86 millions de visionnages intégraux : record absolu de Netflix.
« Une histoire sur les perdants »
« Un peu drôle, un peu triste, un peu doux, un peu amer »
« Ecoutez-moi bien. Je ne suis pas un cheval. Je suis une personne. C'est pourquoi je veux savoir qui vous êtes et comment vous pouvez commettre de telles atrocités. C'est pourquoi je ne pourrais jamais vous pardonner ce que vous faites »
L'enfance pour inspiration…
Des choses horribles en comparaison desquelles on est bien (Phoenix).
Une « horreur acidulée » l'esthétique de
Squid Game choque, dégoûte, émerveille…
Une lecture plaisante. Des photos magnifiques très eye candy. « Une affaire de couleurs »
Le style « Battle Royal » est partout : (Running Man, Hellbound, Smash Bros, …).
« Dieu aime la violence. Sinon pourquoi en aurait-il créé autant? » (dialogue de Shutter Island …).
Platon disait « le coupable veut être puni », le spectateur veut aussi voir le coupable payer, pour se rassurer, comme quoi, ceux et celles qui brisent les lois sociales sont punis et si possible, souffrent.
Ce livre a la bonne idée de citer ses sources. (:
La libération passe désormais par la compassion et non plus la violence.
Oh Ll-nam (le numéro 001) est un acteur fou, je trouve! : )…
Comme dirait Fauve, l'ennui à notre époque est intolérable. Despentes vous assurerait aussi que la drogue vient assommer l'intelligence oisive…
Hélas, un développement tardif superflu et une trop grande profusion de références nuit un peu à l'ouvrage.
Quoi qu'il en soit
Squid Game est créateur de lien social…
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