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3,82

sur 5228 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Un polar honnête avec un beau retournement de situation final, mais aussi pas mal de longueurs.
Pas le meilleur de Fred Vargas, à réserver aux fans, surtout parce qu'il est le premier de la série du commissaire Adamsberg. Les choses se mettent en place...
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Une image que j'adore me reste de ce Vargas est celle d'Adamsberg cherchant la clé de l'énigme dans l'eau qui coule sur des cailloux.
Image qui résume tout le mystère du personnage, et toute la talentueuse particularité de l'auteur!
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Ce n'est pas le meilleur de Vargas, loin de là, mais la première d'une longue série d'aventures du commissaire Adamsberg. Heureusement que ce n'est pas le premier Vargas qu'il m'ait été donné de lire.
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Bonne intrigue mais beaucoup de digressions, rythme assez lent. Un peu plus de concision n'aurait pas nui à l'ensemble.
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Adamsberg, commissaire renommé, prend son nouveau poste à Paris. Depuis, quelques semaines, de mystérieux cercles bleus sont retrouvés dessinés à la crai sur les trottoirs de la ville. Intrigué, le commissaire mène sa propre enquête jusqu'au moment où un corps est retrouvé au milieu de l'un des cercles.

Ce livre est la première aventure du commissaire Adambsberg, personnage nébuleux dans une histoire que j'ai apprécié et où règne un climat assez noir et mélancolique pour un dénouement original.
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L'homme aux cercles bleus propose une structure narrative inhabituelle pour ce type de roman, une première partie assez lente bien que fluide pose le cadre et l'intérêt de l'intrigue se met en place tardivement: des cercles bleus sont tracés sur les trottoirs de la capitale, encerclant un objet et signés d'une même phrase mystérieuse: "Victor, mauvais sort, que fais-tu dehors?". J'ai été attirée par le fait que l'action se déroule dans les rues de Paris, et qui plus est dans des quartiers que je connais. le suspense est maintenu jusqu'à la chute avec un rythme plutôt plaisant.

Le véritable problème pour moi se trouve du côté des personnages, sur lesquels le récit s'attarde avec trop d'insistante, tuant ainsi leur crédibilité en quelque sorte. J'ai découvert par la suite que c'est dans ce roman policier que se rencontrent de nombreux protagonistes chers à Fred Vargas, ce qui explique peut être cette sensation pesante. J'ai fait la connaissance de l'énigmatique commissaire Adamsberg et du capitaine Danglard, héros récurrents chez cette auteur, et en fermant le livre, tout en ayant passé un bon moment, je n'avais pas spécialement envie de les retrouver dans un autre roman.
Lien : https://yaourtlivres.canalbl..
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J'avais commencé ce bouquin, il y des lustres et vite abandonné devant le côté brouillasseux et volatile du commissaire Adamsberg, facette venant en opposition à mon côté cartésien à la Danglard. Et puis, devant la pauvreté livresque de la bibliothèque du lieu où je suis retenu, faisant contre mauvaise fortune bon coeur, j'ai repris le bouquin.
Dès le début, j'y ai retrouvé la même gêne dans cette écriture vaporeuse qui tourne et retourne autour du pot sans aller au fond des choses. Mon envie de lire ou est-ce la sagesse des ans m'ont conduit à perséverer. Et J'ai bien fait.

Ce qui m'a peut-être aidé, c'est qu'à la lecture seule du "commisssaire Jean-Baptiste Adamsberg et Danglard" les tronches de Jean-François Balmer et celle de Philippe Ambrosini se sont imposées à mon esprit, confusion avec ces deux acteurs de la série "Boulevard du palais" finalement à moi révélée en cours de lecture; Jean-Luc Anglade interprétant le rôle dans les téléfilms de José Dayan qui a porté à l'écran Fred Vargas, n'a pas marqué mon esprit. Les visages de ces deux acteurs ont donc accompagné mes envies d'enquêteur. J'aime bien traduire les personnages de romans en images fictionnelles ...qu'est-ce que prend ma pôvre mère !!!

Vargas, tel Janus, via Adamsberg, nous ferme les portes des classiques enquêtes, pour ouvrit celles d'un labyrinthe sous une nappe de brouillard où on entre sans savoir si on doit chercher une issue.
Ah ! difficile à suivre l'Adamsberg. C'est un peu comme s'il était archéozoologue. il met en oeuvre un ensemble de techniques de lecture des informations fournies par les vestiges laissés par les meurtriers et assassins, issus des lieux de crime et par les données qui leur sont associées (contextes chronologiques, spatiaux, fonctionnels). de quoi laisser perplexes les Danglard que nous sommes.
"Que vient donc faire ce petit bout d'os dans cette caverne alors qu'on retrouve son homologue dans la strate 69 bis de la grotte Machin ?"

Bref tout ça pour vous dire que j'ai bien aimé arriver à m'extraire de cet intrigue peuplée de personnes extrêmement étranges qui obligent à se questionner sur notre propre étrangeté.
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L'intrigue est un peu légère et le dénoument absolument pas crédible ! Penons cela comme le coup d'essai de cette autrice pourtant géniale par la suite...!
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Pas le meilleur des Vargas à mon avis. Rythme un peu lent dû aux trop nombreux passages d'introspection des personnages.
Mais quelle richesse de vocabulaire! Chaque nouveau sujet chez Fred Vargas est richement travaillé, ici le monde des poissons.
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Une première rencontre avec Fred Vargas intéressante mais qui ne m'a pas convaincue d'aller voir plus loin dans ses écrits...
Peut-être aurai-je du persévérer...
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