Mémé dans les orties

Pas moyen d'accrocher à ce roman feel good. Peut-être que je sature des histoires bon enfant sur les petits vieux qu'on vient sauver ou bien est-ce ce bon Ove que j'avais envie de retrouver....

"Ferdinand Brun, 83 ans, solitaire, bougon, acariâtre – certains diraient : seul, aigri, méchant –, s'ennuie à ne pas mourir. Son unique passe-temps ? Éviter une armada de voisines aux cheveux couleur pêche, lavande ou abricot. Son plus grand plaisir ? Rendre chèvre la concierge, Mme Suarez, qui joue les petits chefs dans la résidence".
Ces quelques lignes donnent aux lecteurs le ton de ce livre... c'est elles qui m'ont donné envie de découvrir cette histoire et je ne suis pas déçue, je dirais même que je suis conquise.
L'auteur nous décrit avec beaucoup d'humour, et heureusement, la vie de ce "cliché" du vieux papi, bougon, solitaire, aigri et insociable.
Mais au fond, quand on apprend à connaitre ce fameux Ferdinand, on se rend compte que les apparences peuvent être trompeuses et qu'il se cache, quand on veut bien le voir, un homme touchant seulement éprouvé par les frasques de la vie.
Je ne sais pas si on peut classer ce livre dans les "feel good" mais pourtant c'est ce qu'il ma fait ressentir donc merci pour ce petit moment de bonheur!

Cela faisait déjà un moment que je voulais lire ce livre, tellement les avis que j'en avais lu étaient bons. Alors quand un client du restaurant avec qui je parles lecture tout le week-end m'a proposé de me le prêter, je n'ai pas hésité. Et je peux déjà vous dire que je ne regrette pas.

Mémé dans les orties c'est l'histoire de Ferdinand, un vieux monsieur de 83 ans, solitaire, bourru et acariâtre qui vit dans une résidence. Il passe son temps à éviter ses voisines et à taquiner et embêter la concierge Madame Suarez. Les seuls moments où Ferdinand se sent bien c'est quand il promène sa chienne qu'il aime plus que tout. Alors le jour où celle-ci disparaît, le pauvre homme est désespéré et va tenter de mettre fin à ses jours. Se retrouvant à l'hôpital, sa fille qui habite à l'autre bout du monde va alors lui mettre un ultimatum : soit il lui prouve qu'il est encore capable de vivre seul, soit elle le placera en maison de retraite. Et pour cela elle va demander à Madame Suarez de surveiller Ferdinand et d'inspecter son appartement. C'est alors que va entrer dans sa vie une fillette précoce qui va radicalement changer sa vie.

Mémé dans les orties est un de ces livres qui nous donne le sourire en lisant. Je le place directement dans la catégorie des livres "doudous". Mais si vous savez, je vous ai déjà dis, le livre qui vous fait sourire, rire, pleurer, qui fait un bien fou quoi.

Aurélie Valognes réussit à nous transporter avec cette histoire simple mais si profonde et touchante. Mémé dans les orties c'est une histoire sur les relations humaines, sur la solitude, la vieillesse, la jeunesse, la famille. Les personnages sont attachants ou détestables à souhait. Certaines scènes sont vraiment touchantes et ont réussi à me tirer une petite larmichette. A contrario, d'autres scènes m'ont fait rire voire même éclater de rire. En bref, avec Mémé dans les orties on passe du rire aux larmes, mais c'est un livre qui fait du bien au moral. En refermant ce roman, on ne peut que se sentir bien.

Dernière petite chose, j'ai adoré les expressions de chaque début de chapitre.

Mémé dans les orties est un vrai coup de coeur. J'ai passé un très agréable moment de lecture et je pense que je n'attendrai pas si longtemps pour me plonger dans le prochain roman d'Aurélie Valognes. Je ne peux donc que vous conseillez de lire Mémé dans les orties, si comme moi, vous aimez les romans qui parlent de la vie tout simplement.

Lien : http://aubazaardeslivres.blo..

Acheté et lu ce livre sur la recommandation de Gérard Collard: quelle déception. Un roman
"gériatrique" aux grâces de pachyderme. Développement attendu, fin prévisible... Dans le genre on a déja lu tellement plus fin, tellement mieux!

Le thème du vieux bougon acariâtre qui s'ouvre au contact d'une fillette précoce et d'une mamie plus âgée que lui avait tout pour me séduire. En effet, la vieillesse en littérature fait partie de mes sujets de prédilection, d'où mon goût pour les textes de Marie-Sabine Roger (Bon rétablissement notamment), Barbara Constantine (Et puis... Paulette notamment), Anne Bragance (Passe un ange noir notamment) et bien d'autres auteurs moins connus et publiant moins de livres. Textes que j'ai d'ailleurs et de beaucoup préféré à Mémé dans les orties.
Aurélie Valognes ne m'a pas convaincue. Je n'ai pas vraiment accroché ni à la forme, ni au fond. J'ai trouvé que tant les personnages que les situations étaient trop caricatural pour être crédibles. J'ai regretté le manque de profondeur, comme si le sujet était juste effleuré. Je n'ai pas vraiment été touchée par les personnages. Je n'ai pas éprouvé particulièrement d'empathie pour Ferdinand.
Je ne retrouve pas dans ce livre ce que j'aime partager et vivre avec les personnes âgées que je côtoie tant dans ma vie professionnelle que personnelle. Je ne suis pas convaincue et ne recommanderai pas ce livre ni à mes amis, ni à mes collègues.

Un conte moderne, un bonbon acidulé, un bon moment de lecture : voilà en quelques mots ce que je peux dire de ce roman.

Le feel-good a la côte en ce moment et j'aime bien entre deux gros pavés lire ce genre de roman. Mémé dans les orties parle de Ferdinand, un grand-père bougon qui n'aime pas les gens et qui finit par être attendri par une petite fille et par sa voisine à qui il n'avait jamais parlé auparavant.

En bref, une fin qui fait sourire malgré un démarrage un peu lent. Une bonne lecture qui fait du bien !

Ferdinand a toujours été grognon, aigri et ce depuis sa naissance un vendredi 13. Tout est pénible, lui pèse, sujet à insatisfaction. Son passé temps est de faire enrager sa gardienne, diva des gardiennes et du règlement, et de terroriser ses voisines... Sa chienne meurt et la vie de Ferdinand se colore d'une émotion: la tristesse. Puis une petite fille qui sait tout arrive et s'impose dans sa vie ....et puis j'ai lâché prise!
Ce n'est pas souvent que je stoppe une lecture, le livre n'est pas mauvais mais il m'a semblé plat, sans saveur. L'écriture est fluide, simple mais sans surprise. La trame ne m'a pas accrochée, pas touchée ou transportée ou surprise ou fait rire ou pleurer. Bref une triste impression mais vraiment je n'ai pas eu le courage de poursuivre

Un petit vieux bougon, acariâtre, râleur, sale et fan de serial killer , ça ne vend pas du rêve en soi comme héros de roman. Et pourtant ... Monsieur Ferdinand Brun, octogénaire, fourbe,solitaire mais surtout malheureux, qui a une dent contre sa concierge Mme Suarez (et celle-ci le lui rend bien) et contre l'humanité en général, va reprendre du poil de la bête et en voir des vertes et des pas mûres grâce, notamment, à une nonagénaire fan de bridge et de littérature, qui se croit pilote de course à ses heures perdues et une petite fille de 9 ans, orpheline de mère, en avance pour son âge, à la recherche d'un ami.
Les deux premiers chapitres j'étais franchement sceptique, Ferdinand est tout de même réellement insupportable, à chercher sans cesse le meilleur moyen d'embêter son monde. Mais le fait que sa concierge soit mille fois pire que lui, et l'arrivée de Béatrice et Juliette m'ont fait changer d'avis et j'ai poursuivi ma lecture, que j'ai terminé en quelques heures, pour finir avec un sourire aux lèvres à la fin.
Un roman au final agréable à lire, sur l'entraide entre les différentes générations et sur la vie en général.

C'est mal écrit, le vocabulaire est pauvre, les personnages irréalistes. Vraiment sans intérêt

Aurélie Valognes est une « toute jeune » auteure née en 1983. En 2014 elle publie ce premier roman. Une belle réussite je trouve, un roman d'une grande fraîcheur qui nous prend aux tripes.
On devrait détester le personnage principal, ce vieux bougon méchant et acariâtre qu'est ce Ferdinand de 80 balais ; mais non, au contraire, on s'y attache. D'ailleurs, au fond, est-il si méchant que ça ?

Les 250 pages se tournent très vite et j'ai été un peu déçu finalement de refermer définitivement ce livre car tous les personnages sont attachants.

Cela fait réfléchir sur la vieillesse, l'isolement des personnes âgées, sur le fait qu'aujourd'hui on ne connait pas forcément ses voisins. Chacun chez soi, chacun pour soi. On a jamais eu autant de moyens de communication ; on a jamais été aussi isolés…

Je lirai un autre roman de cette auteure (« En voiture Simone », par exemple) et j'espère qu'il sera aussi bon que celui-ci !