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sur 5483 notes
Dans ma démarche de m'essayer régulièrement aux genres qui me sont étrangers, (entendez feel-good) j'ai décidé de tester Aurélie Valognes. Une des autrice parmi les plus connus du genre, un des phénomène de ces dernières années, mais dont je ne connaissais rien si ce n'est les couvertures bariolées de ses livres.
J'ai choisi Mémé dans les orties parfaitement au hasard, et je dois dire qu'il me laisse une sensation, comme chaque fois, plutôt mitigée.
il y a Ferdinand le personnage principal, avec qui j'ai eu beaucoup de mal. On nous laisse penser qu'il est aigri et renfermé parce qu'il est vieux, mais finalement on se rend vote compte que ce n'est pas la vieillesse qui l'a rendu comme ça mais qu'il l'était dès sa jeunesse avec son épouse et sa fille qu'il a traitées avec très peu d'égards. J'ai trouvé ça rédhibitoire, c'est un homme antipathique auquel on ne peut pas s'attacher. Par contre j'ai beaucoup apprécié les personnages de Juliette et de Béatrice.
J'ai trouvé agréable la douceur, voire le charme qui se dégage de ce livre, j'ai apprécié les thèmes abordés que sont la vieillesse et la solitude, traité avec un certain humour et de la légèreté. Et globalement c'est un livre qui, style oblige, se lit vite et qui est relativement entraînant.
Cependant j'y ai retrouvé les bémols inhérents au genre : des moments passés sous silence ou expédiés trop rapidement, une histoire peu développée, et des personnages malheureusement trop peu creusés, et c'est très dommage car j'aurais aimé pour certains les connaître davantage et qui aurait apporté au livre la profondeur manquante.
Tout ceci me laisse donc un arrière gout de déception... Une lecture qui ne me marquera pas, assez décevante, mais une lecture sympathique tout de même.
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C'est un livre simple, qui se lit facilement. J'ai eu dû mal à rentrer dans l'histoire pendant les 100 premières pages, mais ensuite je me suis prise au jeu ! le personnage de Juliette est vraiment attachant et Ferdinand aussi je dois bien l'avouer. Mais il manque quelque chose à ce livre pour être vraiment passionnant, c'est un peu plat... Les sentiments y sont, seulement pas de façon très recherchés tout comme les personnages d'ailleurs. Je trouve que l'histoire reste en surface même si cela reste une lecture agréable, elle ne pousse pas vraiment à la réflexion. En résumé c'est une bonne lecture sans prise de tête si on à besoin de s'évader sans trop réfléchir.
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Ces derniers temps, j'ai plutôt envie et besoin de lecture plus "légère" qu'à l'accoutumée et une amie m'a offert ce "Mémé dans les orties". Ça tombait très bien !
Bon, je vous le dis tout de suite, ce n'est pas de la grande littérature et les ficelles sont un peu grosses, on voit très vite où l'auteure veut nous emmener. Mais ce n'est pas grave, ce livre fait le "job" comme on dit : on passe un très joli moment de lecture détente. Une histoire avec de bons sentiments et, sans dévoiler la fin, une "happy end" à la clé. Ça fait du bien de temps en temps. Les personnages sont sympathiques malgré pour certains, leurs très mauvais caractères. L'auteure nous les décrit avec beaucoup de tendresse et ma foi, on finit même par aimer ce bougon et irascible Ferdinand.
Voilà je n'en dirai pas plus. Un petit livre détente qui peut changer les idées.

Lien : https://mapassionleslivres.w..
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Mémé dans les orties, c'est l'histoire d'un vieil homme misanthrope qui va peu à peu apprendre à côtoyer ses congénères.

J'ai pour ma part trouvé les personnages caricaturaux et creux, comme l'intrigue, le style laborieux et le vocabulaire assez pauvre.

Ferdinand Brun apparaît au début comme un mesquin vieillard aigri, et à la fin, plutôt comme un inadapté social. Alors cela aurait pu marcher si cette opinion de méchanceté nous avait été suggérée par ses comportements : à la fin, on se serait dit :"mais bien sûr, je me suis fait avoir par les apparences !"
Mais non, là, on a accès à ses pensées, et il est franchement méchant au début. du coup, j'ai eu la sensation d'un manque de cohérence, que j'ai aussi ressenti avec tous les personnages du livre, que ce soit la petite Juliette, Mme Claudel, Mme Suarez ou Marion.

Aurélie Valognes a auto-édité son roman avec le soutien collaboratif de ses lecteurs, si j'ai bien suivi l'histoire. Je pense que si elle avait été repérée par une maison d'édition, et coachée pour la réécriture, elle aurait pu faire un très très bon roman avec Mémé dans les orties.

Bref, je n'ai pas apprécié cette lecture, mais je pense sincèrement qu'il y a du potentiel dans cet auteur.
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Gilbert Collard sur France 5 a qualifié ce roman d'absolument fabuleux ! Je suis entièrement d'accord.
Ferdinand, octogénaire aigri vit seul avec son chien dans une petite résidence où la majorité des habitants sont des femmes qu'il essaie d'éviter et avec lesquelles il se montre désagréable. La pire d'entre elles est la concierge, Madame Suarez, qui impose ses règles et n'hésite pas à réprimander ceux qui y dérogent. Ferdinand aime la contrarier. Il va faire la connaissance de Juliette, élève de CM2, fille de son voisin du dessus, qui s'invite à déjeuner contre son gré, il s'attache à la fillette. La petite fille lui présentera Béatrice Claudel, nonagénaire, sa dynamique voisine de palier. Petit à petit Ferdinand s'adoucit et devient plus vivable…………
J'ai beaucoup aimé ce livre à la fois touchant, amusant, vivant, je me suis imaginée les personnages, leur environnement et me suis même dit qu'il ferait un très bon film.
Pour son premier roman, l'auteure fait preuve d'une écriture sûre, c'est un plaisir de la lire. Elle m'a amusée car elle baptise ses chapitres avec des locutions telles que : L'hôpital qui se moque de la charité ; jeux de mains, jeux de vilains, être dans de beaux draps etc……
Je le conseille à tous ceux qui aiment se divertir, c'est une belle comédie.
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J'ai passé un bon moment avec ce livre, j'ai ri, j'ai pleuré. Je l'ai surtout acheté parce que Gérard Collard en a parlé (je ne loupe jamais son intervention dans le magazine de la santé) et c'est pour moi une référence. Sur le livre que j'ai acheté il y avait un petit bandeau avec l'appréciation de Gérard "Absolument fabuleux". Merci Gérard pour cette petite perle.
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Je ne peux pas dire que j'ai été vraiment emballée par ce livre.

Je l'ai commencé en cherchant une lecture légère, rapide et facile, sortant d'une lecture émouvante et ne me sentant pas disponible tout de suite pour une autre lecture prenante.
Aux premières pages, je me suis dit "bingo", ça correspondait à ce que je recherchais. Et puis mon enthousiasme est un peu retombé, et ce petit livre m'a finalement semblé un peu long.

Dans ce que je lui reproche principalement, il y a un manque de crédibilité des différents personnages principaux.
Il y a Juliette, la gamine précoce, auquel je n'ai absolument pas réussi à croire. Tous les autres personnages s'expriment avec naturel, avec un vocabulaire et une intonation qui leurs sont propres. Elle, elle semble s'exprimer avec la voix de l'auteure, une voix un peu générique, je n'ai absolument pas ressenti une fillette de 10 ans, même surdouée.
Le personnage de la concierge, Mme Suarez, m'a aussi laissée perplexe. Je ne m'attendais pas à cette évolution de ce côté-là, et je me suis un peu demandé ce qu'elle apportait finalement à cette histoire.
Enfin, et c'est peut-être le plus gênant, il y a le personnage principal, le fameux Ferdinand. Je l'ai trouvé attachant, mais j'ai trouvé son évolution de "vieillard aigri" vers "grand-père affectueux" un peu trop facile, on nous présente un bonhomme qui aurait été grincheux et désagréable toute sa vie, mais il commence son changement pratiquement dès les premières pages où nous faisons sa connaissance. On a à peine le temps d'assimiler son caractère désagréable soi-disant profondément ancré, et les quelques éléments qui l'amènent à sortir de sa coquille paraissent si légers qu'on a peine à croire qu'il n'ait rien croisé sur sa route jusque-là qui ait pu provoquer ce changement, puisqu'il a l'air de se dérouler si facilement.

C'est drôle, mais pas hilarant non plus, c'est léger mais ça traine un peu en longueur quand même, c'est feel good mais ça manque de profondeur. C'était pas désagréable, mais ça ne me laissera pas un souvenir impérissable.
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Sacré Ferdinand… Une version masculine de Tatie Danièle, en moins pire. Mais tout de même. Une sorte de caricature du vieux au sale caractère et à l'hygiène douteuse. Après le décès de sa chienne, cela devient encore pire. Suite aux plaintes de ses voisins d'immeuble, la fille de Ferdinand qui vit à l'autre bout du monde songe sérieusement à le placer dans une maison de repos s'il ne se montre pas plus responsable. Mais au fil des pages, on se rend compte que, tout bien considéré, Ferdinand n'est sans doute pas le plus insupportable des occupants de l'immeuble ! Aurélie Valognes, dans ce premier roman, nous dresse le portrait d'un microcosme et essaye de nous faire croire à des rencontres aussi belles qu'improbables. Mais c'est un roman, alors on se laisse faire.
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Avec ce livre, je sortais carrément de ma zone de confort, mais il traînait chez une amie qui me l'a vanté, alors je me suis dit, pourquoi pas.
Ferdinand Brun est atypique. le genre de vieux monsieur qui boude la vie et s'ennuie à (ne pas) mourir. Tel un parasite, il occupe ses journées en planifiant les pires coups possibles qui pourraient nuire et agacer son voisinage. Il suffit d'un noeud qui se relâche et laisse partir son seul compagnon de vie, Daisy sa chienne, pour que tout s'écroule.
Quand Juliette, une fillette de dix ans, et Béatrice, la plus geek des grands-mères, forcent littéralement sa porte pour entrer dans sa vie, Ferdinand va être contraint de se métamorphoser et de sortir de sa chrysalide, découvrant qu'il n'est jamais trop tard pour commencer à vivre…
Je ne vais pas raconter le livre, des centaines de chroniques le font déjà.
J'ajouterai donc juste qu'à ma grande surprise, j'ai passé un très bon moment.
Bien entendu, ça n'a rien à voir avec l'humour caustique ou noir tel que je l'apprécie, "faut pas pousser mémé dans les orties" non plus, hein, mais une fois de temps en temps, ça ne fait pas de mal.
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Rafraîchissant ! Les personnages sont très attachants (bon, sauf Madame Suarez qui est la plus grosse mégère de tous les temps, disons le !) et l'histoire est touchante. C'est un joli livre feelgood à lire sans prise de tête. Mais pourtant... je n'ai pas accroché. L'écriture est fluide, je n'ai rien eu à redire à ce sujet, mais... je me suis ennuyée. Simplement, soit le sujet ne m'a pas convaincue, soit, ce genre littéraire n'est pas le mien.
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