Cette lecture est très très drôle, au premier degré, au second et plus. Sous un couvert anglais sage, l'auteure nous montre une société mesquine, désopilante, et fort éloignée de ce que l'on peut nous raconter. C'est enlevé, gai, malgré une réalité souvent sordide, optimiste, malgré une réalité navrante, un roman à l'anglaise, comme personnellement je les aime... les romans et les anglais... et les anglaises (écrivaines) aussi. Vive l'humour qui permet de survivre.
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Se laisse lire mais tourne vite en situation un peu surréaliste à mon gout
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Tout le monde, en fin de compte, suit la même route sombre (et la route a une façon d'être à son plus sombre, à son plus traître, lorsqu'elle semble la plus claire) et il est vrai que personne ne reste dans le jardin d'Eden.
James Baldwin, La Chambre de Giovanni
comme si elle l'avait senti , Ellie se retourna pendant une seconde et le ^^percuta d'un de ses larges sourires , dévoilant ses dents du bonheur . Robbie leva la main et essaya de saluer . Il avait l'impression de dire au revoir à autre chose qu'à sa petite fille , à quelque chose d'énorme difficile à comprendre . La sonnerie de l'école retentit , semblable à un couperet strident . Une porte se fermait une autre s'ouvrait . .
Au cours de leur vie... les gens voient de leurs propres yeux ce qu'ils redoutent plus que tout, la transformation des villes et des régions qu'ils connaissent en territoires étrangers.
Enoch Powell
un vrai coup de poing dans la tronche....!!!!
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Je suis sorti sonné par ce bouquin qui décrit si bien une certaine socièté anglaise
La chronique de Gérard Collard - Une famille anglaise
Une famille anglaise de Helen Walsh aux éditions J'ai Lu Par la nuit la plus froide de 1975, un homme aux cheveux flamboyant court à travers les rues enneigées d'un quartier résidentiel...