Au salon de thé, on se côtoie, on se frôle, on s'éparpille et on revient à soi en une même unité de temps, d'espace et de lieu. L'individuel est le collectif, le rêve épouse la réalité, la chose se fige dans une éternité évanescente, l'évanescence prend des airs d'éternité. Ces poèmes (dont le Poème au Thé de Lu Yu) sont illustrés de superbes peintures et de calligraphies.