Ce qui est agréable avec les boîtes-à-lire de quartier, c'est qu'elles autorisent les découvertes car les ouvrages cantonnés à trôner depuis des lustres sur de vieilles étagères ressortent soudainement et raniment un passé oublié.
Ainsi va le livre "
Les gens de bien" de
José-Luis de Vilallonga, auteur espagnol dont la maîtrise du français dépasse la mienne et celle de beaucoup de mes contemporains.
Quant au récit je n'en dévoilerai rien ! juste que ce court roman, qui sort un peu des sentiers battus en racontant les derniers jours du vicomte de Santa Paz, a été d'une lecture assez plaisante...