Voici donc le happy end de cette BD, la guerre est loin derrière certes mais toujours tout prêt dans les mémoires, douleurs, blessures, malgré tout, les enfants recueillis et cachés dans le grand domaine, se retrouvent.
Sylvain, qui s'était épris de Pauline la jeune fille plantureuse qui venait au domaine pour la lessive, est au RDV.
Pauline après avoir subi un drame lors de la libération, n'a plus toute sa tête. Elle a perdu sa mémoire, mais malgré tout, elle a été à son tour recueilli.
Sylvain, Pauline, vont ils se retrouver, se reconnaitre ? A vous de le découvrir dans ce dernier volet de la lettre froissée.
Comme d'habitude, les dessins sont somptueux, colorés, fins, précis, c'est vraiment ce que j'aime chez cet auteur, et bien sûr ses histoires tirées de faits réels.
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Fin du diptyque consacré au Château de Jamoigne.
J'aime beaucoup l'indication 'librement inspiré de faits réels' ça permet tout de même beaucoup de latitudes avec l'histoire.
C'est sympathique à lire même si ce n'est ni très original ni vraiment mémorable.
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La guerre est finie depuis bien des années. Chacun des enfants juifs a tracé sa route. A Jamoigne, dans un collège de jeunes filles une femme, employée comme femme de ménage, est le souffre douleur des enfants. Samuel Dawidowicz reçoit un coup de fil .....
Le récit, commencé dans le premier tome de la "lettre froissée" se termine en beauté...
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Vidéo de Jean-Claude Servais