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sur 5564 notes
Ferdinand, c'est ce voisin que l'on n'aimerait pas avoir. Bourru, à tendance méchante, il doit un jour faire des efforts sous peine de finir en maison de retraite. Non mais quelle idée, c'est pour les vieux grabataires ça ! C'est là que commence, même recommence, sa vie.

Aurélie Valognes nous emmène à travers ce premier roman chez le troisième âge. Elle réussit à nous rendre sympathique et attachant un Ferdinand que l'on détesterait tous. Est-ce pour nous donner de l'espoir face à ces personnes âgées acariâtres ou est-ce du vécu ? Je devrais lui présenter mon grand-père et voir comme elle l'écrit ! Cette comédie est vraiment fraîche, j'avais d'abord lu son second roman et j'avais été un peu déçue, celui-ci par contre m'a vraiment plu. J'avais l'impression que les situations comiques étaient des amorces à plus drôle encore mais que cela n'arrivait jamais, je restais sur ma faim. Ici, tout est fluide et coule de source (enfin, les personnages ont des idées barrées, je parle simplement des péripéties!).
Si vous cherchez une lecture légère, sans prise de tête, vous pouvez sans soucis vous tourner vers Mémé dans les orties. C'est simple, avec un trait d'humour et d'attendrissement, le livre remplit son job en nous insufflant même, en plus, une petite dose d'espoir concernant les gens. Qui sait, un jour, même lointain, deviendront-ils meilleurs !
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📖 Ferdinand est un octogénaire que l'on peut qualifier de râleur! Il a du mal à s'intégrer et à s'entendre avec les habitants de son immeuble. C'est peu dire, les prises de bec avec la gardienne sont récurrents ! le seul être qu'il respecte et qu'il aime est son chien. Sa fille et son petit-fils sont à l'autre bout du monde. Un beau jour, son chien disparaît, sa fille se sent obliger de demander à la gardienne de le surveiller dans ses faits et gestes. C'est le début du cauchemar pour Ferdinand. La providence mettra sur sa route une voisine qu'il ne soupçonnait pas et une petite fille attachante.

✒ Je découvre Aurélie Valognes avec ce roman. J'ai eu beaucoup de mal à trouver un intérêt à cette lecture, peu distrayante et sans réel fond. Je ne pense pas que cette autrice corresponde à mes attentes de lectrice. J'ai trouvé l'histoire assez plate malgré la volonté de rebondissements et le happy end très attendu.

👎il y a sans aucun doute des disparités au sein du style feelgood. (Comme dans tous les genres) je lui préfère nettement un auteur comme Julien Sandrel qui distille avec habilité les émotions au cours de ses récits bien mieux construits.
C'est donc un flop pour ma part mais qui aura eu l'avantage de connaître enfin cette autrice que je ne relirai sans doute pas.
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Monsieur Ferdinand Brun est un vieil homme grincheux, un tantinet acariâtre, qui n'a d'affection que pour sa chienne Daisy. Lorsque cette dernière disparaît, Ferdinand n'a plus aucune raison de vivre et décide de « lâcher prise ». Sa fille, inquiète, souhaite le placer en maison de retraite. Il dispose toutefois d'un court délai pour prouver à celle-ci qu'il peut se montrer sociable et attentif à son bien-être.
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Bien entendu, la trame de l'histoire est un classique du genre, et le lecteur imagine sans peine la façon dont va évoluer le personnage. Pour autant, l'histoire est drôle, émouvante et les habitants de l'immeuble sympathiques.
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Ma chronique complète est sur le blog.
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Une lecture fraiche, drôle mais également triste et touchante. Une histoire sur la solitude des personnes âgées au travers du portrait d'un homme, Ferdinand, octogénaire, solitaire, bougon, acariâtre mais pas que... C'est quand on part à l'aventure dans sa résidence et au fil des mots que l'on découvre de l'ingéniosité, un roman vivant espiègle et complètement décalé mais qui amène un vrai moment de plaisir.
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Voilà un livre qui donne de l'espoir... oui, de l'espoir à tous les écrivaillons qui ont ainsi la preuve qu'ils ne sont pas à l'abri d'avoir du succès.
Parce que bon là, soyons honnête, sous couvert de nous offrir un livre feel-good, l'auteure nous donne un récit sans réel style, peuplé de personnages superficiels, sans saveurs, sans profondeur vivant des aventures toutes plus invraisemblables les unes que les autres...
Je voulais essayer vu le succès rencontré... si j'aurais su, j'aurais pas lu...
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Très belle histoire qui m'a surprise à plusieurs reprises tant les similitudes avec mon grand-père sont troublantes...
Mis à part ça, c'est une jolie lecture, bien écrite, que l'auteure avait publiée en auto-édition.
Ni trop courte ni trop longue, je suis bien entrée dans l'histoire et suis passée par les émotions que les protagonistes pouvaient ressentir, et je lui aurait bien cassé une patte aussi à cette concierge!
Bref, je vais suivre de plus près cette auteur qu'est Aurélie Valognes
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Une belle histoire plein d'humour mais aussi de sentiments ! Lecture très agréable, qui nous transporte dans l'univers d'une personne âgée et les problèmes qui peuvent les toucher.
C'est un roman qui nous redonne du punch, car à tout âge, une belle aventure peut nous attendre quoi qu'il en soit.
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(attention cette critique dévoile des éléments de l'intrigue : spoilers!)
conclusion de ma lecture : Mouais, bof !
j'aime bien les jolies histoires, parfois cousues de fils blancs. mais là, ça n'a pas fonctionné. j'ai ri parfois, mais j'ai aussi parfois tourné quelques pages en arrière en me disant que j'avais du rater quelque chose quand on passe d'un chapitre à l'autre (des ellipses ?). le héros m'a fait pensé à Tatie Danielle, mais je trouve sa conversion à la gentillesse plus ou moins malgré lui vraiment peu crédible en tout cas pas cohérente, tout comme l'enchaînement des faits : l'intrusion de Juliette, la concierge qui est la mère du commissaire qui est le père du caïd du quartier, le coup du chien mis en garde et le véto qui file un cadavre de substitution, le papy prêt à partir (ah un ours comme lui anti-voyage et radin avait un passeport et est soudain prêt à partir en se découvrant une fibre familiale ?) et finalement la famille qui revient etc. bref, pour moi pas de cohérence, ça grince ...
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Ferdinand Brun, octogénaire râleur, aigri, et de mauvaise foi attend la "fin" en passant son temps à ne rien faire d'autre qu'emmerder son voisinage.
Et surtout Mme Suarez, la concierge, qui le lui rend bien.
Jusqu'au jour où les choses se gâtent, Ferdinand va, bien malgré lui, se prendre d'affection pour une fillette et une nonagénaire qui le poussent au changement.

Un roman rafraichissant de bonne humeur, léger avec des personnages attachants.
Ferdinand nous fait rire et sourire par sa mauvaise foi et son coté bougon et nous fait obligatoirement penser à un grand-père, un oncle qui refuse d'avancer en pensant que le monde entier est né pour l'emmerder.
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Finalement ça passe ! Après n avoir pris que peu de plaisir avec " en voiture Simone ", j apprehendais celui ci ... Je me suis ennuyée sur presque 80 pages donc un bon moment quand même, avec parfois des chapitres entiers de descriptions de personnages... Je n ai pas accroché au papi Ferdinand , parfois bien trop méchant et égoïste qui fait sa B.A à plus de 80 ans ...
Puis ,petit à petit, il se passe des choses dans cet immeuble et on trouve même quelques moments de plaisir et petites blagounettes !
Mais alors second roman de l auteur et je ne comprends toujours pas les titres qui n ont aucun rapport avec l histoire ...
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