonjour Closer.
Yennefer t'as juste envie de lui faire fermer son museau et qu'elle se fasse foutre au bûcher.

Le tome 5 patientera.
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Si j'avais déploré le manque de rythme du volume précédent, ce quatrième tome est plutôt généreux en retournements de situation. On sent que la longue et lente mise en place de tous les acteurs qui joueront un rôle dans l'intrigue est bel et bien terminée, place à l'action !

Le changement est radical d'ailleurs, car on a même parfois du mal à suivre tous les événements. L'absence de carte dans le livre est un vrai manque, et j'ai été m'en procurer une sur Internet, sinon la plupart des guerres entre royaumes et leurs enjeux sont plutôt incompréhensibles, d'autant que peu de souverains ont une identité marquée, ce qui conduit à les confondre.

On reçoit également quelques explications sur les zones d'ombre du volume précédent (la prophétie, l'identité du chevalier noir, …) ce qui m'a plu, parce que c'est généralement le genre de détail sur lequel les romans de fantasy entretiennent le mystère jusqu'aux toutes dernières pages, ce qui me paraît un entretien de suspense assez artificiel et qui m'agace souvent.

Pour nos personnages principaux, c'est aussi le chaos. Après un semblant de continuité et de maîtrise des événements, chacun se retrouve totalement isolé dans une situation qui le dépasse. J'ai d'ailleurs eu la sensation qu'il n'y avait dans ce tome que des personnages secondaires, et que le vrai héros du livre est l'intrigue géopolitique.

J'espère les retrouver dans le tome 5 avec des actions à la hauteur de l'amour qu'on leur porte !
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Je continue mon périple au pays du Sorceleur avec ce quatrième tome. Un tome qui m'a beaucoup plu et qui se positionne un peu plus sur Ciri dans la deuxième partie de cet opus.
Je suis ravie de retourner dans ce monde où tout part à cacahuète. Entre les rois et les magiciens, la confiance n'est plus là. Complots, manigances, trahisons parsèment le récit.
J'ai pris plaisir à revoir les personnages même si ce n'est pas dans la meilleure des situations. Je commence à apprécier Yennefer sur sa façon d'éduquer Ciri. Geralt toujours fidèle à lui-même et attachant. Pour en revenir à Ciri, parfois, j'ai du mal avec elle, j'essaie de prendre en compte son jeune âge, ce qu'elle a vécu à Cintra. C'est un peu difficile mais les événements dans ce tome commencent à me faire voir le personnage autrement.
Pour l'histoire, j'ai adoré du début à la fin. L'intrigue principale est toujours aussi passionnante, les relations entre magiciens et rois, entre peuples dit non-humains et les humains. La politique du monde où l'on voit la domination de Nilfgaard et la façon dont l'empereur de ce pays gère la diplomatie avec ses voisins et la puissance de son armée. Bref, plus j'avance dans le récit plus je la trouve captivante.
Pour conclure, ce tome quatre fut une excellente lecture, je l'ai dévoré. J'aime beaucoup le style de l'auteur, la façon dont est décrit le monde du Sorceleur, la variété du bestiaire, l'ambiance générale de cet univers dur et dangereux ou chaque personne doit survivre comme elle peut. J'ai hâte de lire la suite.
Lien : https://la-bibliotheque-du-l..
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Il me paraît assez difficile de commenter ce livre dans la mesure où, bien qu'il s'y passe pas mal de choses, on a beaucoup de mal à voir où l'auteur veut nous mener. J'ai eu le sentiment, à la fin de ma lecture, que ce tome aurait pu être le premier finalement.
En effet, il ressemble à une "mise en place" de la suite, alors que le premier tome de la série de romans nous plongeait très (trop) vite dans l'univers du Sorceleur sans présentation (à moins d'avoir commencé cette saga par les préquelles). Je m'attendais donc à quelque chose de différent... Quoi qu'il en soit, il me semble impossible d'en rester là !
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