Ce deuxième tome explore plus avant la mythologie que l'auteur met en place, même s'il prend le temps. Il prend le temps de s'attarder sur ses personnages en indiquant sur le déchirement qui les tiraille. Même si Osamu, le personnage principal semble avoir accepté sa condition, il cherche sa place qui se situe désormais quelque part entre humanité et monstruosité.
Ce tome explore la limite entre les deux et questionne ce que l'été humain est capable de faire par amour. Car il est également question d'amour dans ce manga, l'amour naissant entre deux ados perdus, qui ne savent pas s'en dépatouiller et qui apprennent tant bien que mal.
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Vraiment on est en suspens, des réponses aux anciennes questions, de nouvelles questions en cours..
J'aime beaucoup le familier pour le moment et bien sûr Miwako !! J'ai hâte de connaître la suite de cette petite pépite.
Je pense que tous les tomes seront des coups de coeur à ce rythme là vraiment, j'ai trouvé LE manga que j'adore
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Comme le premier tome j'ai ADORE ce second. Plein d'action, de suspens. Une belle pépite qu'on ne lâche pas. J'aime beaucoup le personnage de Osamu et commence a m'attacher d'une certaine façon a Miwako. Hâte de voir le prochain tome et de voir comment se poursuit cette histoire.
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Sur le plan de la construction scénaristique, Hirohisa Sato prend quelques raccourcis, parfois, quand il passe d'un aspect à l'autre, et peine alors de temps en temps à bien équilibrer les différentes composantes de son univers (entre autres, les phases où Osamu a l'occasion de retrouver son humanité pour aller en cours sont franchement expéditives). Mais au fil de ce volume amenant son lot d'enrichissements, l'auteur semble bel et bien savoir où il va, et n'a aucun mal à rendre son histoire toujours aussi immersive et intrigante grâce à la force de ses dessins souvent riches et léchés.
Lire la critique sur le site : MangaNews
J'ai vécu assez longtemps dans les ténèbres.
Le sang de ces fossiles est épais et visqueux, ça me dégoûté ! (plein de cholestérol)
La mort est venue nous cueillir, comme tous les autres…
J'en veux pas, moi, de ce monde de barges !
J'en peux plus... de ce monde pourri !