De nos jours, rares sont ceux, même parmi les Latinistes, à qui le nom de Publilius Syrus est familier. Des mimes qu'écrivit cet ancien esclave dans le courant du Ier siècle av. J.-C. ne subsistent plus aujourd'hui que de brèves formules à valeur proverbiale, que les Romains appelaient sententiae. D’aspect tantôt grave, tantôt humoristique, ces sentences reflètent sans doute assez bien la morale populaire du temps (« Un malade se fait du tort quand il institue son m...
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