J'ai sorti ce roman de ma PAL dans le cadre de mon nouveau challenge (contre moi-même) qui vise à lire chaque mois un roman qui prend la poussière sur mes étagères ou que j'ai envie de lire depuis longtemps sans pour autant avoir franchi le pas. J'ai gagné
le sixième sommeil lors d'un concours sur Twitter et j'ai la chance d'avoir reçu un exemplaire dédicacé par l'auteur. C'était en janvier 2016 (le temps passe vite).
Je ne connais pas bien Bernard Werner. J'ai commencé à lire
Les Fourmis quand j'étais à la fac et je n'ai pas réussi à m'y intéresser. Donc je ne vais pas pouvoir vous dire si ce roman est au-dessus ou non de ses autres écrits. En revanche, le fait que je ne me sois pas passionnée pour le roman dont tout le monde parlait comme un truc révolutionnaire, passionnant, génial, fou… Est peut-être un indice. Un indice pour dire que Bernard Werner, ce n'est pas ma tasse de thé.
Le sixième sommeil parle des obsessions d'une femme,
Caroline Klein, neurophysiologiste, pour le sommeil. Somnambule, elle cherche à trouver et régler la cause de son trouble qui la met en danger, ainsi que ses proches. Elle entraîne son fils, Jacques, dans ses recherches et lui transmet le virus.
Je n'ai pas accroché du tout. En fait, ça ne m'a pas intéressée et j'ai trouvé que ça ne sonnait pas juste. C'est le problème des ouvrages scientifiques romancés. On en arrive à des dialogues qui tombent à plat. J'ai failli abandonner ma lecture à plusieurs reprises, mais je me suis accrochée, sans plaisir. J'ai tout de même appris quelques petites choses sur le sommeil. C'était le but.
Alors si vous adorez cet auteur, ne vous sentez pas vexés par mon avis. Je ne dis pas que c'est mauvais, je trouve seulement que ça ne me correspond pas. Je n'y trouve pas mon compte. C'est tout.
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