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sur 394 notes
Les Adieux à la Reine sont ceux de la favorite, Gabrielle de Polignac, que la Reine Marie Antoinette aide à s'enfuir hors de France, grâce à un stratagème, en se servant de sa lectrice du moment, cette Agathe-Sidonie Laborde qui est aussi la narratrice.
J'ai beaucoup aimé cette lecture que je viens de terminer. Un bon roman historique sur les premières journées de la Révolution française, vues et racontées par la lectrice royale, en 1810, alors qu'elle s'est réfugiée à Vienne, dans le quartier des émigrés, une fois terminée l'épopée napoléonienne.
Elle raconte les trois premières journées de la Révolution française, à sa façon, comme elle les a vécues, en lectrice très proche de la Reine qu'elle aime et admire mais aussi en tant qu'observatrice très humble, aux côtés de tous ceux qui, à Versailles, étaient logés dans les Communs du château,
Le point de vue est original: si près des Grands, les observant sans cesse, et si modeste cependant, par sa fonction, elle est presque invisible et pourtant au premier plan. Elle aime et défend la Reine, beaucoup moins la famille de Polignac.
Le contraste est saisissant entre les excès, les parures et les beautés de Versailles, en cet été 1789 et les trois jours décrits ici dans le détail, sans aucun ennui: les 14, 15, 16 juillet, avant la grande débandade de tous les habitants logés au Château, ces nobles qui abandonnent, sans scrupules, en un instant, le roi, la reine et leurs enfants qu'ils savent condamnés d'avance et qu'ils ne songent pas un instant à défendre. Ils s'en vont, affolés, désorientés, démunis, comme dans une volière, laissant seuls derrière eux la famille royale.
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Deuxième essai des livres audio! Depuis ma déconvenue avec la femme au miroir, j'avais laissé passé un peu de temps avant de retenter l'expérience.


Cette fois-ci, j'ai eu la main plus heureuse dans mon choix! Ayant apprécié ma lecture du dernier roman de Chantal Thomas, L'échange des princesses, j'ai donc choisi son roman le plus célèbre : Les adieux à la reine.
De plus, j'avais vu il y a plusieurs semaines le film de Benoit Jacob et il m'avait beaucoup plu. J'étais à peu près sûre que le contenu du livre audio allait me plaire.

Donc tous les lundis, j'écoute une heure et demie de ce roman lu à voix haute, tout en brodant. Une heure et demie, ce n'est pas beaucoup, mais j'ai peur d'en avoir assez rapidement si j'en écoute plus. Ce qui fait que j'ai avancé lentement dans ce roman, mais toujours avec plaisir.


On a rarement l'habitude de voir Versailles dans ses dernières heures. Quand on a un roman sur la révolution, l'intrigue a plutôt lieu dans Paris et chez les révolutionnaires. Quand l'intrigue se tient à Versailles, c'est rarement en 1789, mais plutôt à la cour du Roi-Soleil ou celle de Louis XV.
Ici, c'est la révolution française, mais chez les nobles, voir même la haute noblesse, qui réside à Versailles, tout près du couple royal.


Je trouve qu'on ne peut pas réduire ce roman à un simple roman historique. Cela va plus loin que cela. L'intrigue en elle-même est secondaire. Ce que Chantal Thomas voulait nous montrer avec ce premier roman sont les derniers jours de Versailles :

Ce roman est entièrement constitué d'anecdotes, de petits détails, d'histoires…c'est une telle foule de morceaux d'un monde qui a disparu que j'en suis plusieurs fois restée stupéfaite! J'ai eu l'impression d'assister à une reconstitution extrêmement précise de ces dernières heures.


Et c'est passionnant. J'ai toujours aimé connaitre les moindres détails dans les romans, et c'est d'autant plus passionnant qu'on peut partir du principe que tout est vrai. J'ai toujours été très intéressée par la royauté, même si Louis XVI et Marie-Antoinette ne font pas partis de ceux qui m'intéresse vraiment.


Par contre, pour les personnes qui veulent en savoir plus sur Versailles, on se régale! On se rend compte à quel point c'était un monde fermé, replié sur lui-même, qui ne vivait que pour et par le protocole.
Tellement de règles, de lois de manière de savoir-vivre, c'est effrayant! Il n'y a pas une minute qui ne soit programmé pour quelque chose, ou bien une tâche qui n'ait pas de serviteur (quel honneur d'être le responsable de la petite cuillère durant le repas du roi?!?). On découvre un Versailles très différent de celui de Louis XIV, assez sordide et sale et vide d'émotions.


J'ai trouvé que c'était un monde effrayant. Que personne ne vivait réellement. Versailles était une représentation perpétuelle, un spectacle qui ne s'arrêtait jamais et dont le public et les acteurs se trouvaient être les mêmes personnes.


Agathe Sidonie Laborde peut prendre un peu de recul, n'étant pas une "actrice" principale. On ne peut pas dire qu'elle est indispensable à la Cour, loin de là (on voit comment elle est utilisée par la Reine à la fin…). Elle peut donc observer et garder en mémoire. Elle voue un amour sans borne à la Reine et se languit de ce monde disparu.


Je l'ai déjà dit, on voit Versailles à sa chute. C'est assez inhabituel d'observer toute une société durant ces derniers jours.


Ici, les nobles, tellement à cheval sur toutes les règles, perdent en 2 jours tous leurs savoirs pour redevenir des êtres humains qui ont peur et qui spéculent au moindre détail.


Certains optent pour la fuite en silence, d'autres cherchent à se sauver auprès de ses Majestés. Il n'y a plus réellement d'amour pour leurs rois et reines, mais que du calcul. D'abord, ils ne se rendent compte de rien: la révolution, c'est impossible, il s'agit juste de quelques paysans mécontents (il est d'ailleurs amusant de lire comment les nobles voyaient le peuple), la Bastille est imprenable, le Roi régnera toujours…Mais peu à peu, ce chant royaliste commence à se tarir. le Roi abandonne toute résistance face à l'assemblée Nationale, pour le résultat qu'on connait.


Je n'ai pas beaucoup parlé de l'intrigue…je trouve vraiment qu'elle est assez secondaire. Je n'ai pas particulièrement aimé le personnage d'Agathe, que je trouve assez stupide. Cette femme n'a jamais vécu. Elle aurait pu pourtant, mais elle s'est tellement accroché au mode de Versailles et à la Reine qu'elle a passé sa vie à soupirer après, alors qu'elle a eu la chance de pouvoir s'échapper avant que tout ne dégénère.


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C'est un roman très impressionnant (en tout cas quand c'est lu à voix haute!), où on apprend un tas de choses, bien écrit, avec une intrigue intéressante. Il a vraiment tout pour plaire, je le conseille.
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Pour situer le roman : une dame, deuxième lectrice de la Reine Marie-Antoinette, raconte les 14, 15 et 16 juillet 1789 avec elle à Versailles. Les adieux à la Reine est une lecture intéressante, mais pas le chef-d'oeuvre que j'attendais vu les critiques dithyrambiques que j'avais lues à son sujet. Je ne me suis pas sentie emportée par l'histoire, j'ai continué à lire parce que ça m'intéressait, mais pas parce que j'étais passionnée. Petite déception, donc.
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Première rencontre avec Chantal Thomas et c'est plutôt réjouissant. Une jolie histoire où la vraie Histoire est bien utilisée et mise en scène.
En fait j'ai d'abord vu l'adaptation cinéma de Benoit Jacquot et ce fut un vrai régal ! Vraiment très très réussie.
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Malgré la fascination que la reine exerce visiblement sur la narratrice (sa lectrice, qui débute son récit exilée à Vienne en 1810), c'est Versailles, la Cour et ses rituels, bouleversés par les premiers jours de la Révolution, qui sont véritablement le sujet de ce roman.
L'auteur est apparemment une spécialiste du XVIIIe siècle et la description qu'elle fait de Versailles, nauséabond, inconfortable et insalubre, est loin de l'image de beauté, de luxe et de majesté que l'on retient aujourd'hui en visitant la galerie des Glaces. La description de la vie de cour et de la panique qui s'empare progressivement des courtisans dont le monde s'écroule, est elle aussi très documentée.
Mais, outre cet aspect historique, je n'ai pas trouvé beaucoup d'intérêt au roman qui souffre de quelques longueurs.
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J'ai beaucoup aimé ce livre grâce auquel nous sommes immergés en plein coeur de Versailles les quelques jours et heures qui précèdent la prise de la Bastille. Nous vivons la situation de l'intérieur à travers le regard de la lectrice de Marie-Antoinette et constatons ainsi les diverses réactions des "fidèles" de la cour du Roi face à cette révolution. Passionnant roman que celui là car parfaitement riche en faits réels, très bien document le tout dans un style parfait. à lire!!
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Voilà un livre historique qui traite de la période de la Révolution d'un point de vue putôt original.

En effet, ce roman se focalise sur 3 jours essentiels de l'Histoire de France : le 14, 15 et 16 juillet 1789 à la cour versaillaise via le prisme de la lectrice de Marie-Antoinette, Agathe-Sidonie Laborde.

Quelle bonne idée, de nous faire vivre à travers ce personnage principal, les derniers jours et les dernières heures du règne de Louis XVI de l'intérieur.

En tant que lecteur, nous assistons aux craintes, aux peurs des gens de la cour, aux tentatives de fuite de certains, aux bruits, et à la rumeur d'une révolte du peuple.

Comme tout passionné de lecture, le fait de mettre en premier plan la lectrice de la reine m'a motivé encore plus à dévorer ce petit bijou de lecture historique.
Puisque aux détours des pages, il est possible de réviser les principales oeuvres littéraire du 18ème siècle. de se laisser aller à rêver, à ce qu'étaient les différentes bibliothèques du Château de Versailles.

Et surtout, à s'amuser d'une situation qui paraît grotesque pour la plus part des gens, mais qui est compréhensible en tant que "livre -addict", lorsque Agathe-Sidonie, se prépare au pire et envisage de fuir le château de Versailles, celle-ci se pose la question de quels livres emporter au lieu de s'interroger sur les vivres à prévoir pour ce genre de situation.

Ce livre se lit en un rien de temps car l'on se laisse prendre par le récit et l'histoire d' Agathe-Sidonie. Au fil des pages nous devenons impatients de connaître le dénouement de cette histoire et le devenir du personnage principal.

Un livre à lire sans hésiter!

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Il a fallu d'abord me débarrasser du souvenir du film, que je n'avais pas apprécié. En lisant les premières pages de cette oeuvre, je comprends mieux pourquoi : les différences sont énormes. Dans le film, l'héroïne est une toute jeune fille qui découvre la cour, permettant ainsi d'être touchante par son dénouement et sa naïveté. Ici, Agathe est lectrice depuis une dizaine d'années. Elle connaît parfaitement la cour, ses rouages, son étiquette, elle maîtrise sur le bout des doigts les cérémonies, du petit lever au grand coucher. En un mot, elle est une aristocrate, élevée avec les principes de son Etat, qui ne lui viendrait pas à l'instant à l'idée de remettre en cause – même si les enfants des nobles pauvres doivent mourir de faim et de froid, puisque leurs parents ne peuvent travailler.
Au final, nous saurons peu de choses sur ses trois journées de la Révolution, même vu par ce prisme « du dedans ». Agathe est témoin, sans qu'elle sache réellement de quoi. Elle est extraordinairement passive, passant de son rôle de lectrice à celle de l'exilée à Vienne, rattachée à une maison (Polignac), puis à l'autre (Ligne) sans qu'elle choisisse quoi que ce soit, pas même de partir de France (le film est plus explicite à ce sujet).
Certains moments sont cependant fort émouvants – comme le dénouement. D'autres permettent de cerne une personnalité, une problématique, comme la mort du frère aîné de Louis XVI, celui qui aurait dû être roi à sa place. Les descriptions sont richement organisées, peut-être un peu trop. Au final, ce roman m'a donné envie – ce que j'ai fait – de faire des recherches sur les personnages historiques qui parcourent ce livre. Je regrette tout de même qu'il n'en raconte pas assez sur l'intimité de la reine et sur ses « adieux ».
Lien : http://deslivresetsharon.wor..
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Premier roman de Chantal Thomas, par ailleurs auteur d'essais sur Sade, Casanova ou Thomas Bernhard, Les Adieux à la Reine séduit avant tout par sa capacité à restituer l'ambiance de Versailles au cours de ces quelques journées charnières du mois de juillet 1789, qui sonnèrent le glas de la Monarchie Absolue. le personnage de Marie-Antoinette n'est pas du tout au centre du roman, comme le titre pourrait le laisser penser, et les souvenirs de la liseuse évoquent surtout les charmes et les contraintes de la vie à la Cour, dans l'univers clos du château et de son vaste parc : nous suivons Agathe-Sidonie lors de ses promenades dans les jardins, et visitons avec elle la ménagerie, le Hameau de la Reine ou encore le Petit Trianon, croisant par la même une foule de personnages aux attributions clairement définies. Les descriptions sont très détaillées et admirablement réalistes, et nous invitent à ressentir les émotions de la narratrice.

"Même par temps maussade, le ciel de Versailles s'éclaire en fin de journée et c'est, à chaque fois, d'une beauté qui bouleverse. Je l'ai constaté encore ce soir là." (page 50)

Nous prenons connaissance des rites qui accompagnaient les journées du Roi et de la Reine, suivis du lever au coucher par une cohorte de courtisans et d'officiels, et pénétrons dans l'intimité de Marie-Antoinette et de son entourage. La narratrice évoque avec beaucoup de délicatesse les moments passés en compagnie de cette dernière, et son témoignage est sublimé par l'amour et la fascination qu'elle voue à cette souveraine solitaire et mal intégrée.

"Distraitement, elle a enlevé son bonnet de dentelle. Ses cheveux, flous, très blonds, se sont répandus en nuage sur l'oreiller, tandis qu'une puissante odeur de jasmin envahissait la pièce. Une de ses épaules s'est dénudée. Je restais immobile, subjuguée... Je ne pouvais me décider à partir. Je ne sais pas ce que voulait la Reine, mais je voulais toujours davantage." (page 37)

Plus surprenants sont les passages évoquant la puanteur d'un Versailles rongé par les odeurs nauséabondes et les miasmes. On est loin de l'image idyllique renvoyée par la sublime architecture des lieux ! La vie à la Cour semble en réalité bien peu attrayante et pleine de désagréments. Et pourtant, vivre dans le Château était alors le privilège ultime, celui auquel tous aspiraient, quels qu'en soient les inconvénients.


La lectrice assiste impuissante à l'effondrement subit d'un univers dont l'harmonie lui semblait pourtant immuable, ce qui parait effectivement douloureusement absurde et inimaginable. La Bastille tombe. Rien n'a changé, et tout est pourtant différent. Louis XVI, Roi par "accident", pas du tout intéressé par le pouvoir, et Marie-Antoinette, l'étrangère, planant à mille lieues des préoccupations de son peuple, forment un couple royal en complet décalage avec l'agitation qui les entoure. Ils sont dès lors condamnés à subir avec dignité le tumulte de l'Histoire en marche.

"Je l'ai appris depuis. La foule acclame ou insulte n'importe qui, n'importe quoi. L'objet ne compte pas. La foule s'excite de se sentir une foule. Son délire monte à la proportion de ce bizarre phénomène de conscience de soi ou de conscience sans soi. "Je ne suis personne", dit la foule. Multipliée par des milliers, cette nullité est irrésistible. Et je m'y livrais, le temps d'une bouffée d'émotion, compréhensible puisqu'il me semblait entendre, avoir à portée de mes sens, la preuve tangible de l'amour du peuple pour son Roi. Et je l'avais cette preuve, mais j'ignorais alors qu'il pût exister un peuple aussi versatile, aussi rapide à passer des larmes d'attendrissement à l'appel au meurtre que le peuple français..." (page 66)


Agathe-Sidonie Laborde erre désormais dans Versailles, où les derniers vestiges d'une aristocratie en déroute se préparent à la fuite inéluctable. Les nouvelles de la prise de la Bastille parviennent peu à peu au château, et la Cour ne prend pas tout de suite la mesure de la gravité des événements. L'inquiétude monte progressivement, et c'est finalement une peur panique qui s'empare de Versailles, où les langues du petit personnel se délient avec insolence. Choquée, la lectrice surprend une conversation entre deux huissiers de porte qui se moquent avec outrecuidance du si respectable Duc de Richelieu.

"Ils ont eu tous les deux un fou rire. Celui sur la statue s'est laissé glisser de son perchoir. L'autre se roulait de rire. je les observais comme on observe des monstres. Quelles métamorphoses étaient en train de s'emparer de ce lieu et de ceux qu'il abritait ? Ces deux-là qui, auparavant se tenaient muets et raides comme des piquets dans leur habit de drap et n'étaient pas plus vivants que les portes qu'ils gardaient, les voilà qui jactaient de toute la force de leurs poumons, et gesticulaient sur le sol ; ils se pressaient les côtes, gémissaient que ça leur faisaient mal de rire autant, mais l'un des deux répétait "il en peut plus de corriger" et leurs hennissements reprenaient..." (page 126)

Mais où va le monde ???

La reconstitution est minutieuse, et il est passionnant de découvrir la Révolution Française du point de vue de la Cour, quand on nous la présente souvent de celui du Tiers-Etat. La prise de la Bastille est d'abord une simple rumeur, et donne lieu aux suppositions les plus extravagantes, avant que les conséquences de cet événement fondateur ne s'imposent d'elles-mêmes dans l'esprit de tous.

La plume de l'auteur est superbe, et l'on se délecte de ces phrases magnifiques qui parsèment l'ouvrage, évoquant un monde voué à disparaître. N'oublions pas que tout est vu à travers les yeux de la lectrice, dont le regard est forcément nostalgique et sensible à la beauté des lieux où elle vécut pendant plusieurs années une existence heureuse, bercée par la routine du quotidien. La quiétude initiale est vite remplacée par un sentiment d'urgence, et l'on tremble avec Agathe, contrainte d'abandonner la Reine pour s'enfuir avec les Polignac.

Il m'a fallu un peu de temps pour rentrer dans l'histoire (les parties se déroulant à Vienne en 1810 sont me semble-t-il moins réussies), mais je suis ressortie ravie de cette lecture captivante, quoique pas forcément facile d'accès. Ce n'est pas un roman historique traditionnel, dans le sens où il s'agit avant tout du témoignage d'une femme, qui nous livre ses impressions et le fruit de ses réflexions. Certains lecteurs risquent de le trouver un peu long, car trop descriptif. Ce ne fut pas mon cas, et je le recommande sans réserve !


Un excellent roman. Lumineux et captivant !
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Roman historique agréable, l'idée de mettre en scène les ressentis de la lectrice de Marie Antoinette fait vivre l'histoire à l'intérieur de Versailles, comme si nous y étions...
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