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3,41

sur 129 notes
Un roman policier avec un meurtre rituel, de la magie noire, des légendes nordiques, des vieux manuscrits perdus, l'évocation de procès pour sorcellerie et plusieurs personnages emblématiques, ça vous tente ?
En tout cas, moi, je n'ai pas boudé mon plaisir avec ce roman passionnant de bout en bout.
J'ai tout aimé, l'écriture qui coule à flots comme une rivière islandaise, le style un peu brut comme les habitants de cette terre aride, les recherches dans des vieux grimoires ou au coeur de grottes anciennes, les dialogues souvent drôles et les visites de sites typiques de ce pays.
L'ambiance est très particulière, à l'image de la victime, un étudiant allemand venu suivre des cours en Islande, dont l'autopsie a été le point d'orgue de la carrière du chef de la morgue, je vous laisse le plaisir de découvrir pourquoi !
C'est le tout premier roman que je lis de cet auteur mais surement pas le dernier.

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Parmi la multitude de polars polaires, craquez pour celui de cette Islandaise, star dans son pays, mettant en scène un couple d'enquêteurs fort mal assorti mais irrésistible.
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Ultimes rituels (Þriðja táknið)
Novembre 2005, Reykjavik. Un étudiant allemand, Harald Guntlieb, est retrouvé mort, atrocement mutilé. le jeune homme, étudiant en histoire, faisait un mémoire sur la pratique de la sorcellerie en Islande.
Sa famille, riche et influente, ne se satisfait pas des conclusions de la police islandaise et décide de louer les services de l'avocate islandaise Thora Gudmundsdottir et de l'ancien inspecteur Matthew Reich, un Allemand qui travaille de longue date pour la famille, afin qu'ils poussent l'enquête plus avant.
L'enquête va les introduire dans un milieu très particulier: le jeune Allemand faisait partie d'une confrérie pour le moins sulfureuse et était à la recherche d'un livre datant du 15ème siècle, le "Mallus Malificarum", livre consacré aux sorcières. Une lettre ancienne a été subtilisée dans les archives du département d'Histoire de l'Université. Il s'agit d'une lettre écrite autour de 1500 et adressée à l'évêque de Roskilde qui a été prêtée par le Danemark et doit être rendue prochainement à l'Etat danois, d'où l'émoi du responsable du département d'Histoire.
Ce sera l'occasion pour les enquêteurs, de se pencher sur une page sombre de l'histoire de l'Islande: la chasse aux sorcières du 15 ème et 16ème siècle, phénomène malheureusement étendu sur une grande partie de l'Europe de l'époque, l'Islande s'étant démarquée des autres pays européens par la majorité de victimes hommes, alors que dans le reste de l'Europe, les personnes exécutées étaient plutôt des femmes. Ce phénomène a démarré en même temps que l'avènement de la Réforme qui s'est traduit en Islande par une paupérisation de la population, la richesse passant dans les mains du roi du Danemark.
Ce livre a l'intérêt de mêler la trame policière avec L Histoire.
C'est avec plaisir qu'on fait connaissance de Þóra (Thora), jeune avocate, et de son entourage tant professionnel (notamment Bella, la redoutable secrétaire), que familial. D'ailleurs, en parallèle de l'enquête, elle se débat dans ses problèmes personnels : un divorce, deux enfants dont il faut s'occuper, dont un adolescent qui va lui causer des petits soucis.. On assiste même à des règlements de compte familiaux savoureux

C'est le premier livre de l'auteure islandaise Yrsa Sigurdardottir.
Yrsa Sigurdardóttir est née en 1963, en Islande. Outre son métier de romancière, elle est également ingénieur civil. Elle travaille pour l'un des plus gros projets de construction hydro-électrique d'Europe, situé au beau milieu de l'Islande.
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« une enquête envoutante » - le Magazine littéraire…
Voilà ce qui est marqué sur la quatrième de couverture…

D'accord mais à quel moment exactement ???

Il est évident que je n'ai pas choisi ce bouquin au hasard, j'ai tout bêtement demandé à une libraire que je connaissais pas, de me conseiller un excellent Polar… On discute et je lui fait part de mes envies (pas toutes non plus…) :

Moi j'aime quand ça bouge, j'aime l'action , la baston, le cul, les psychopathes, les rebondissements de ouf… Je suis un fan de « Jack Bauer (24h) et de Lisbeth Sallander (millénium)», j'aime les gueules cassés, la nuit, le vomis et les tueurs en série… Par contre je suis blasé, je veux du coup de coeur sinon rien…

On passe en revue un tas de romans que j'ai déjà lu, puis elle en sélectionne quelques uns et commence à me faire le pitch pour chacun… Dans le lot il y avait « Ultimes rituels » : un polar Islandais qui déchire, un vrai coup de coeur me dit-elle… J'adore l'Islande… Autant vous dire qu‘elle m'avait convaincu…

Sauf que voilà, il s'agit d'une enquête sur fond de sorcellerie et de magie noire, d'une banalité qui frise l'ennui, des personnages finalement trop réalistes, pas un pète d'action, des longueurs, encore des longueurs, beaucoup trop de longueurs… 30 pages avant la fin ça s'arrange un peu sauf que j'avais compris une bonne partie de l'intrigue, pas tout bien évidement, mais assez pour être déçu… Je me croyais devant un énième épisode de Columbo…

En gros méfiez vous des libraires qui ne vous connaisse pas…Mais surtout méfiez vous des libraires qui adorent l'Islande, il y a forcément un truc qui cloche…

Voilà j'ai pas aimé le style, mais je sais que certaines personnes aiment… (Ah les gouts et les couleurs) … Méfiez vous aussi de ces gens là…


A plus les copains
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J'aime beaucoup les polars qui viennent du froid, je leur trouve un côté mystérieux que l'on ne retrouve pas dans les thrillers français, anglais, américains...
Harald a été tué dans l'université où il étudie, c'est un jeune étudiant allemand venu en Islande pour étudier l'histoire mais surtout pour son plaisir personnel, puisqu'il est amateur de sorcellerie, et que l'Islande regorge d'histoire de sorcières.
Son cadavre a été retrouvé atrocement mutilé et alors que les policiers ont arrêté quelqu'un, la famille d'Harald décide de faire appel à Thora, une avocate, car ils ne sont pas du tout convaincu de la culpabilité du suspect, Thora avec l'aide d'un ami de la famille d'Harald va donc mener sa propre enquête.
J'ai aimé les personnages de ce roman, j'ai aimé l'intrigue, j'ai aimé le déroulement de l'enquête, bref, j'ai passé un très agréable moment de lecture et la dernière étoile manquante et peut-être plus due au manque de temps que j'ai eu pour lire ce livre, qui du coup m'a semblé un peu long, plutôt qu'à cause de la qualité de ce livre.
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Quelle déception. Tout était en place pour me plaire : le décor - l'Islande, un meurtre glauque avec des mutilations mystérieuses, une chasse aux sorcières... bref. Au final, un roman de plus en plus ennuyeux et bancal, avec des manuscrits cachés dans des endroits tellement évidents qu'on se demande ce que peuvent bien fabriquer les archéologues islandais depuis le temps (j'ai cru retrouver une bonne vieille chasse au trésor du Club des Cinq), une bande d'amis complètement défoncés qui exaucent sans chicaner les dernières volontés de leur copain mort (même sous l'effet de la drogue, on imagine mal quiconque se livrer à un rituel aussi grandguignolesque), et pour couronner le tout, l'inévitable histoire d'amour entre les enquêteurs (qui commencent par se détester comme de bien entendu). Sans parler de l'héroïne, une avocate dont on ne comprend pas trop comment elle peut mener cette enquête (la législation islandaise doit être d'une souplesse extraordinaire) et qui gère sa vie de famille avec une une insouciance ahurissante. Bref. Moi qui espérait avoir mis la main sur une série de délicieux polars à la sauce islandaise pour mes longues soirées d'hiver... il faudra prospecter plus loin...
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C'est grâce à Babelio que j'ai découvert "Ultimes rituels", et franchement je ne regrette pas mon acquisition. Les polars nordiques ne se valent pas tous, et trop souvent on les pense mornes et gris, comme les terres arides dont ils sont issus. Et bien j'ai été agréablement surprise par l'écriture d'Yrsa Sigurdardottir, très dynamique et avec de l'humour par dessus le marché.

Le pari n'était pourtant pas gagné à la lecture du résumé: c'est bien sombre tout ça... Et l'auteur a réussi à rendre ce livre "vivant", sans mauvais jeu de mots! En même temps, pour moi la promesse était alléchante: on nous promet un thriller, l'Islande et mieux encore: un adepte des piercings et autres modifications corporelles, et de la magie! En gros, on met tout ce que j'aime dans un shaker, on secoue le tout... et ça donne "Ultimes rituels"!!!

Bon, c'est un raisonnement un peu simpliste car bien sûr tous les sujets ne peuvent être traités en profondeur dans un roman, basé avant tout sur une enquête, mais ça reste agréable de se sentir "dans son univers" lors d'une lecture. Sans compter que pour le coup le concept est assez original, ça change des habituelles intrigues politiques (Jussi, si tu m'entends... ^^) Bref, ça sentait bon. J'étais juste un peu inquiète à cause de la police d'écriture relativement grande. Souvent, cette technique cache la vacuité d'un livre en le gonflant artificiellement. Mais ici non.

La psychologie des personnages est bien développée, et ils ont tous une personnalité bien affirmée, parfois mystérieuse (comme la mère d'Harald, ce qui est bien mis à profit dans le livre). J'étais d'abord sceptique face au duo Thora/Matthew, que tout oppose. Mais finalement, ça fonctionne très bien! Tellement bien que ça donne une épaisseur supplémentaire à l'histoire ainsi qu'un peu de légèreté, sans pour autant tomber dans les bons sentiments qui me rebutent tant. le côté "coincé" et l'humour pince-sans-rire de Matthew s'accordent à merveille à l'apparente désinvolture de Thora (qui a pourtant des idées bien arrêtées et pas si larges que ça...)

Le personnage d'Harald est également central car, outre son statut de victime, c'est son histoire et sa personnalité qui construisent le récit. J'ai apprécié trouver des informations réelles et avérées sur la magie, par exemple les nombreuses références au célèbre livre "Malleus Maleficarum", destiné aux Inquisiteurs. Tout en restant relativement en surface du sujet, ça donne de la crédibilité à l'ouvrage. Malgré quelques approximations, ça reste aussi sans aucun doute une source d'enrichissement personnel pour les lecteurs qui ne sont pas familiers de ces thématiques.

Je lis de + en + de livres scandinaves, et une constante inévitable mais un peu gênante qu'on retrouve dans quasiment tous les ouvrages issus de ces contrées, c'est la pléthore de noms de lieux (ou autres noms propres) utilisés. Ceux-ci ne sont pratiquement jamais francisés. C'est très bien pour l'immersion, mais souvent un frein à la lecture. On a du mal à se situer, à savoir qui a dit quoi, on relit plusieurs fois une même phrase... Et le pire, c'est que si ça se trouve la véritable prononciation de ces mots est à mille lieues des sons qu'on imagine! Ca me rappelle quand je lisais Harry Potter, étant petite. Pour moi "Dumbledore" se prononçait "Dimblédore". Je suis tombée de haut quand le 1er film est sorti, car tout un pan de l'imaginaire que je m'étais créé s'écroulait!

Ca pourrait n'être qu'un détail mais pour moi c'est important car tous ces noms propres contribuent à l'élaboration mentale qu'on se fait d'un univers. Et une mauvaise prononciation en rend les fondations bancales. Je me suis donc dit (on peut toujours rêver...) qu'un petit lexique phonétique serait le bienvenue dans ce genre d'ouvrages! Ca ne prendrait qu' 1 ou 2 pages et nous éviterait d'être complètement à côté de la plaque (tout en nous cultivant, alors pourquoi s'en priver?!) A défaut, je pense que je vais chercher ça sur Internet, parce que j'aimerais enfin lire correctement ces noms que je côtoie si souvent! Enfin, je pourrai lire fièrement (p109): "L'appartement d'Harald se situait sur Bergstadastraeti, non loin de Hverfisgata. Depuis qu'elle travaillait sur Skolavordustigur, Thora s'était familiarisée avec le quartier central de Thingholt." Ouf! (Et encore, je vous ai épargné les divers accents, que mon brave clavier AZERTY ne connaît pas...)

Pour revenir au livre, j'ai également apprécié les diverses apparitions des amis d'Harald car, tout en soulevant encore + de questions, ils nous donnent en quelque sorte un os à ronger et matière à réflexion. Sans être extraordinaire, l'enquête est bien menée et j'ai trouvé que c'était une bonne idée de faire enquêter des privés plutôt que la police: ça change, et l'approche est différente. La résolution est bien trouvée quoi qu'un peu confuse, et aurait pu être mieux amenée, + percutante. Là on ne peut pas vraiment parler de feu d'artifice final... Mais l'ensemble du livre reste homogène, atypique et très agréable à lire!
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Tout d'abord un détail : ce livre arrive traduit en France d'après l'anglais et non l'islandais, la langue d'origine. Détail qui a son importance... d'autant que la structure de ce polar est assez calquée sur celle de ses cousins anglo-saxons : ici l'Isande n'est pas un "personnage" (comme dans les romans policiers d'Arnaldur Indridason ou ceux d'Arni Thorarinsson) mais sert juste de décor. L'intrigue reste fortement ancrée dans le roman, l'économie et la société islandaises ne sont pas évoquées. Ici, pas question d'aller se balader dans les coins reculés de l'île glacée : hormis une ou deux brèves escapades pour les besoins de l'enquête, on reste dans la capitale, Rekjavik. Yrsa Sigurdardottir utilise à merveille la technique du page turner (une révélation à la fin d'un chapitre oblige le lecteur à tourner la page, avide de connaître la suite).

Cependant, l'originalité de ce polar est que l'enquête n'est pas menée par un inspecteur de police mais par une avocate, Thora, engagée par la riche famille allemande de la victime. En effet, leur fils Harald, ne peut pas, selon eux, avoir été assassiné par ce petit dealer d'Hugi, ce serait presque trop trivial, au regard de la personnalité à part de ce brillant étudiant en Histoire. "D'après ce qu'il disait, il comptait dans son mémoire comparer l'exécution au bûcher des sorcières en Islande et en Allemagne, sachant que la majorité des sorciers condamnés en Islande étaient des hommes, contrairement à ce qui s'étaient produit en Allemagne." Seulement voilà, il semble qu'Harald ait fait une découverte de taille, à la valeur inestimable...

D'un point de vue historique, on apprend un certain nombre de choses sur l'Islande du XVIe et XVIIe siècles. "L'un des principaux aspects du luthéranisme qui le [Harlad] fascinait était la chute généralisée du niveau de vie en Islande autour de 1550, particulièrement dans les couches les plus pauvres de la population. L'Eglise catholique avait conservé toute sa richesse et son patrimoine en Islande, mais avec la Réforme, tout était passé entre les mains du roi du Danemark, ce qui avait appauvri le pays." Si vous avez oublié ce qu'était le très sérieux Marteau des Sorcières, le livre le plus lu autrefois, avec la Bible, ici vous aurez une piqûre de rappel tout en apprenant que la chasse aux sorcières a été plus tardive en Islande que sur le continent... Thora et son homologue allemand, Mathew, vont devoir s'y plonger pour faire avancer l'enquête. Ils vous entraîneront jusqu'à Holmavik, au musée de la sorcellerie, qui détaille les pratiques et les croyances islandaises sur le sujet au XVIIe siècle. de même vous irez visiter les grottes occupées par des moines irlandais avant la colonisation danoise, d'après la légende...

Hormis ces enquêtes historiques passionnantes, les deux héros devront interroger la bande de copains "destroy" d'Harald, à qui on a envie de filer des claques à longueurs de pages car aussi menteurs que shootés... Les pistes se multiplient, le suspense monte mais la fin est... inattendue !
Une claque finale pour terminer un roman policier qui a su copier avec intelligence le modèle de ses aînés anglo-saxons pour mieux imprimer sa marque. On se laisse prendre au jeu. Un bon moment de lecture avec un Da Vinci Code à la sauce islandaise (sélection 2012 du prix du meilleur polar des lecteurs de Points, d'ailleurs).

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Novembre 2005, le corps d'un brillant étudiant allemand est retrouvé à l'université de Reykjavik, mutilé et énucléé. La police classe vite l'affaire après l'arrestation d'une connaissance de la victime, dealer de drogue à ses heures perdues. Mais la famille n'y croit pas et envoie sur place Matthew, responsable de la sécurité. En Islande, celui-ci va faire équipe avec Thora, avocate et mère célibataire de 2 enfants, un ado et une petite fille.
Tous deux vont remonter les pistes non explorées et se plonger dans les délires du fils prodige. En effet, la victime était diplômé d'histoire et sa thèse portait sur la chasse aux sorcières, passion qui débordait dans son quotidien, ainsi avec son groupe d'amis il se livrait à des pratiques bien peu conventionnelles. Mais pour autant qui aurait eu intérêt à l'assassiner?
Entre sorcellerie, histoire, vices, jalousie ...., l'auteure nous entraine dans une Islande froide et mystérieuse. Les 2 héros sont sympathiques et séduisants et les faits historiques enrichissants.
C'est bien écrit et les chapitres se succèdent aisément. Toutefois, j'ai trouvé l'intrigue un peu touffue à la fois par la richesse des détails mystiques mais aussi par les dénominations à consonance islandaise (qui pour moi se ressemblent tous...).
J'apprécie cette auteure, ses romans un peu atypiques et l'atmosphère noire et glaciale typique de ces romans nordiques mais cet opus m'a un peu moins plu.
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Novembre 2005, Reykjavik. Un jeune allemand, étudiant en histoire, Harald Guntlieb, est retrouvé mort, atrocement mutilé. Sa famille, riche et influente, ne se satisfait pas des conclusions de la police islandaise et décide de louer les services de l'avocate islandaise Thora Gudmundsdottir et de l'ancien inspecteur Matthew Reich, un Allemand qui travaille de longue date pour la famille, afin qu'ils poussent l'enquête plus avant. L'étudiant faisait un mémoire sur la pratique de la sorcellerie en Islande.
Ce n'est pas le roman d'Yrsa Sigurdardottir que je préfère, il y a de longs trajets à travers toute l'Islande (au point qu'une carte aurait été bienvenue même si non indispensable). L'enquête est cependant bien tournée, et l'intervention d'une avocate et d'un privé change la façon dont elle se déroule. le suspens sur l'identité de l'assassin dure jusqu'à la fin, même si on a peu à peu réponse à pas mal d'autres questions. le thème des légendes nordiques et de la magie noire est bien relié au présent puisque notre étudiant en histoire s'intéresse logiquement aux vieux manuscrits disparus et aux procès en sorcellerie. Encore un bon polar nordique même si ce n'est pas le meilleur de l'auteur !
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