Je ne suis pas sûre que Michel Crépu n'exagère pas, pour les besoins de son éblouissant portrait, l'indifférence où l'homme et l'oeuvre seraient tombés. Mais il prend un plaisir fou, et nous avec lui, à déranger les plis dans lesquels on drape souvent le vicomte, avec sa complicité, il est vrai.
En 1941, cette immense écrivaine, pensant devenir folle, va se jeter dans une rivière les poches pleine de pierres. Avant de mourir, elle écrit à son mari une lettre où elle dit prendre la meilleure décision qui soit.