Shapin développe une analyse serrée de la littérature moraliste de l'Angleterre du XVIIe siècle, en particulier des manuels de bonnes mœurs, complétés par des lettres, journaux, œuvres philosophiques, dramatiques et poétiques, tout texte permettant de constituer un « ensemble de répertoires de ce que l'on considérait comme bon ou mauvais, bienséant ou malséant, dans la conversation mondaine ».
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