Après « au diable les écrivains heureux », laurent d’Ursel récidive. Il commet un nouveau bibliocide portant cette fois le nom de « à dire vrai j’abandonne » qui finit son projet de recyclage de livres en titreries.
L’acte qu’il pose dans ce livre est expiatoire voire propriatoire. C’est une décompensation face au caractère sacré du livre. Comme « on tue le père » ou comme on brise les idoles, il rompt avec toute la tradition et tout l’enseignement qu... >Voir plus