Celle qui pleurait sous l'eau

💦💥💦💕💕Coup de 💕 Quel titre et quelle histoire prenante, bouleversante et tellement troublante ‼️ Cet auteur a une plume qui sait toucher notre coeur, même à travers une enquête sur un suicide... Un suicide bien mystérieux d'ailleurs. Il existe toutes sortes de violence et certaines ne sont pas encore bien identifiées, et pourtant, elles sont là, près de nous. J'ai vraiment été prise dans l'étau de ce thriller psychologique qui m'a bouleversée... Un chef-d'oeuvre !!!.

𝓡𝓮𝓼𝓾𝓶𝓮
Une jeune femme est retrouvée morte dans une piscine parisienne. Tout porte à croire qu'elle s'est suicidée et très vite Tomar, le commandant chargé de cette enquête, n'a qu'une envie refermer ce dossier et se consacrer sur l'enquête dont il est le principal sujet.
Mais c'était sans compter son adjointe Rhonda qui elle ne compte pas bâcler cette affaire. Contre toute attente, elle ressent un malaise palpable autour de ce « suicide ». Pourquoi une jeune femme qui semblait si pleine de vie, passionnée et bien dans sa peau aurait mis fin à ses jours ?
Au fil de son enquête parallèle, Rhonda va découvrir le passé de cette jeune femme, Clara. Passé tortueux, dramatique et fait de souffrances…qui aurait pu la mener à se donner la mort. le but de Rhonda sera alors de découvrir coûte que coûte qui l'a poussé sur cette voie jusqu'à cette décision ultime.
𝓜𝓸𝓷 𝓪𝓿𝓲𝓼
Cette ambiance froide et pesante est très addictive dans ce roman. J'ai beaucoup aimé le personnage du commandant Tomar qui est un personnage plein de secrets et de non-dits. Quant à son adjointe c'est une battante, une fouineuse qui ne compte pas laisser impuni la mort de Clara. Quant à cette pauvre victime, on ne peux que découvrir avec horreur et tristesse son passé et son histoire. Histoire qui malheureusement est bien trop présent dans la vie de tous les jours et se répète dans la vie de beaucoup de femmes.

Etant dans une phase compliquée où j'ai du mal à lire je me suis dis que miser sur des romans courts m'aiderait sûrement à me relancer ! J'ai longuement hésité dans le rayon entre plusieurs Niko Tackian mais je me souvenais avoir beaucoup aimé toxique et Fantazmé avec le même personnage donc j'ai pris celui-là. Parce que j'ai du mal à comprendre pourquoi mais je ne l'avais pas encore …

De quoi ça parle ? « SI CLARA N'AVAIT PAS AIMÉ CET HOMME, ELLE SERAIT TOUJOURS EN VIE.
Aujourd'hui, Clara n'est plus qu'un dossier sur le bureau de Tomar Khan. On vient de la retrouver morte, flottant dans le magnifique bassin Art Déco d'une piscine parisienne. le suicide paraît évident.
Tomar est prêt à fermer le dossier, d'autant qu'il est très préoccupé par une enquête qui le concerne et se resserre autour de lui. Mais Rhonda, son adjointe, veut comprendre pourquoi une jeune femme aussi lumineuse et passionnée en est venue à mettre fin à ses jours. Elle sent une présence derrière ce geste.
Pas après pas, Rhonda va remonter jusqu'à la source de la souffrance de Clara. Il lui faudra beaucoup de ténacité – et l'appui de Tomar – pour venir à bout de cette enquête bouleversante.
QUI RENDRA JUSTICE À CELLE QUI PLEURAIT SOUS L'EAU ?»

Nan mais Niko Tackian ! Pourquoi est ce que je n'avais pas encore acheté ce livre ? Ça n'a aucun sens !
Bon j'avoue que j'ai lu les 2 premiers en 2018 et que du coup j'avais peu de souvenirs … Mais je n'ai eu aucun mal à rentrer dans l'histoire ! La plume de Niko est comme dans mon souvenir, hyper addictive ! le livre est court (- de 300 pages) est pourtant il est hyper complet, bien structuré avec des personnages hyper bien développés … Comme quoi c'est possible de faire des super polars en moins de 300 pages !
Quel plaisir de retrouver Tomar et son équipe ! Comme pour les tomes précédents, on a ici plusieurs fils rouges, un suicide suspect qui va être le coeur de l'enquête, les retours sur l'enfance de Tomar et l'enquête dont il fait l'objet ! Oui tout ça dans moins de 300 pages, autant vous dire qu'on ne s'ennuie pas !
J'ai adoré la thématique hyper bien maitrisée sur les hommes toxiques et la manipulation psychologique. L'auteur évoque avec beaucoup de justesse le sujet difficile des violences conjugales, mais aussi de la drogue et des caïds qui en vivent …
Un roman addictif, avec des chapitres très courts et un suspens hyper bien dosé qui ne donne pas envie de le poser ! Je ne comprends pas pourquoi je n'ai plus lu cet auteur depuis si longtemps … On va remédier à ça en tout cas !
Bien que ce livre soit le 3ème opus d'une série je pense que vous pouvez sans soucis le lire seul, mais si vous avez le choix c'est toujours mieux de les lires dans l'ordre. Surtout que là vous n'avez que 2 romans assez courts à rattraper ça se fait bien.
Bref je recommande aux amoureux de polars qui ne connaitraient pas encore cet auteur, foncez c'est de la bombe !
Note 10/10 COUP DE COEUR

Ce troisième tome de la saga "Tomar Khan" est vraiment prenant. Il n'est pas nécessaire d'avoir lu les précédents. le thème principal de ce thriller est la violence faite aux femmes et les pervers, ces hommes que l'on croit bien sous tout rapport et qui changent complètement une fois la porte du domicile fermée. La part sombre des personnages rythme parfaitement ce roman et fait l'objet d'une double enquête.

J'ai dévoré ce livre dans l'après midi et j'ai aimé que l'auteur imbrique des faits réels dans l'histoire.

Tomar Khan, commandant de police, doit traiter le dossier d'une jeune femme retrouvée morte dans une piscine municipale. Tout mène au suicide mais Rhonda, sa coéquipière soupçonne une affaire plus louche.
Entretemps, Tomar est soupçonné d'avoir assassiné un autre policier et est mis à pied par la nouvelle procureur : Ovidie Metzger, qui veut absolument le faire tomber.
Ce n'est pas une enquête banale qui se déroule dans ce roman. On parle de "suicide forcé" et l'auteur s'est très bien documenté (voir les remerciements en fin de livre).
J'ai adoré retrouvé la plume de Niko Tackian - Auteur et cette histoire restera gravé un moment dans ma mémoire.
Je vous le recommande vivement.

Voilà un an que j'attends ce moment ! Un an… Seulement dans mon enthousiasme et ma naïveté, je me suis persuadée que j'allais retrouver Niko Tackian au salon du Livre de Nemours le 12 janvier… Sans vérifier… Qu'il ne s'y trouvait pas… FRUSTRATION ! Un sentiment qui n'a pas sa place dans mon vocabulaire quand il s'agit de tentation littéraire : Je me suis donc précipitée en librairie pour me procurer l'objet tant convoité en dépit de toute préoccupation financière : Mon auteur et mon libraire avant mon banquier ! Me voilà maintenant parée à bouquiner !

Une fois encore l'auteur réussit son périlleux pari et s'empare d'un sujet déjà maintes fois traité tant il est tristement d'actualité, aujourd'hui plus que jamais, pour nous en livrer une intrigue d'une incroyable singularité, à la fois intense, forte et prenante tout en s'avérant particulièrement sensible, touchante et même bouleversante. Loin de faire dans la polémique ou le voyeurisme, l'auteur aborde la question sous un angle différent, plus délicat et plus subtile : L'aspect psychologique, plus abstrait mais dont les dégâts sont parfois bien plus graves et dangereux qu'il n'y paraît… Parce qu'il n'y a pas que les coups qui laissent des traces… Parce qu'un mot peut causer bien des maux, et ce au plus profond de son âme alors même que la preuve du dommage est tellement plus difficile à apporter. Ainsi l'auteur nous offre ici une intrigue particulièrement bien ficelée, bien menée, mais aussi pleine de ces émotions dont on ne sort pas forcément indemne… Parce qu'elles sont encore trop nombreuses à pleurer sous l'eau…
Véritable pilier de cette formidable trilogie, c'est aussi avec un plaisir réel et sincère que j'ai retrouvé Tomar Khan et son équipe. S'il demeure empêtré dans ses propres difficultés et en proie à ses propres démons, Tomar Khan n'en demeure pas moins présent en coulisse pour soutenir Rhonda dans cet émouvant récit. Emouvant oui, comme je l'ai déjà dit à plusieurs reprises, car les émotions nous gagnent ici bien davantage que dans les opus précédents. Sans doute parce qu'on commence à bien connaître ce commandant auquel on s'est attaché au gré de ses enquêtes, qu'on parvient désormais à cerner sa personnalité et notamment son côté borderline, ses forces et ses faiblesses, et qu'on aimerait bien l'aider si seulement on en avait la possibilité. Peut-être aussi parce qu'on ne peut qu'être ému du sort de Clara, victime à laquelle ce titre rend si joliment et si justement hommage.
J'en terminerai en disant que l'intrigue n'aurait pas tant de prestance, les personnages n'auraient pas tant d'épaisseur sans la plume de notre auteur, si visuelle, si efficace et si soignée, cet inimitable style à la fois vif, élégant et dynamique, le tout rythmé par des chapitres courts qui apportent du nerf au récit, tant et si bien qu'on atteint le point final presque frustré : Parce que la lecture est déjà terminée…

En bref, je dois vous confier un secret : Si jusque-là j'ai toujours eu une légère préférence pour les one-shots du Sieur Tackian, cet opus-là – à la fois prenant et poignant – vient de changer la donne !
(Lu en janvier 2020)
Lien : https://deslivresetmoi7.fr/2..

Encore une fois, un réel plaisir à retrouver Tomar Khan, ce flic torturé avec ce roman de Niko Tackian qui se dévore facilement.
C'est rapide, net, le personnage évolue encore et avec son équipe du Bastion ( le nouveau local de l'ancien 36), Tomar et sa coéquipière Rhonda vont être confrontés à la mort de Clara.
En plein coeur d'une piscine parisienne, Clara est retrouvée au milieu du bassin, elle flotte, son corps vidé entièrement de son sang. le suicide est la piste la plus probable, Rhonda se jette à corps perdu dans cette enquête tandis que Tomar lui, est plus distant, étant sous le coup d'une enquête interne... L'apparition d'une nouvelle procureure booste les deux enquêtes d'une manière fulgurante...
Peu à peu, le passé de Clara surgit et l'on découvre la notion de suicide contraint, forcé.
C'est rudement mené par l'auteur, percutant au sens propre et figuré. Il est question de femmes dans ce roman: les battantes, les battues. Même si d'apparence ces deux mots sont aux antipodes, ils sont indissociables: les battues deviennent souvent battantes et c'est d'ailleurs je pense, pourquoi aujourd'hui de plus en plus de voix s'élèvent...
Très belle aventure avec Tomar et un roman poignant, non pas pour rendre hommage mais pour ouvrir les yeux... 😉
Un grand merci à Niko Tackian et aux éditions Calmann Levy.

Le 36 rue du Bastion. Sur les pas du groupe d'enquêteurs de Tomar Khan, nous découvrons ce nouveau "36" plus moderne. Si le chef de groupe est préoccupé par des démêlés personnels, il peut compter sur son équipe et notamment Rhonda pour rendre justice à une nouvelle victime.

C'est nerveux, rapide: l'enquête, ou plutôt les deux enquêtes, se déroulent tambour battant.
Un thème inhérent à plusieurs personnages: les violences, tant physiques que psychiques, faites aux femmes.
Un bon roman donc, ancré dans une triste réalité.

C'est un des livres que j'attendais avec le plus d'impatience en ce début d'année.

C'est un auteur que j'ai découvert il y a à peine un an et depuis chacun de ses thrillers est un vrai plaisir pour tout mes sens de lectrice. Et celui-ci n'échappe pas à la règle…encore mieux ! Je trouve même que l'on monte un cran au-dessus de ce qu'il a pu nous proposer jusqu'à maintenant.

Je vous parle aujourd'hui de Celle qui pleurait sous l'eau de Niko Tackian - Auteur aux éditions Calmann-Lévy Noir.

Je dois bien vous avouer qu'avec ce nouveau thriller, Niko Tackian m'a envoyé un léger uppercut mais bien placé.

La raison principale ?

Le thème qu'il a choisi d'aborder, il le fait avec délicatesse mais de manière percutante. Ainsi il met également en avant trois protagonistes féminins qui vont démontrer au fil des pages leur force de caractère.

Des femmes fortes psychologiquement et/ou physiquement, des femmes qui ont un vécu derrière elles, les menant là où elles se trouvent aujourd'hui. Des femmes qu'on peut admirer, des femmes que l'on côtoie tous les jours sans s'en rendre compte, des femmes qui ont besoin d'aide, des femmes que chacune d'entre nous pourrait incarner pour moultes raisons.

[...]

Une intrigue, ou plutôt des intrigues qui possèdent un côté sombre, tortueux et je dirais même difficile à accepter à certaines occasions. Soyez sûr que vos nerfs vont être mis à rude épreuve et que l'effroi vous prendra à la gorge plus d'une fois.

C'est un peu comme si j'étais une pelote d'émotions que l'auteur s'amuse à modeler à sa guise en me faisant passer d'un sentiment à l'autre en un claquement de doigts.

[...]

Et pour capter l'attention du lecteur, l'auteur use de ce qui fonctionne le mieux : des chapitres courts, des rebondissements juste ce qu'il faut pour toujours mettre en haleine le lecteur. Tout pour ne pas perdre son attention et qu'il reste attentif à ce qui se déroule sous ses yeux. Tout le monde est en perpétuel mouvement, chacun s'investit dans sa mission en donnant la sensation de ne jamais vraiment s'arrêter, d'être toujours sur le qui-vive.

Alors forcément, cet espèce de sentiment d'urgence m'a atteint en me donnant qu'une seule envie... connaître le fin mot de l'histoire. Pour Clara, pour Rhonda, pour Aria et pour Tomar.

En bref,

Avec Celle qui pleurait sous l'eau, Niko Tackian monte un cran au-dessus. Une intrigue qui te prend aux tripes et qui permet un développement plus profond des personnages que l'on suit depuis trois tomes maintenant. Les émotions sont vivement suscitées et vous feront passer par pas mal de sentiments en peu de pages. Comme j'aime le dire, c'est court mais efficace et surtout ça se lit sans faim.

Alors je te conseille à ton tour de plonger dans l'univers de Tomar Khan si ce n'est pas encore fait.
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