Du sang sur la Baltique

Un petit polar sans prétention mais qui fait du bien. J'aime bien cette autrice et cette saga. Je n'en suis pas super fan mais elle fait du bien quand on la lit, un peu comme un Agatha C. Ou un C. Lackberg. Bref, c'est cet effet-là sur moi.

On retrouve les protagonistes (en plus je lis les romans dans le désordre lol) : Thomas et Nora et les collègues de Thomas qui enquêtent sur le meurtre d'un président de club nautique qui est également avocat.

Même si finalement, il ne se passe pas grand chose , le roman se lit vite. Et puis, voilà, j'aime bien Thomas et Nora, j'aime bien Sadham et j'aime bien la série tv tirée de ces romans. :)

Cela dit, ce n'est pas mon préféré :) excepté pour l'histoire de Nora.

Merci à mon copain JF (il se reconnaîtra) de m'avois proposé cette alternative aux polars nordiques glauques et sanglants.

Chapitres courts – suspense – vraie enquête policière – description des moeurs débridées de la haute bourgeoisie – le qu'en-dira-t-on – et j'en passe.

J'avais fort apprécié La Reine de la Baltique, j'ai tout autant aimé celui-ci – pas de surprise, avec un angle d'attaque différent.

Cela fait plaisir !

C'était le premier roman de cet auteur venue du Nord et je n'ai pas été déçue.
Le suspense est présent, les chapitres et leurs orchestration sont courts, la fluidité de la lecture est présente.
Des personnages tous un peu ambigus et ce qui donne le ton à ce roman.
Thomas et Margit ont affaire un tueur en série qui ne prend que pour cible les dirigeants et futurs dirigeants du célèbre club nautique le KSSS.
Est-il question d'argent dans cette histoire? Oui mais seul le dernier chapitre.
Est-il question de jalousie et de pouvoir et de la prise de ce dernier : oui.
Est-il question d'amour et de tromperie : oui.
Avec un tel panel de sujets, ce policier suédois est un petit chef d'oeuvre!
Il ne prend pas en compte que la dimension policière mais l'on vit avec les personnages du roman, leur vie quotidienne et professionnelle.
Un auteur dont le second opus est une réussite.
A suivre...

J'aime beaucoup cette nouvelle série de polars suédois, et le tandem d'enquêteurs formé par Thomas et Nora est fort sympathique.
On est impatients de savoir comment ces personnages vont évoluer.
Les intrigues sont bien ficelées, le cadre de l'île de Sandhamm est à la fois enchanteur et mystérieux, les relations humaines sont bien analysées.
Mais pourquoi avoir intitulé ce deuxième tome du sang sur la Baltique alors que le premier s'appelait La reine de la Baltique?

Lorsque je commence une saga, il est très difficile pour moi ne pas en dévorer d'un coup tous les tomes parus. Et honnêtement, si ça n'était pour ma page FB ("les petites lectures de Flo"), je ne me serais pas gênée, mais je ne voudrais pas que l'on pense qu'elle est uniquement consacrée aux polars suédois…
« du sang sur la Baltique » est donc la suite de « La reine de la Baltique », dont ma critique est disponible ici : https://www.babelio.com/…/Sten-La-…/412244/critiques/1660990.
C'est en recopiant les deux titres que je viens de songer qu'ils ne sont vraiment pas terribles… Mais c'est le cas de beaucoup de polars : les titres sont souvent très plats (Meurtre à ceci, le crime de cela,…) ou un peu nébuleux. Je songe à Camilla Lackberg, qui choisit ses titres en fonction d'histoires parfois secondaires et qui ne font pas toujours sens.
Mais si on omet le titre, le deuxième tome de la saga de Viveca Sten était à la hauteur du premier. Toujours dans la même veine du « polar familial » que j'aime assez. Chaque fois que je retrouve des personnages connus, j'ai l'impression de chausser une confortable paire de pantoufles et ça, ça n'a pas de prix.
En ce qui concerne l'enquête policière, j'ai ragé de ne pas avoir été plus attentive aux pronoms utilisés (ce qui aurait éclairé bien plus rapidement une partie de l'intrigue). Cette fois encore, le pari est réussi : impossible de deviner le meurtrier avant la toute fin. J'ai été emberlificotée dans les secrets de la haute société suédoise : petites et grandes tromperies, argent sale et jalousies, les mobiles possibles de meurtrier étaient nombreux et il était difficile de savoir lequel allait émerger.
Mais pour être honnête je ne suis pas très douée en la matière, je me laisse généralement facilement berner, je ferais une piètre détective…

Un polar suédois comme on les aime. Cela se passe dans un commissariat, dont l'enquête piétine un peu, d'où l'impression de lenteur. On retrouve les 2 personnages principaux de la première enquête Thomas et Nora. L'auteur nous fait vivre cette enquête aux travers de cours chapitre et nous décrit avec précision chaque personnage. Livre très intéressant .

on retrouve dans ce second tome (premier tome : la reine de la Baltique), les personnages principaux dont on s'est déjà attachés.

L'action se passe un an après, un nouveau meurtre bouleverse la vie des habitants de cette île. Cette fois-ci, c'est un richissime avocat.
Les enquêteurs sont sous la pression des médias, il faut agir vite.

Je suis ravie d'avoir retrouvé notre flic Thomas et son amie depuis toujours, Nora.

J'ai trouvé quelques répétitions et longueurs au milieu du livre mais ensuite l'histoire s'accélère.

Cette histoire nous donne envie de découvrir ce pays si différent du notre.

Je trouve que ça change des autres polars scandinaves qui sont plutôt noirs !

Je serai ravie de lire les autres tomes avec mes copinautes.

Blanchiment d'argent, drogue, femmes, affaires crapuleuses… autant dire que les mobiles ne manquaient pas pour en vouloir à la victime, Oscar Juliander, avocat reconnu et président du prestigieux club de voile de Sandhamn, abattu d'une balle en pleine poitrine. Pourtant, dans cette petite île du sud de la Suède, tout le monde semble au-dessus de tout soupçon… C'est donc une véritable enquête sociologique à laquelle se livrent les enquêteurs, Thomas Andreasson, vieux garçon dévoué à ses enquêtes et Nora, sa meilleure amie pour qui l'élucidation de ce crime constitue une échappatoire. Les personnages de Viveca Sten, tourmentés, en proie à une situation de crise (à la fois personnelle et sociale) cherchent désespérément les réponses à leurs incertitudes. 438 pages de questionnement, c'est juste un peu trop long. A noter, bien qu'il s'agisse de la deuxième enquête de Thomas Andreasson, et non pas du tome 2, le rappel assez fréquent en début de roman aux évènements précédents peut aussi sensiblement agacer !!!

J'aime beaucoup les livres policiers scandinaves. Cette série ne fait pas exception à la règle.
Même si cela ressemble beaucoup à la série de Camilla LACKBERG, je lis avec autant de plaisir les aventures de Thomas Andreasson et Nora Linde. de toute façon quelque part les livres policiers se ressemblent quand même souvent, il faut l'avouer.
Ici on se retrouve en présence d'Oscar Juliander, un avocat bien en vue, doué, riche, avec une famille qu'il aime et qui l'aime, en bref tout va bien pour lui! Sauf que le jour de la régate où il devait étaler fièrement son nouveau bateau... le monsieur est abattu alors qu'il allait franchir la ligne de départ en première position! Arrêté en pleine gloire, ou presque.
L'inspecteur Thomas assistait à la scène, car comme beaucoup d'insulaires, il apprécie la mer, les bateaux, les régates. Une atmosphère assez particulière que je ne connais pas, n'habitant pas en bord de mer, mais j'aime m'imprégner de tout cela, et cela est très bien restrancrit par l'auteur, Viveca STEN.
Thomas va mener son enquête, et comme dans le premier tome, son amie d'enfance Nora va l'aider, à sa manière, elle n'est que juriste dans une banque, et non pas policière, mais son métier va bien aider Thomas. Je n'en dirai pas plus sur les ficelles de l'enquête.
Celle-ci est vraiment bien ficelée, et on découvre la face cachée de personnes en apparence parfaites et pour qui tout va bien. Jusqu'au bout on arrive à être surpris! C'est une des forces de ce roman.
En parallèle de l'enquête on en apprend un peu plus sur la vie privée de Thomas, la quarantaine, divorcé de Pernilla, et qui a une aventure avec la fille de son patron, qui a seulement 25 ans. Il se pose donc des questions sur ses désirs et envies.
On suit aussi Nora, qui à la fin du premier tome a hérité de la villa de Signe Brand et ne sait pas quoi en faire: vendre ou ne pas vendre, telle est la question. Question que son mari Henrik ne se pose pas, pour lui c'est du tout cuit: il faut vendre et acheter une maison digne de son métier et statut social. Bref il y a des divergences entre eux...
J'apprécie d'entrer dans la vie privée des personnages, cela les rend vraiment humains et proches de nous, les lecteurs. En même temps on a parfois envie de savoir comment l'enquête avance alors que l'auteur en a décidé autrement et préfère nous décrire une partie du quotidien; il faut savoir être patient!

Mitigée après cette lecture. Sans vraiment m'être ennuyée, je ne suis jamais entrée complètement dans l'enquête. Mon esprit continuait à vagabonder ce qui est un signe qui ne trompe pas. Seule la dernière partie m'a apporté un regain de concentration et d'intérêt.
Un rendez-vous manqué malheureusement.
Merci