Les gentlemen de New York, tome 2 : William

De retour à New York dans les années 1880, le fameux Gilded Age, nous laissons le séduisant Cavanaugh et sa charmante épouse Lizzie, nous nous intéresserons au frère de cette dernière. Si on se rappelle bien, William Sloane se montrait dans le premier tome attaché au niveau social et n'appréciait pas de voir sa soeur se marier avec un homme issu de la classe populaire, un homme certes riche mais avec un passé troubles. Comment Joanna Shupe pourrait parvenir à nous le faire apprécier et revoir peut-être l'avis qu'on a sur lui ?
Au départ, William est tel qu'on l'a laissé. Un homme avec des objectifs de vie tout tracés, il a remis en état sa compagnie des chemins de fer, il veut maintenant se présenter en politique et rien ni personne ne se mettra sur son chemin. Pas même une médium qui pourrait entacher son ascension au pouvoir par le biais de son partenaire de campagne. Il montre une force et une détermination insoupçonnables, elles deviendraient presque séduisantes surtout que la rencontre ne se passe pas sans heurtes avec cette Mme Zolikoff.
C'est plutôt explosif, sans concession, c'est l'occasion de voir deux mondes différents s'entrechoquer. A la différence du tome 1 où les deux protagoniste avait la même richesse, certes issus de mondes différents mais ils évoluaient dans la même sphère. Ici, ce n'est pas le cas, Eva Jones est à l'opposé de William. Et pourtant, ils vont se rencontrer, ils vont lutter mais leur attirance est plus forte.
J'ai préféré de loin le premier tome car je ne suis pas fan des histoires à la Pretty Woman/Cendrillon. Même si ici je trouve que Joanna Shupe est d'une justesse sans faille. Elle a donné à son personnage féminin une intelligence et une réflexion sur la situation qui fait qu'il nous est impossible de ne pas comprendre, ou de ne pas vouloir plus pour elle. Elle ne veut pas être la maitresse d'un homme, elle ne veut pas être redevable ou être sous la coupe d'un homme. Elle est maitresse de son avenir et de rien d'autre. Elle veut un partenaire, un homme qui soit sur un pied d'égalité. Et William que veut-il ? Il est brut de réalité également, il est cash et ne se cache pas sous de faux airs de prince charmant mais son évolution est ce que l'on attend.
Comment deux êtres si différents peuvent-ils avoir un avenir ensemble ? N'est-ce pas juste un tome de sensualité, juste prétexte pour de la passion et rien de plus ? Y-a-t-il une quelconque possibilité de Happy End ? Pour le savoir, il faudra se laisser tenter par ce deuxième tome, j'aime toujours autant les personnages secondaires et le background de New York. Je continue avec plaisir cette saga.

Chronique de Llyza :

De retour à New York dans les années 1880, le fameux Gilded Age, nous laissons le séduisant Cavanaugh et sa charmante épouse Lizzie, nous nous intéresserons au frère de cette dernière. Si on se rappelle bien, William Sloane se montrait dans le premier tome attaché au niveau social et n'appréciait pas de voir sa soeur se marier avec un homme issu de la classe populaire, un homme certes riche mais avec un passé troubles. Comment Joanna Shupe pourrait parvenir à nous le faire apprécier et revoir peut-être l'avis qu'on a sur lui ?

Au départ, William est tel qu'on l'a laissé. Un homme avec des objectifs de vie tout tracés, il a remis en état sa compagnie des chemins de fer, il veut maintenant se présenter en politique et rien ni personne ne se mettra sur son chemin. Pas même une médium qui pourrait entacher son ascension au pouvoir par le biais de son partenaire de campagne. Il montre une force et une détermination insoupçonnables, elles deviendraient presque séduisantes surtout que la rencontre ne se passe pas sans heurtes avec cette Mme Zolikoff.

C'est plutôt explosif, sans concession, c'est l'occasion de voir deux mondes différents s'entrechoquer. A la différence du tome 1 où les deux protagoniste avait la même richesse, certes issus de mondes différents mais ils évoluaient dans la même sphère. Ici, ce n'est pas le cas, Eva Jones est à l'opposé de William. Et pourtant, ils vont se rencontrer, ils vont lutter mais leur attirance est plus forte.

J'ai préféré de loin le premier tome car je ne suis pas fan des histoires à la Pretty Woman/Cendrillon. Même si ici je trouve que Joanna Shupe est d'une justesse sans faille. Elle a donné à son personnage féminin une intelligence et une réflexion sur la situation qui fait qu'il nous est impossible de ne pas comprendre, ou de ne pas vouloir plus pour elle. Elle ne veut pas être la maitresse d'un homme, elle ne veut pas être redevable ou être sous la coupe d'un homme. Elle est maitresse de son avenir et de rien d'autre. Elle veut un partenaire, un homme qui soit sur un pied d'égalité. Et William que veut-il ? Il est brut de réalité également, il est cash et ne se cache pas sous de faux airs de prince charmant mais son évolution est ce qu'on l'attend.

Comment deux êtres si différents peuvent-ils avoir un avenir ensemble ? N'est-ce pas juste un tome de sensualité, juste prétexte pour de la passion et rien de plus ? Y-a-t-il une quelconque possibilité de Happy End ? Pour le savoir, il faudra se laisser tenter par ce deuxième tome, j'aime toujours autant les personnages secondaires et le background de New York. Je continue avec plaisir cette saga.
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